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Emilien Larrière n'entraîne plus Abbeville

Division 2F

jeudi 7 février 2013 - © Davy Bodiguel

 1 min 47 de lecture

Triste saison d'Abbeville, la lanterne rouge de D2 n'a toujours pas signé le moindre succès en championnat. En plein coeur d'une saison cauchemardesque, le club Picard a récemment trouvé un accord pour mettre fin à sa collaboration avec l'entraîneur de l'équipe une, Emilien Larrière. En attendant la nomination d'un nouveau coach.

Depuis le 1er février, Emilien Larrière n'est plus le coach de l'EAL Abbeville. La triste fin d'une collaboration qui n'aura duré qu'à peine plus de 6 mois. L'accord est intervenu fin janvier, une information somme toute logique au vu des difficultés rencontrées par la formation Picarde pour exister dans l'exigeant championnat de D2. Emilien Larrière a souhaité quitter sa fonction pour des raisons d'ordre privé et est désormais en route vers l'Espagne. "Je vis cette expérience comme un échec. Je n'ai pas réussi à gagner un match en championnat et c'est la première fois que je quitte un club en cours de saison. J'ai essayé de faire au mieux et je me suis battu" lit-on dans les colonnes du quotidien local, le Courrier Picard.

Les dirigeants de l'EAL, le président Bruno Choron en tête, n'étaient plus en adéquation avec la vision d'Emilien Larrière. Cette séparation à l'amiable est donc vécue des deux côtés comme une bouffée d'oxygène, un moyen de tourner la page pour repartir très vite de l'avant. La descente en N1 est désormais actée, le club Picard fait désormais confiance au trio composé de Samuel Pourchez (entraîneur de l'équipe B), Barthélémy Bonneau (le préparateur physique) et Christophe Penet, manager du club pour gérer la fin de saison. "Je suis le premier déçu que ça se termine de cette manière. Je m'étais un peu effacé, mais je vais me remettre au travail pour sauver ce qui peut encore l'être" dit Christophe Penet au Courrier Picard. Malgré un effectif beaucoup trop maigre, l'EAL tente dès maintenant de reconstruire pour la saison prochaine. Avec la volonté pourquoi pas de sauver l'honneur en accrochant une toute première victoire qui redonnerait à coup sûr le sourire sur les visages des partenaires de Diane Kleiber (notre photo).

Emilien Larrière n'entraîne plus Abbeville 

Division 2F

jeudi 7 février 2013 - © Davy Bodiguel

 1 min 47 de lecture

Triste saison d'Abbeville, la lanterne rouge de D2 n'a toujours pas signé le moindre succès en championnat. En plein coeur d'une saison cauchemardesque, le club Picard a récemment trouvé un accord pour mettre fin à sa collaboration avec l'entraîneur de l'équipe une, Emilien Larrière. En attendant la nomination d'un nouveau coach.

Depuis le 1er février, Emilien Larrière n'est plus le coach de l'EAL Abbeville. La triste fin d'une collaboration qui n'aura duré qu'à peine plus de 6 mois. L'accord est intervenu fin janvier, une information somme toute logique au vu des difficultés rencontrées par la formation Picarde pour exister dans l'exigeant championnat de D2. Emilien Larrière a souhaité quitter sa fonction pour des raisons d'ordre privé et est désormais en route vers l'Espagne. "Je vis cette expérience comme un échec. Je n'ai pas réussi à gagner un match en championnat et c'est la première fois que je quitte un club en cours de saison. J'ai essayé de faire au mieux et je me suis battu" lit-on dans les colonnes du quotidien local, le Courrier Picard.

Les dirigeants de l'EAL, le président Bruno Choron en tête, n'étaient plus en adéquation avec la vision d'Emilien Larrière. Cette séparation à l'amiable est donc vécue des deux côtés comme une bouffée d'oxygène, un moyen de tourner la page pour repartir très vite de l'avant. La descente en N1 est désormais actée, le club Picard fait désormais confiance au trio composé de Samuel Pourchez (entraîneur de l'équipe B), Barthélémy Bonneau (le préparateur physique) et Christophe Penet, manager du club pour gérer la fin de saison. "Je suis le premier déçu que ça se termine de cette manière. Je m'étais un peu effacé, mais je vais me remettre au travail pour sauver ce qui peut encore l'être" dit Christophe Penet au Courrier Picard. Malgré un effectif beaucoup trop maigre, l'EAL tente dès maintenant de reconstruire pour la saison prochaine. Avec la volonté pourquoi pas de sauver l'honneur en accrochant une toute première victoire qui redonnerait à coup sûr le sourire sur les visages des partenaires de Diane Kleiber (notre photo).

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