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LNH - 9ème J.: Pierrick Naudin, le Lucky Luke dijonnais

LMSL

samedi 16 novembre 2013 - © Yves Michel

 8 min 36 de lecture

Le PSG accentue son avance en tête de la D1 masculine. Les Parisiens qui ont difficilement battu Sélestat profitent du match nul entre Dunkerque et Montpellier. En queue de classement, Dijon grâce notamment à Pierrick Naudin, s’offre une bouffée d’oxygène en s’imposant face à Cesson. Malgré leur succès face à Nîmes et à Chambéry, Ivry et Tremblay restent en position de relégables.

Depuis le match nul concédé à Aix, Cesson est véritablement en perte de vitesse avec trois défaites de rang, coupe de la Ligue confondue.  Jeudi, les Bretons se sont réveillés un peu tard et se sont inclinés à Dijon sur la plus étroite des marges (27-26).  Pour les Bourguignons, ce 3ème succès de la saison arrive au bon moment puisque le calendrier avant la trêve est très relevé avec comme prochains adversaires Saint-Raphaël, Nantes, Dunkerque et Toulouse. L’équipe de Denis Lathoud reste parmi les meilleures défenses de la D1 et compte dans ses rangs de véritables talents comme Pierrick Naudin (de face sur notre photo de tête), 23 ans, qui avec 54 buts inscrits est la 6ème gâchette de LNH.  Formé au DBHB, le natif de Beaune a un parcours atypique dans le handball. Il a préféré quitter le club où il faisait ses classes et qui montait parmi l’élite pour s’aguerrir deux niveaux en dessous à Semur. « L’envie de jouer était plus forte, avoue l’intéressé. Quand Dijon m’a fait comprendre que je n’avais pas le niveau, je n’ai pas hésité à aller voir ailleurs. » A 80 kilomètres de là, en Nationale 1 puis les deux années suivantes en Pro D2. «Je suis convaincu que si Semur ne m’avait pas accueilli, aujourd’hui, je ne ferais pas du hand à ce niveau. J’ai vraiment appris et progressé. » Le retour à Dijon est suivi d’effets, l’équipe après quelques péripéties administratives et une menace de rétrogradation, accède à l’élite. « Le président nous a demandé de lui faire confiance et on a été préservé des soucis extra-sportifs. A l’intérieur de l’équipe, on s’est préservé de tout ce qui se racontait à l’extérieur. Et on a eu raison. » Le promu reste fragile et même si l’effectif compte des éléments expérimentés (Poletti, Stojinovic, Parent, Redei), Denis Lathoud, l’entraîneur ne dispose pas d’une profondeur de banc qui lui permet de rivaliser avec les plus grosses cylindrées. Pourtant et c’est le paradoxe, c’est face au PSG et Montpellier que les Bourguignons ont réalisé leurs meilleures prestations et ce, en dépit de la défaite. « J’ai toujours crû en nos forces, car il y a de la qualité dans le groupe. C’est bien de faire des bons matches contre les gros mais il faut être plus régulier contre nos adversaires directs. L’objectif, c’est quand même le maintien. » Jeudi, Dijon a bien failli sortir bredouille de son palais des sports. Avec cinq buts de retard à la 54ème (27-22), Cesson est revenu à une longueur à moins de deux minutes du buzzer final. « Ils ont mis en place une défense assez haute avec une double stricte et on n’a pas su s’adapter. On a lâché trop de balles et avec Genty à la relance, ils ont pu refaire leur retard mais l’essentiel c’est d’avoir gagné, même d’un but. » Et six unités de plus au capital de Pierrick Naudin qui rivalise avec les meilleurs réalisateurs du championnat comme Gajic, Olsen et Rivera. 54 buts au total, celui à qui on reprochait il y a peu, sa "petite" taille et son manque de carrure (pour un arrière) commence à susciter une réelle attention. « Cela serait malhonnête de dire que cela ne fait pas plaisir mais marquer beaucoup de buts, c’est encore plus plaisant quand on gagne. La saison est longue, je ne me prends pas la tête, je savoure ces moments, on a encore beaucoup de travail à accomplir pour parvenir à se maintenir. » Le jeune arrière en fin de contrat l’été prochain et qui a abandonné ses études pour entièrement se consacrer à son sport, reste lucide. « Notre calendrier avant la trêve est compliqué. Il faudra envisager de prendre des points contre les gros, pourquoi pas lors du prochain match à St Raphaël. Il faut éviter les trous d’air comme ceux qu’on a eu à Ivry ou face à Nîmes. A titre personnel, j’ai envie que cela se passe bien. Maintenant que j’ai goûté à la LNH, j’ai envie d’y rester.  » De la même génération que Luka Karabatic, William Accambray ou Xavier Barachet, Pierrick Naudin est un joueur à suivre et très certainement un nom à retenir. 



Cette 9ème journée est synonyme de coup d'arrêt pour Toulouse qui après quatre succès consécutifs en championnat, est allé s'incliner à Aix. Sans Jérôme Fernandez (en "pige" au Qatar) et Danjel Andjelkovic (blessé), le Fenix a toujours couru après le score avant d'y croire vraiment à 10 minutes de la fin (18-18) mais Robin Cappelle dans les cages aixoises (16 arrêts) et Alexandros Vasilakis (9 buts - notre photo) ont su faire la différence. L'absence de son buteur patenté est préjudiciable à l'équipe haut-garonnaise, Nemanja Ilic (9 buts) a fait ce qu'il a pu. Ce n'était pas suffisant.

Nantes qui restait sur une série de contreperformances dont une élimination de la Coupe de la Ligue, s'est bien repris face à St Raphaël (voir le résumé du match). Les Varois ont promené leur misère durant cinquante minutes avant de réagir (un peu tard) en fin de rencontre mais s'incliner fort logiquement (31-27).

Jeudi, dans le match au sommet, la course poursuite entre Dunkerque et Montpellier n'a livré aucun vainqueur. Chacune des deux équipes aurait pu l'emporter, les Nordistes semblaient tenir leur succès, c'était sans compter sur Mathieu Grébille qui entré avec la chasuble, a égalisé à vingt secondes de la fin (25-25). Ce partage des points est profitable au PSG. Les Parisiens qui pensaient que battre Sélestat ne serait qu'une simple formalité, sont tombés sur une équipe alsacienne revancharde après la gifle et les douze buts d'écart en coupe de la Ligue. Excepté dans les cinq dernières minutes, Gabor Csaszar (notre photo) et ses partenaires n'ont mis aucun rythme sur cette rencontre, peu aidés il est vrai par la totale déroute de J.M Sierra dans ses cages (0/10). 




A Nîmes, depuis plus de 50 ans, on a beau jeu de mettre certaines valeurs en exergue. Combativité, solidarité et abnégation font partie de l'ADN du club. Mais quand chacun joue dans son coin et confond jeu brouillon à jeu construit cela ne peut pas fonctionner. Alors c'est vrai, à Ivry, les Gardois sont tombés sur un grand Chapon dans ses buts (26 arrêts à 54% !), sur une attaque val-de-marnaise plus efficace dans le sillage d'un Seba Simonet (notre photo) omniprésent et d'une défense qui sans être irrésistible a bien répondu dans les moments clés. Nîmes est resté trop en retrait, souvent sans solutions offensives et avec un bloc défensif très enrhumé à force de laisser entrer les courants d'air. Menés 5-0 après dix minutes, les hommes de Jérôme Chauvet ont pourtant refait une partie de leur retard (10-8 à la 25ème) avant de retomber dans leurs travers (14-9 à la pause). "Mes joueurs étaient prévenus, expliquait Pascal Léandri, face à un adversaire direct pour le maintien, il fallait mettre une grosse pression d'entrée. On a su rester devant au score et avec une certaine confiance, on a pu les mettre en difficulté, notamment en 2ème période." En effet, les Rossoneri vont tirer profit du second acte et faire fructifier leur avance. Nîmes n'a que trop rarement donné le change et s'est logiquement incliné (29-23). La semaine prochaine, c'est un autre test qui attend les deux équipes. Ivry se déplace à Cesson (qui n'est pas au mieux ces temps-ci), l'Usam accueillera... Chambéry (un autre mal en point du moment).

Chambéry, éliminé de la coupe de la Ligue, privé de Bertrand Gille et surtout d'Edin Basic fait une bien mauvaise opération face à une équipe de Tremblay (en partie) retrouvée. Contre toute attente, les Savoyards se sont inclinés (26-29) à domicile pour la 2ème fois de la saison. C'est en fin de 1ère période et en début de seconde, que les Franciliens vont prendre un réel ascendant sur leur adversaire. La pression, les hommes de Mario Cavalli vont la subir très longtemps jusqu'à la 50ème, avant d'égaliser (25-25) et espérer, avec le soutien du public, un fléchissement de Tremblay. Le scénario corrigé par le bras dévastateur d'Oussama Boughamni (notre photo - 10/14 sur son aile gauche), sera tout autre. Contrairement à leurs prestations passées, les Séquanodionysiens ne vont rien lâcher et malgré un Maxime Diot en réussite devant sa ligne, ils vont trouver la faille et arracher deux points précieux qui leur évitent la lanterne rouge de la D1. Pour Chambéry, l'hiver risque d'être rude et long.



PARIS ST GERMAIN - SELESTAT     37 - 34 (Mi-temps : 18-18)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 13/11/2013 à 20:30:00
Lieu :
Pierre de Coubertin
82, avenue Georges Lafont  -  PARIS

*****************************
DUNKERQUE - MONTPELLIER     25 - 25 (Mi-temps : 11-12)
Statistiques du match

Date et Heure :

Le 14/11/2013 à 20:45:00
Lieu :
DEWERDT (Stade de Flandres)
Salle Dewert
Avenue de Rosendael  -  DUNKERQUE

*****************************
DIJON  - CESSON RENNES    27 - 26 (Mi-temps : 13-14)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 14/11/2013 à 20:30:00
Lieu :
Jean-Michel Geoffroy
17, rue Léon Mauris  - DIJON

***************************** 
HBC NANTES - SAINT RAPHAEL    31 - 27 (Mi-temps : 19-11)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 15/11/2013 à 20:30:00
Lieu :
BEAULIEU
RUE ANDRE TARDIEU  -  NANTES



PAYS AIX -
FENIX TOULOUSE  
25 - 22 (Mi-temps : 13-10)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 15/11/2013 à 20:30:00
Lieu :
VAL DE L'ARC
33, CHEMIN DES INFIRMIERS  -  AIX EN PROVENCE

*****************************
CHAMBERY  - TREMBLAY    26 - 29 (Mi-temps : 13-14)  
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 16/11/2013 à 20:00:00
Lieu :
LE PHARE
800 avenue du Grand Arietaz  -  CHAMBERY

*****************************
U.S IVRY - USAM NIMES     29 - 23 (Mi-temps : 14-9)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 16/11/2013 à 20:00:00
Lieu :
Gymnase Auguste Delaune
16 rue Robespierre   -   IVRY SUR SEINE

LNH - 9ème J.: Pierrick Naudin, le Lucky Luke dijonnais 

LMSL

samedi 16 novembre 2013 - © Yves Michel

 8 min 36 de lecture

Le PSG accentue son avance en tête de la D1 masculine. Les Parisiens qui ont difficilement battu Sélestat profitent du match nul entre Dunkerque et Montpellier. En queue de classement, Dijon grâce notamment à Pierrick Naudin, s’offre une bouffée d’oxygène en s’imposant face à Cesson. Malgré leur succès face à Nîmes et à Chambéry, Ivry et Tremblay restent en position de relégables.

Depuis le match nul concédé à Aix, Cesson est véritablement en perte de vitesse avec trois défaites de rang, coupe de la Ligue confondue.  Jeudi, les Bretons se sont réveillés un peu tard et se sont inclinés à Dijon sur la plus étroite des marges (27-26).  Pour les Bourguignons, ce 3ème succès de la saison arrive au bon moment puisque le calendrier avant la trêve est très relevé avec comme prochains adversaires Saint-Raphaël, Nantes, Dunkerque et Toulouse. L’équipe de Denis Lathoud reste parmi les meilleures défenses de la D1 et compte dans ses rangs de véritables talents comme Pierrick Naudin (de face sur notre photo de tête), 23 ans, qui avec 54 buts inscrits est la 6ème gâchette de LNH.  Formé au DBHB, le natif de Beaune a un parcours atypique dans le handball. Il a préféré quitter le club où il faisait ses classes et qui montait parmi l’élite pour s’aguerrir deux niveaux en dessous à Semur. « L’envie de jouer était plus forte, avoue l’intéressé. Quand Dijon m’a fait comprendre que je n’avais pas le niveau, je n’ai pas hésité à aller voir ailleurs. » A 80 kilomètres de là, en Nationale 1 puis les deux années suivantes en Pro D2. «Je suis convaincu que si Semur ne m’avait pas accueilli, aujourd’hui, je ne ferais pas du hand à ce niveau. J’ai vraiment appris et progressé. » Le retour à Dijon est suivi d’effets, l’équipe après quelques péripéties administratives et une menace de rétrogradation, accède à l’élite. « Le président nous a demandé de lui faire confiance et on a été préservé des soucis extra-sportifs. A l’intérieur de l’équipe, on s’est préservé de tout ce qui se racontait à l’extérieur. Et on a eu raison. » Le promu reste fragile et même si l’effectif compte des éléments expérimentés (Poletti, Stojinovic, Parent, Redei), Denis Lathoud, l’entraîneur ne dispose pas d’une profondeur de banc qui lui permet de rivaliser avec les plus grosses cylindrées. Pourtant et c’est le paradoxe, c’est face au PSG et Montpellier que les Bourguignons ont réalisé leurs meilleures prestations et ce, en dépit de la défaite. « J’ai toujours crû en nos forces, car il y a de la qualité dans le groupe. C’est bien de faire des bons matches contre les gros mais il faut être plus régulier contre nos adversaires directs. L’objectif, c’est quand même le maintien. » Jeudi, Dijon a bien failli sortir bredouille de son palais des sports. Avec cinq buts de retard à la 54ème (27-22), Cesson est revenu à une longueur à moins de deux minutes du buzzer final. « Ils ont mis en place une défense assez haute avec une double stricte et on n’a pas su s’adapter. On a lâché trop de balles et avec Genty à la relance, ils ont pu refaire leur retard mais l’essentiel c’est d’avoir gagné, même d’un but. » Et six unités de plus au capital de Pierrick Naudin qui rivalise avec les meilleurs réalisateurs du championnat comme Gajic, Olsen et Rivera. 54 buts au total, celui à qui on reprochait il y a peu, sa "petite" taille et son manque de carrure (pour un arrière) commence à susciter une réelle attention. « Cela serait malhonnête de dire que cela ne fait pas plaisir mais marquer beaucoup de buts, c’est encore plus plaisant quand on gagne. La saison est longue, je ne me prends pas la tête, je savoure ces moments, on a encore beaucoup de travail à accomplir pour parvenir à se maintenir. » Le jeune arrière en fin de contrat l’été prochain et qui a abandonné ses études pour entièrement se consacrer à son sport, reste lucide. « Notre calendrier avant la trêve est compliqué. Il faudra envisager de prendre des points contre les gros, pourquoi pas lors du prochain match à St Raphaël. Il faut éviter les trous d’air comme ceux qu’on a eu à Ivry ou face à Nîmes. A titre personnel, j’ai envie que cela se passe bien. Maintenant que j’ai goûté à la LNH, j’ai envie d’y rester.  » De la même génération que Luka Karabatic, William Accambray ou Xavier Barachet, Pierrick Naudin est un joueur à suivre et très certainement un nom à retenir. 



Cette 9ème journée est synonyme de coup d'arrêt pour Toulouse qui après quatre succès consécutifs en championnat, est allé s'incliner à Aix. Sans Jérôme Fernandez (en "pige" au Qatar) et Danjel Andjelkovic (blessé), le Fenix a toujours couru après le score avant d'y croire vraiment à 10 minutes de la fin (18-18) mais Robin Cappelle dans les cages aixoises (16 arrêts) et Alexandros Vasilakis (9 buts - notre photo) ont su faire la différence. L'absence de son buteur patenté est préjudiciable à l'équipe haut-garonnaise, Nemanja Ilic (9 buts) a fait ce qu'il a pu. Ce n'était pas suffisant.

Nantes qui restait sur une série de contreperformances dont une élimination de la Coupe de la Ligue, s'est bien repris face à St Raphaël (voir le résumé du match). Les Varois ont promené leur misère durant cinquante minutes avant de réagir (un peu tard) en fin de rencontre mais s'incliner fort logiquement (31-27).

Jeudi, dans le match au sommet, la course poursuite entre Dunkerque et Montpellier n'a livré aucun vainqueur. Chacune des deux équipes aurait pu l'emporter, les Nordistes semblaient tenir leur succès, c'était sans compter sur Mathieu Grébille qui entré avec la chasuble, a égalisé à vingt secondes de la fin (25-25). Ce partage des points est profitable au PSG. Les Parisiens qui pensaient que battre Sélestat ne serait qu'une simple formalité, sont tombés sur une équipe alsacienne revancharde après la gifle et les douze buts d'écart en coupe de la Ligue. Excepté dans les cinq dernières minutes, Gabor Csaszar (notre photo) et ses partenaires n'ont mis aucun rythme sur cette rencontre, peu aidés il est vrai par la totale déroute de J.M Sierra dans ses cages (0/10). 




A Nîmes, depuis plus de 50 ans, on a beau jeu de mettre certaines valeurs en exergue. Combativité, solidarité et abnégation font partie de l'ADN du club. Mais quand chacun joue dans son coin et confond jeu brouillon à jeu construit cela ne peut pas fonctionner. Alors c'est vrai, à Ivry, les Gardois sont tombés sur un grand Chapon dans ses buts (26 arrêts à 54% !), sur une attaque val-de-marnaise plus efficace dans le sillage d'un Seba Simonet (notre photo) omniprésent et d'une défense qui sans être irrésistible a bien répondu dans les moments clés. Nîmes est resté trop en retrait, souvent sans solutions offensives et avec un bloc défensif très enrhumé à force de laisser entrer les courants d'air. Menés 5-0 après dix minutes, les hommes de Jérôme Chauvet ont pourtant refait une partie de leur retard (10-8 à la 25ème) avant de retomber dans leurs travers (14-9 à la pause). "Mes joueurs étaient prévenus, expliquait Pascal Léandri, face à un adversaire direct pour le maintien, il fallait mettre une grosse pression d'entrée. On a su rester devant au score et avec une certaine confiance, on a pu les mettre en difficulté, notamment en 2ème période." En effet, les Rossoneri vont tirer profit du second acte et faire fructifier leur avance. Nîmes n'a que trop rarement donné le change et s'est logiquement incliné (29-23). La semaine prochaine, c'est un autre test qui attend les deux équipes. Ivry se déplace à Cesson (qui n'est pas au mieux ces temps-ci), l'Usam accueillera... Chambéry (un autre mal en point du moment).

Chambéry, éliminé de la coupe de la Ligue, privé de Bertrand Gille et surtout d'Edin Basic fait une bien mauvaise opération face à une équipe de Tremblay (en partie) retrouvée. Contre toute attente, les Savoyards se sont inclinés (26-29) à domicile pour la 2ème fois de la saison. C'est en fin de 1ère période et en début de seconde, que les Franciliens vont prendre un réel ascendant sur leur adversaire. La pression, les hommes de Mario Cavalli vont la subir très longtemps jusqu'à la 50ème, avant d'égaliser (25-25) et espérer, avec le soutien du public, un fléchissement de Tremblay. Le scénario corrigé par le bras dévastateur d'Oussama Boughamni (notre photo - 10/14 sur son aile gauche), sera tout autre. Contrairement à leurs prestations passées, les Séquanodionysiens ne vont rien lâcher et malgré un Maxime Diot en réussite devant sa ligne, ils vont trouver la faille et arracher deux points précieux qui leur évitent la lanterne rouge de la D1. Pour Chambéry, l'hiver risque d'être rude et long.



PARIS ST GERMAIN - SELESTAT     37 - 34 (Mi-temps : 18-18)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 13/11/2013 à 20:30:00
Lieu :
Pierre de Coubertin
82, avenue Georges Lafont  -  PARIS

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DUNKERQUE - MONTPELLIER     25 - 25 (Mi-temps : 11-12)
Statistiques du match

Date et Heure :

Le 14/11/2013 à 20:45:00
Lieu :
DEWERDT (Stade de Flandres)
Salle Dewert
Avenue de Rosendael  -  DUNKERQUE

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DIJON  - CESSON RENNES    27 - 26 (Mi-temps : 13-14)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 14/11/2013 à 20:30:00
Lieu :
Jean-Michel Geoffroy
17, rue Léon Mauris  - DIJON

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HBC NANTES - SAINT RAPHAEL    31 - 27 (Mi-temps : 19-11)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 15/11/2013 à 20:30:00
Lieu :
BEAULIEU
RUE ANDRE TARDIEU  -  NANTES



PAYS AIX -
FENIX TOULOUSE  
25 - 22 (Mi-temps : 13-10)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 15/11/2013 à 20:30:00
Lieu :
VAL DE L'ARC
33, CHEMIN DES INFIRMIERS  -  AIX EN PROVENCE

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CHAMBERY  - TREMBLAY    26 - 29 (Mi-temps : 13-14)  
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 16/11/2013 à 20:00:00
Lieu :
LE PHARE
800 avenue du Grand Arietaz  -  CHAMBERY

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U.S IVRY - USAM NIMES     29 - 23 (Mi-temps : 14-9)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 16/11/2013 à 20:00:00
Lieu :
Gymnase Auguste Delaune
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