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Stéphane Pellan (St Amand) : « On va continuer à se préparer »

Nationale 1F

lundi 26 août 2013 - Handzone

 1 min 54 de lecture

L’équipe de Saint-Amand-les-Eaux – La Porte du Hainaut, qui évolue en Nationale 1 dans le même groupe que le Sambre-Avesnois handball, s’est remise au travail durant la semaine de mi-août avec, elle aussi, un nouvel entraîneur loin d’être un inconnu : Stéphane Pellan. « Je redécouvre le handball féminin, avoue Stéphane Pellan traînant avec lui une longue expérience que ce soit, entre autres, à Montélimar, à Lanester ou encore Aurillac. J’avais du mal  à avoir une idée sur le niveau de pratique. Il fallait pouvoir s’évaluer. »

C’est la raison pour laquelle le technicien amandinois s’est lancé dans une préparation physique intense pour les joueuses de La Porte du Hainaut avec des tournois mais aussi des matches amicaux au niveau régional. Le week-end aux Pays-Bas a permis de mettre en évidence certaines lacunes mais aussi certains points forts du groupe. Le week-end au Pouzin (Ardèche) a permis, quant à lui, de cerner la différence avec le haut de la D2F (Cannes). Il est vrai qu’actuellement, dans l’évaluation de jeu, Saint-Amand-les-Eaux est plus proche de Bourg-de-Péage.

« On va continuer à se préparer. » Et Stéphane Pellan de poursuivre : « Il nous reste quatre semaines avant notre déplacement à Montargis sans oublier le match à Harnes pour le compte de la Coupe de France. On va avoir quelques matches de préparation encore (NDLR : dont un en Belgique en fin de semaine) pour essayer de mettre en place quelque chose qui tienne la route. Je n’ai pas un effectif pléthorique permettant cinquante rotations. Quelque part, c’est plus facile de mettre un projet en place puisque cela ne concerne qu’un nombre réduit de joueuses mais c’est à la fois difficile lorsqu’il faut y intégrer les joueuses nouvellement arrivées. On va essayer de faire quelque chose de cohérent mais il faut que ça vienne d’elles. Quand on arrive dans une nouvelle équipe, il n’est pas question d’imposer quoi que ce soit de manière tyrannique. Il faut que ce soit partagé et que les questions et les évolutions viennent d’elles-mêmes. Au niveau de la charge de travail, c’est très intéressant pour se préparer à tenir, dans le championnat, le plus longtemps possible. »

Jean-Pierre MALEWICZ pour

Stéphane Pellan (St Amand) : « On va continuer à se préparer » 

Nationale 1F

lundi 26 août 2013 - Handzone

 1 min 54 de lecture

L’équipe de Saint-Amand-les-Eaux – La Porte du Hainaut, qui évolue en Nationale 1 dans le même groupe que le Sambre-Avesnois handball, s’est remise au travail durant la semaine de mi-août avec, elle aussi, un nouvel entraîneur loin d’être un inconnu : Stéphane Pellan. « Je redécouvre le handball féminin, avoue Stéphane Pellan traînant avec lui une longue expérience que ce soit, entre autres, à Montélimar, à Lanester ou encore Aurillac. J’avais du mal  à avoir une idée sur le niveau de pratique. Il fallait pouvoir s’évaluer. »

C’est la raison pour laquelle le technicien amandinois s’est lancé dans une préparation physique intense pour les joueuses de La Porte du Hainaut avec des tournois mais aussi des matches amicaux au niveau régional. Le week-end aux Pays-Bas a permis de mettre en évidence certaines lacunes mais aussi certains points forts du groupe. Le week-end au Pouzin (Ardèche) a permis, quant à lui, de cerner la différence avec le haut de la D2F (Cannes). Il est vrai qu’actuellement, dans l’évaluation de jeu, Saint-Amand-les-Eaux est plus proche de Bourg-de-Péage.

« On va continuer à se préparer. » Et Stéphane Pellan de poursuivre : « Il nous reste quatre semaines avant notre déplacement à Montargis sans oublier le match à Harnes pour le compte de la Coupe de France. On va avoir quelques matches de préparation encore (NDLR : dont un en Belgique en fin de semaine) pour essayer de mettre en place quelque chose qui tienne la route. Je n’ai pas un effectif pléthorique permettant cinquante rotations. Quelque part, c’est plus facile de mettre un projet en place puisque cela ne concerne qu’un nombre réduit de joueuses mais c’est à la fois difficile lorsqu’il faut y intégrer les joueuses nouvellement arrivées. On va essayer de faire quelque chose de cohérent mais il faut que ça vienne d’elles. Quand on arrive dans une nouvelle équipe, il n’est pas question d’imposer quoi que ce soit de manière tyrannique. Il faut que ce soit partagé et que les questions et les évolutions viennent d’elles-mêmes. Au niveau de la charge de travail, c’est très intéressant pour se préparer à tenir, dans le championnat, le plus longtemps possible. »

Jean-Pierre MALEWICZ pour

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