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Mondial Juniors: les Français à l'assaut de la forteresse suédoise

International

jeudi 25 juillet 2013 - © Yves Michel

 8 min 26 de lecture

Ce vendredi, la France se retrouve en demi-finale du championnat du Monde juniors. Face à la redoutable Suède qui a fait forte impression depuis le début de la compétition. Cette fois, les Tricolores ne partiront pas favoris comme ils l’étaient en quarts face à l’Egypte.

De notre envoyé spécial en Bosnie, Yves Michel

Ce n’est pas parce que l’hôtel Hollywood, qui accueille les équipes engagées dans le Mondial juniors est proche de l’aéroport de Sarajevo, que les Français pensent déjà à boucler leurs valises.  Bien au contraire. Il sera temps d’y réfléchir dimanche soir à la clôture de la compétition.  Pour l’instant, les esprits sont tournés vers la demi-finale contre la Suède (ce vendredi à 18h30). Ce jeudi a été consacré à la préparation de cette rencontre avec le matin, piscine pour les uns et programme adapté pour les autres. Hugo Descat qui soigne toujours une contracture musculaire, suscite toute l’attention du staff médical qui ne désespère pas remettre sur pied l’ailier cristolien pour le rendez-vous tant attendu.

Pour la plupart des tricolores, la Suède est synonyme de cauchemar. La seule et unique confrontation pour cette génération, c’était il y a deux ans au Mondial jeunes en Argentine lors du match pour la médaille de bronze. Théophile Caussé (notre photo de tête) et dix de ses partenaires présents en Bosnie en ont un souvenir amer. Après un départ catastrophique, l’équipe de France n’avait jamais pu refaire son important retard face à des Nordiques qui s’étaient contentés de gérer leur avance (défaite 24-28 et une belle médaille en… chocolat). Cette année encore, l’adversaire est redoutable. Il a véritablement survolé la compétition (6 matches – 6 victoires) non sans avoir éprouvé en match de poule, quelques frayeurs face au Brésil (succès d’un but) et attendu le dernier quart d’heure en ¼ de finale pour prendre la mesure de surprenants néerlandais. Le fait le plus marquant, c’est une victoire de dix buts, samedi dernier, face aux champions d’Europe espagnols !  La domination suédoise avait opéré dans tous les compartiments de jeu.



Cette suprématie est d’autant plus exceptionnelle que la sélection s’est présentée en Bosnie sans son habituel meneur de jeu, Jim Gottfridsson. Transféré d’Ystads (sa ville natale) à Flensburg (Bundesliga), il a tout simplement refusé de participer à ce Mondial juniors, ce qui lui a valu une mise à l’écart jusqu’à nouvel ordre des A. Qu’importe, l’équipe a fait sans lui, et plutôt avec une certaine réussite, abattant des cartes très intéressantes.  Les joues encore rougies par la gifle qu’ils ont reçue, les Espagnols ont été impressionnés. « En fait, je crois qu’il ne faut pas leur laisser l’initiative, se risque à analyser Juanjo Fernandez, défenseur de la Rojita. S’ils ont la maîtrise du tableau d’affichage, ils sont imbattables. Le danger peut venir de partout, essentiellement  des ailes (à gauche, Berg et à droite, Pettersson, 81 buts à eux deux) mais il y a certainement une solution pour les perturber, si les Français parviennent à bien se replier et surtout à couper leurs contre-attaques (30% de leurs buts inscrits), ils auront résolu une partie du problème. C’est quand même une belle équipe avec  un pivot (Lindskog) qui sait bien manier le ballon, un demi-centre très complet (Freiman) et des arrières qui savent créer le danger. » L’arrière nîmois en oublierait même de nous parler du gardien qui reste un des tous meilleurs du tournoi. Peter Johannesson (notre photo), portier n°1 de Sävehof a, du haut de son mètre 91 et de ses 21 ans, l’expérience de la Ligue des Champions. Il n’a pas été d’ailleurs élu meilleur sur ce poste lors de l’Euro juniors 2012, pour rien.  Les Français devront s’inspirer des Néerlandais mais en étant vigilants, du début jusqu’à la fin. Car face à la Suède, le moindre relâchement se paie cash. Demandez, encore une fois, aux Espagnols ce qu’ils en pensent !

Ce jeudi soir, les Bleuets ont reçu via Twitter un encouragement plutôt sympathique

Bonne chance aux juniors français pour leur demie contre la Suède!!!




Cinq questions à Jacky Bertholet, co-entraîneur de l’équipe de France masculine junior

Êtes-vous satisfait du rendement de l’équipe ?
Elle monte en puissance après un 1er tour où elle a tout connu. En quarts, on savait que les Egyptiens allaient nous proposer différents dispositifs et obligatoirement cela nous a perturbés. Pourtant, nous avons trouvé une certaine maîtrise en attaque. C’est plus défensivement qu’on a été moins présent. Nous n’avons pas eu le même rendement que face à l’Allemagne.

Le gros handicap, c’est cette contracture qui perturbe Hugo Descat
Il s’est blessé dans les toutes 1ères minutes du match contre l’Allemagne, il se soigne et on tente de le préserver au maximum. Donc, cela nous oblige à trouver des solutions différentes (Ferrandier et Nyateu alternent sur le poste). Face à l’Allemagne, on a démontré qu’on pouvait y arriver. De toute façon, on ne va pas réinventer l’histoire. Hugo reste déterminant dans cette équipe. Il rentre pour tirer les pénaltys et contre l’Egypte, son bras n’a jamais tremblé.

Heureusement,  Quentin Minel  et Rémi Desbonnet sont au top 
Ce qui est peut-être nouveau avec ce groupe, c’est que tout le monde joue ensemble, certains équilibres sont trouvés et les options sont variées puisque certains évoluent à un poste différent du leur. Le collectif prime véritablement sur les individualités.

L’évolution, elle est aussi au niveau mental ?
Je ne sais pas si on peut parler d’évolution, il y a peut-être un petit peu plus de maîtrise. Peut-être aussi, un peu plus de confiance dans ce que les joueurs entreprennent.

L’objectif….reste le même ?
Oui, la médaille. Mais la Suède, c’est costaud.


Croatie - Espagne, l'autre demi-finale

La 2ème demi-finale (21h00) qui opposera tout comme la 1ère, deux nations majeures du handball européen est tout simplement un remake des deux dernières finales pour cette catégorie des 92-93, de l'Euro 2010 des moins de 18 ans au Monténégro et 2012 juniors en Turquie. Deux matches diamétralement opposés puisqu'il y a 3 ans, les Croates ne s'étaient imposés que d'un but (27-26) et l'été dernier, les Espagnols avaient pris une sacrée revanche en dominant largement leur adversaire (34-21). Ce qui attend les deux équipes en début de soirée est aussi une opposition non pas de style mais de compétences. Du côté de l'équipe des Balkans qui espèrent profiter de l'avantage du terrain, Slavko Goluza (qui est aussi patron des A) dispose d'un effectif au complet avec un 7 majeur de haut niveau et un banc tout aussi talentueux. Parmi les individualités, le pivot Téo Coric (notre photo), l'arrière gauche Stipe Mandalinic, le gardien Filip Ivic et le meneur de jeu Ante Kaleb sont des petites merveilles.



En face, l'Espagne qui a du composer avec le forfait de son ailier champion du Monde A, Aitor Arino (blessé), fourbit plusieurs atouts. Le majeur s'appelle Alex Dujshebaev (notre photo). Le fils de Talant qui vient de signer deux saisons, au Vardar Skopje (Macédoine) est le gaucher qui rayonne sur ce Mondial. Il fait jouer ses partenaires (27 passes décisives) et apporte sa contribution au tableau d'affichage (33 buts avec cependant pas mal de déchet). L'équipe est savamment orchestrée par le demi-centre de Vigo Pablo Cacheda qui trouve appui sur son côté gauche avec Alejandro Costoya de Gijón, un des promus de la saison en Liga Asobal. L'Espagne possède des ailiers très mobiles et très adroits (Solé Sala à droite et Saez à gauche) et un patron de défense JuanJo Fernandez (notre photo du bas) surnommé le "petit Dinart" et qui lors des deux prochaines saisons, évoluera en LNH sous les couleurs de l'Usam Nîmes. Bien malin qui pourrait désigner un favori. La Croatie et l'Espagne ont un point commun. Elles ont perdu chacune le match au sommet dans leur groupe respectif. C'était contre l'Allemagne pour l'une et la Suède pour l'autre. De notre côté, une finale France-Espagne nous conviendrait très bien. Ne serait-ce pour profiter du duel à distance que pourraient se livrer les deux futurs partenaires nîmois, Rémi Desbonnet dans les cages tricolores et Juanjo Fernandez, au centre du bloc défensif de la Rojita.



Tableau de bord de chacun des demi-finalistes:

FRANCE
meilleurs buteurs: Hugo Descat (41 dont 18 pen.) Quentin Minel (29 dont 1 pen.) Antoine Gutfreund et Benjamin Bataille (20)
performance gardien: Rémi Desbonnet (70 arrêts à 32,6%)
meilleur passeur: Antoine Gutfreund (10)
trait principal de caractère: imprévisible

SUEDE
meilleurs buteurs: Andreas Berg (41) Daniel Pettersson (40 dont 11 pen.) Anton Lindskog (21) Philip Stenmalm (19)
performance gardien: Peter Johannesson (74 arrêts à 42,5%)
meilleurs passeurs: Albin Lagergren et Philip Stenmalm (16)
trait principal de caractère: sang froid hors normes

ESPAGNE
meilleurs buteurs: Victor Saez (35 dont 3 pen.) Alex Dujshebaev (33 dont 4 pen.) Alejandro Costoya (25) Joseph Reixach (23 dont 12 pen.)
performance gardien: Daniel Arguillas (53 arrêts à 29,6%)
meilleur passeur: Alex Dujshebaev (27)
trait principal de caractère: altruiste

CROATIE
meilleurs buteurs: Ante Kaleb (30 dont 15 pen.) Stipe Mandalinic (26) Ante Tokic (25 dont 2 pen.) Sime Ivic (25)
performance gardien: Filip Ivic (70 arrêts à 37%)
meilleur passeur: Sime Ivic (8)
trait principal de caractère: pragmatique

Mondial Juniors: les Français à l'assaut de la forteresse suédoise 

International

jeudi 25 juillet 2013 - © Yves Michel

 8 min 26 de lecture

Ce vendredi, la France se retrouve en demi-finale du championnat du Monde juniors. Face à la redoutable Suède qui a fait forte impression depuis le début de la compétition. Cette fois, les Tricolores ne partiront pas favoris comme ils l’étaient en quarts face à l’Egypte.

De notre envoyé spécial en Bosnie, Yves Michel

Ce n’est pas parce que l’hôtel Hollywood, qui accueille les équipes engagées dans le Mondial juniors est proche de l’aéroport de Sarajevo, que les Français pensent déjà à boucler leurs valises.  Bien au contraire. Il sera temps d’y réfléchir dimanche soir à la clôture de la compétition.  Pour l’instant, les esprits sont tournés vers la demi-finale contre la Suède (ce vendredi à 18h30). Ce jeudi a été consacré à la préparation de cette rencontre avec le matin, piscine pour les uns et programme adapté pour les autres. Hugo Descat qui soigne toujours une contracture musculaire, suscite toute l’attention du staff médical qui ne désespère pas remettre sur pied l’ailier cristolien pour le rendez-vous tant attendu.

Pour la plupart des tricolores, la Suède est synonyme de cauchemar. La seule et unique confrontation pour cette génération, c’était il y a deux ans au Mondial jeunes en Argentine lors du match pour la médaille de bronze. Théophile Caussé (notre photo de tête) et dix de ses partenaires présents en Bosnie en ont un souvenir amer. Après un départ catastrophique, l’équipe de France n’avait jamais pu refaire son important retard face à des Nordiques qui s’étaient contentés de gérer leur avance (défaite 24-28 et une belle médaille en… chocolat). Cette année encore, l’adversaire est redoutable. Il a véritablement survolé la compétition (6 matches – 6 victoires) non sans avoir éprouvé en match de poule, quelques frayeurs face au Brésil (succès d’un but) et attendu le dernier quart d’heure en ¼ de finale pour prendre la mesure de surprenants néerlandais. Le fait le plus marquant, c’est une victoire de dix buts, samedi dernier, face aux champions d’Europe espagnols !  La domination suédoise avait opéré dans tous les compartiments de jeu.



Cette suprématie est d’autant plus exceptionnelle que la sélection s’est présentée en Bosnie sans son habituel meneur de jeu, Jim Gottfridsson. Transféré d’Ystads (sa ville natale) à Flensburg (Bundesliga), il a tout simplement refusé de participer à ce Mondial juniors, ce qui lui a valu une mise à l’écart jusqu’à nouvel ordre des A. Qu’importe, l’équipe a fait sans lui, et plutôt avec une certaine réussite, abattant des cartes très intéressantes.  Les joues encore rougies par la gifle qu’ils ont reçue, les Espagnols ont été impressionnés. « En fait, je crois qu’il ne faut pas leur laisser l’initiative, se risque à analyser Juanjo Fernandez, défenseur de la Rojita. S’ils ont la maîtrise du tableau d’affichage, ils sont imbattables. Le danger peut venir de partout, essentiellement  des ailes (à gauche, Berg et à droite, Pettersson, 81 buts à eux deux) mais il y a certainement une solution pour les perturber, si les Français parviennent à bien se replier et surtout à couper leurs contre-attaques (30% de leurs buts inscrits), ils auront résolu une partie du problème. C’est quand même une belle équipe avec  un pivot (Lindskog) qui sait bien manier le ballon, un demi-centre très complet (Freiman) et des arrières qui savent créer le danger. » L’arrière nîmois en oublierait même de nous parler du gardien qui reste un des tous meilleurs du tournoi. Peter Johannesson (notre photo), portier n°1 de Sävehof a, du haut de son mètre 91 et de ses 21 ans, l’expérience de la Ligue des Champions. Il n’a pas été d’ailleurs élu meilleur sur ce poste lors de l’Euro juniors 2012, pour rien.  Les Français devront s’inspirer des Néerlandais mais en étant vigilants, du début jusqu’à la fin. Car face à la Suède, le moindre relâchement se paie cash. Demandez, encore une fois, aux Espagnols ce qu’ils en pensent !

Ce jeudi soir, les Bleuets ont reçu via Twitter un encouragement plutôt sympathique

Bonne chance aux juniors français pour leur demie contre la Suède!!!




Cinq questions à Jacky Bertholet, co-entraîneur de l’équipe de France masculine junior

Êtes-vous satisfait du rendement de l’équipe ?
Elle monte en puissance après un 1er tour où elle a tout connu. En quarts, on savait que les Egyptiens allaient nous proposer différents dispositifs et obligatoirement cela nous a perturbés. Pourtant, nous avons trouvé une certaine maîtrise en attaque. C’est plus défensivement qu’on a été moins présent. Nous n’avons pas eu le même rendement que face à l’Allemagne.

Le gros handicap, c’est cette contracture qui perturbe Hugo Descat
Il s’est blessé dans les toutes 1ères minutes du match contre l’Allemagne, il se soigne et on tente de le préserver au maximum. Donc, cela nous oblige à trouver des solutions différentes (Ferrandier et Nyateu alternent sur le poste). Face à l’Allemagne, on a démontré qu’on pouvait y arriver. De toute façon, on ne va pas réinventer l’histoire. Hugo reste déterminant dans cette équipe. Il rentre pour tirer les pénaltys et contre l’Egypte, son bras n’a jamais tremblé.

Heureusement,  Quentin Minel  et Rémi Desbonnet sont au top 
Ce qui est peut-être nouveau avec ce groupe, c’est que tout le monde joue ensemble, certains équilibres sont trouvés et les options sont variées puisque certains évoluent à un poste différent du leur. Le collectif prime véritablement sur les individualités.

L’évolution, elle est aussi au niveau mental ?
Je ne sais pas si on peut parler d’évolution, il y a peut-être un petit peu plus de maîtrise. Peut-être aussi, un peu plus de confiance dans ce que les joueurs entreprennent.

L’objectif….reste le même ?
Oui, la médaille. Mais la Suède, c’est costaud.


Croatie - Espagne, l'autre demi-finale

La 2ème demi-finale (21h00) qui opposera tout comme la 1ère, deux nations majeures du handball européen est tout simplement un remake des deux dernières finales pour cette catégorie des 92-93, de l'Euro 2010 des moins de 18 ans au Monténégro et 2012 juniors en Turquie. Deux matches diamétralement opposés puisqu'il y a 3 ans, les Croates ne s'étaient imposés que d'un but (27-26) et l'été dernier, les Espagnols avaient pris une sacrée revanche en dominant largement leur adversaire (34-21). Ce qui attend les deux équipes en début de soirée est aussi une opposition non pas de style mais de compétences. Du côté de l'équipe des Balkans qui espèrent profiter de l'avantage du terrain, Slavko Goluza (qui est aussi patron des A) dispose d'un effectif au complet avec un 7 majeur de haut niveau et un banc tout aussi talentueux. Parmi les individualités, le pivot Téo Coric (notre photo), l'arrière gauche Stipe Mandalinic, le gardien Filip Ivic et le meneur de jeu Ante Kaleb sont des petites merveilles.



En face, l'Espagne qui a du composer avec le forfait de son ailier champion du Monde A, Aitor Arino (blessé), fourbit plusieurs atouts. Le majeur s'appelle Alex Dujshebaev (notre photo). Le fils de Talant qui vient de signer deux saisons, au Vardar Skopje (Macédoine) est le gaucher qui rayonne sur ce Mondial. Il fait jouer ses partenaires (27 passes décisives) et apporte sa contribution au tableau d'affichage (33 buts avec cependant pas mal de déchet). L'équipe est savamment orchestrée par le demi-centre de Vigo Pablo Cacheda qui trouve appui sur son côté gauche avec Alejandro Costoya de Gijón, un des promus de la saison en Liga Asobal. L'Espagne possède des ailiers très mobiles et très adroits (Solé Sala à droite et Saez à gauche) et un patron de défense JuanJo Fernandez (notre photo du bas) surnommé le "petit Dinart" et qui lors des deux prochaines saisons, évoluera en LNH sous les couleurs de l'Usam Nîmes. Bien malin qui pourrait désigner un favori. La Croatie et l'Espagne ont un point commun. Elles ont perdu chacune le match au sommet dans leur groupe respectif. C'était contre l'Allemagne pour l'une et la Suède pour l'autre. De notre côté, une finale France-Espagne nous conviendrait très bien. Ne serait-ce pour profiter du duel à distance que pourraient se livrer les deux futurs partenaires nîmois, Rémi Desbonnet dans les cages tricolores et Juanjo Fernandez, au centre du bloc défensif de la Rojita.



Tableau de bord de chacun des demi-finalistes:

FRANCE
meilleurs buteurs: Hugo Descat (41 dont 18 pen.) Quentin Minel (29 dont 1 pen.) Antoine Gutfreund et Benjamin Bataille (20)
performance gardien: Rémi Desbonnet (70 arrêts à 32,6%)
meilleur passeur: Antoine Gutfreund (10)
trait principal de caractère: imprévisible

SUEDE
meilleurs buteurs: Andreas Berg (41) Daniel Pettersson (40 dont 11 pen.) Anton Lindskog (21) Philip Stenmalm (19)
performance gardien: Peter Johannesson (74 arrêts à 42,5%)
meilleurs passeurs: Albin Lagergren et Philip Stenmalm (16)
trait principal de caractère: sang froid hors normes

ESPAGNE
meilleurs buteurs: Victor Saez (35 dont 3 pen.) Alex Dujshebaev (33 dont 4 pen.) Alejandro Costoya (25) Joseph Reixach (23 dont 12 pen.)
performance gardien: Daniel Arguillas (53 arrêts à 29,6%)
meilleur passeur: Alex Dujshebaev (27)
trait principal de caractère: altruiste

CROATIE
meilleurs buteurs: Ante Kaleb (30 dont 15 pen.) Stipe Mandalinic (26) Ante Tokic (25 dont 2 pen.) Sime Ivic (25)
performance gardien: Filip Ivic (70 arrêts à 37%)
meilleur passeur: Sime Ivic (8)
trait principal de caractère: pragmatique

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