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Nikola Karabatic, Tej et Gajic relaxés dans l'affaire des paris

LMSL

vendredi 29 mars 2013 - Handzone

 2 min 41 de lecture

Le jury d'appel de la FFHB a décidé de relaxer Nikola Karabatic, Issam Tej et Dragan Gajic dans l'affaire des paris suspects. Luka Karabatic, Samuel Honrubia, Primoz Prost et Mladen Bojinovic restent sanctionnés de six dates de suspension... dont deux avec sursis. Toutefois, les sept joueurs cités restent mis en examen.

Voici le communiqué de la FFHB

Les 4 et 5 février 2013, la Commission de discipline de la LNH avait sanctionné Messieurs Mladen BOJINOVIC, Dragan GAJIC, Samuel HONRUBIA, Nikola KARABATIC, Luka KARABATIC, Primoz PROST et Issam TEJ, contre lesquels des poursuites avaient été engagées par les présidents de la LNH et de la FFHB, de 6 dates de suspension ferme assorties d’une période probatoire d’un an.
 
En outre, une pénalité financière de 1350€, attachée à chaque suspension disciplinaire, avait été infligée au club de Montpellier Agglomération Handball dans chaque dossier.
 
Chacun des joueurs avait formé appel devant le jury d’appel de la FFHB.
 
Le club de Montpellier Agglomération Handball avait également interjeté appel partiel en cantonnant sa contestation aux pénalités financières qui lui étaient infligées.
 
Après avoir auditionné chacune des parties, le jury d’appel a statué souverainement et en toute indépendance dans les 8 dossiers.
 
Précisément, après avoir constaté qu'aucune irrégularité n’était à relever dans la procédure suivie devant la commission de discipline de la LNH, le jury fédéral a pris les décisions suivantes :
 
S’agissant des appels du Montpellier AHB : le jury d’appel a considéré que les faits reprochés aux joueurs, au-delà des manquements à la déontologie, ne pouvaient être analysés comme étant en rapport direct ou indirect avec l’objet, l’organisation, le fonctionnement ou la vie collective du club. Par suite, le jury d’appel a décidé d’annuler les pénalités financières infligées au Montpellier AHB.
 
S’agissant des joueurs Dragan GAJIC, Nikola KARABATIC et Issam TEJ : le jury d’appel, après un examen de l’ensemble des circonstances de fait de chaque dossier, a considéré souverainement qu’un doute subsistait quant à la matérialité des fautes reprochées aux intéressés. Ainsi, le jury d’appel a décidé de relaxer les 3 joueurs.
 
S’agissant des joueurs Mladen BOJINOVIC, Samuel HONRUBIA, Luka KARABATIC et Primoz PROST : le jury d’appel a considéré que les faits reconnus par ces joueurs, consistant à avoir engagé des mises, directement ou par personne interposée, sur le résultat d'une rencontre disputée par leur propre équipe et au surplus, sur un score défavorable à celle-ci, constituait un comportement contraire à l'éthique sportive et aux règles déontologiques applicables à la pratique du handball.

Le jury d’appel a dès lors confirmé les 6 dates de suspension infligées en première instance, eu égard au manquement à l’éthique ainsi caractérisé.
Toutefois, le jury d’appel a retenu la notion de première faute prévue par le règlement et décidé que la sanction adaptée consistait à assortir du sursis 2 des 6 dates de suspension.
 
Par ailleurs, sur le plan judiciaire, la Chambre de l’Instruction de la Cour d’appel de Montpellier ayant confirmé la recevabilité de constitution de partie civile de la FFHB et de la LNH, cette décision affirme ainsi le droit pour la Fédération d’intervenir dans la procédure pénale.
 
La Fédération rappelle son attachement à la recherche de la vérité dans les meilleurs délais.

Nikola Karabatic, Tej et Gajic relaxés dans l'affaire des paris 

LMSL

vendredi 29 mars 2013 - Handzone

 2 min 41 de lecture

Le jury d'appel de la FFHB a décidé de relaxer Nikola Karabatic, Issam Tej et Dragan Gajic dans l'affaire des paris suspects. Luka Karabatic, Samuel Honrubia, Primoz Prost et Mladen Bojinovic restent sanctionnés de six dates de suspension... dont deux avec sursis. Toutefois, les sept joueurs cités restent mis en examen.

Voici le communiqué de la FFHB

Les 4 et 5 février 2013, la Commission de discipline de la LNH avait sanctionné Messieurs Mladen BOJINOVIC, Dragan GAJIC, Samuel HONRUBIA, Nikola KARABATIC, Luka KARABATIC, Primoz PROST et Issam TEJ, contre lesquels des poursuites avaient été engagées par les présidents de la LNH et de la FFHB, de 6 dates de suspension ferme assorties d’une période probatoire d’un an.
 
En outre, une pénalité financière de 1350€, attachée à chaque suspension disciplinaire, avait été infligée au club de Montpellier Agglomération Handball dans chaque dossier.
 
Chacun des joueurs avait formé appel devant le jury d’appel de la FFHB.
 
Le club de Montpellier Agglomération Handball avait également interjeté appel partiel en cantonnant sa contestation aux pénalités financières qui lui étaient infligées.
 
Après avoir auditionné chacune des parties, le jury d’appel a statué souverainement et en toute indépendance dans les 8 dossiers.
 
Précisément, après avoir constaté qu'aucune irrégularité n’était à relever dans la procédure suivie devant la commission de discipline de la LNH, le jury fédéral a pris les décisions suivantes :
 
S’agissant des appels du Montpellier AHB : le jury d’appel a considéré que les faits reprochés aux joueurs, au-delà des manquements à la déontologie, ne pouvaient être analysés comme étant en rapport direct ou indirect avec l’objet, l’organisation, le fonctionnement ou la vie collective du club. Par suite, le jury d’appel a décidé d’annuler les pénalités financières infligées au Montpellier AHB.
 
S’agissant des joueurs Dragan GAJIC, Nikola KARABATIC et Issam TEJ : le jury d’appel, après un examen de l’ensemble des circonstances de fait de chaque dossier, a considéré souverainement qu’un doute subsistait quant à la matérialité des fautes reprochées aux intéressés. Ainsi, le jury d’appel a décidé de relaxer les 3 joueurs.
 
S’agissant des joueurs Mladen BOJINOVIC, Samuel HONRUBIA, Luka KARABATIC et Primoz PROST : le jury d’appel a considéré que les faits reconnus par ces joueurs, consistant à avoir engagé des mises, directement ou par personne interposée, sur le résultat d'une rencontre disputée par leur propre équipe et au surplus, sur un score défavorable à celle-ci, constituait un comportement contraire à l'éthique sportive et aux règles déontologiques applicables à la pratique du handball.

Le jury d’appel a dès lors confirmé les 6 dates de suspension infligées en première instance, eu égard au manquement à l’éthique ainsi caractérisé.
Toutefois, le jury d’appel a retenu la notion de première faute prévue par le règlement et décidé que la sanction adaptée consistait à assortir du sursis 2 des 6 dates de suspension.
 
Par ailleurs, sur le plan judiciaire, la Chambre de l’Instruction de la Cour d’appel de Montpellier ayant confirmé la recevabilité de constitution de partie civile de la FFHB et de la LNH, cette décision affirme ainsi le droit pour la Fédération d’intervenir dans la procédure pénale.
 
La Fédération rappelle son attachement à la recherche de la vérité dans les meilleurs délais.

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