bandeau handzone

Après France – Suède : Réactions et photos

Euro

jeudi 23 janvier 2014 - © Cathy Tachdjian

 3 min 53 de lecture

Pas forcément la grosse ambiance à la sortie de la première défaite de la France, même si celle-ci comptait pour du beurre. Mais très vite tout le monde se projetait vers la demi-finale vers l’Espagne, avec pour chacun, un vrai respect du niveau du champion du Monde en titre, même si tout les Bleus pensent que tout est faisable.

Cyril Dumoulin :
Vous connaissiez l’adversaire de votre demie finale avant le match, cela a joué dans votre concentration, vous aviez la tête ailleurs ?

Ce match il ne jouait pas sur la qualification, sur le classement, si ce n’est maintenir la confiance et faire évoluer ceux qui jouaient un peu moins depuis le début de l’EURO. On va enchainer sur du très haut niveau et il fallait mobiliser tout le monde. Cela a été fait mais le résultat n’est pas au rendez vous et ce n’est pas satisfaisant.  Pour ma part, c’est mi figue mi raisin : Je fais une bonne rentrée mais j’ai été un peu plus en difficulté dans la deuxième partie. Mais c’est sur ces matches la qu’on apprend et je compte bien l’utiliser pour la suite. Je dois encore faire mieux.

Vous devenez des favoris ?
Non pas encore. L’Espagne est championne du monde en titre avec une culture tactique et défensive extrêmement solide. Ils ont toujours les armes, donc ce match va se jouer sur peu de choses finalement et il faudra y mettre l’engagement et l’état d’esprit que nous avons depuis le début de ce championnat d’Europe.

Ils sont un peu orphelins de leurs gardiens ?
Oui peut être, même si Sierra est un très bon gardien et Vargas a un très bon potentiel qui sur un match est capable de tuer l’adversaire comme l’a fait le jeune polonais contre la Suède. C’est sur que Sterbik qui est un des tous meilleurs gardiens du monde leur manque mais ce n’est pas pour autant qu’ils n’ont personne dans les cages.

Thierry Omeyer :
On était assuré de la première place. L’important aujourd’hui c’était que tout le mode puisse jouer. Et que ceux qui avaient été beaucoup sollicités soufflent. On a un match super important dans 48 heures avec ce France Espagne, un gros, gros match ! Ce sont les champions du monde en titre ; On va récupérer du mieux possible ; C’est quand même notre sixième match en neuf ou dix jours.

Et l’Espagne alors ?
L’Espagne, on sait que c’est fort, et ils viennent de récupérer leur pivot sur lequel ils s’appuient beaucoup, Aguinagalde. Ils ont des joueurs très forts à tous les postes, qui évoluent tous dans la ligue des champions et qui étaient dans l’équipe titrée en Espagne. Ils se connaissent bien, on sait que ce sera costaud.

Tu joueras ta douzième demie - finale en dix sept compétitions ?
C’est bien, j’espère qu'on va se qualifier pour la finale. On a atteint un premier objectif on doit aller au bout, continuer l’aventure. Vous voulez aider ces jeunes à aller vers une première conquête. Oui on les sent présents, ils sont la derrière, ils s’intègrent très bien. Ils sont performants et à l’écoute.

Nicolas Karabatic :
Favori ou pas, entre nous, le statut n’a pas d’importance pour nous. On veut jouer à fond, on arrive dans les demies, on est la pour jouer les médailles et le titre, on continue sur notre lancée. On joue bien depuis le début, on s’est battu. A partir de la, on est en confiance, il ne faut pas s’arrêter. On regardera après ce week-end si on a une médaille ou pas. On va jouer à fond toutes nos chances. L’Espagne ? Ils ont gagné tous les matches sauf le Danemark sans trop d’arrêts de leurs gardiens. Mais ils ont l’expérience de ces gros matches, ce sera de toute façon un gros match.

Après France – Suède : Réactions et photos 

Euro

jeudi 23 janvier 2014 - © Cathy Tachdjian

 3 min 53 de lecture

Pas forcément la grosse ambiance à la sortie de la première défaite de la France, même si celle-ci comptait pour du beurre. Mais très vite tout le monde se projetait vers la demi-finale vers l’Espagne, avec pour chacun, un vrai respect du niveau du champion du Monde en titre, même si tout les Bleus pensent que tout est faisable.

Cyril Dumoulin :
Vous connaissiez l’adversaire de votre demie finale avant le match, cela a joué dans votre concentration, vous aviez la tête ailleurs ?

Ce match il ne jouait pas sur la qualification, sur le classement, si ce n’est maintenir la confiance et faire évoluer ceux qui jouaient un peu moins depuis le début de l’EURO. On va enchainer sur du très haut niveau et il fallait mobiliser tout le monde. Cela a été fait mais le résultat n’est pas au rendez vous et ce n’est pas satisfaisant.  Pour ma part, c’est mi figue mi raisin : Je fais une bonne rentrée mais j’ai été un peu plus en difficulté dans la deuxième partie. Mais c’est sur ces matches la qu’on apprend et je compte bien l’utiliser pour la suite. Je dois encore faire mieux.

Vous devenez des favoris ?
Non pas encore. L’Espagne est championne du monde en titre avec une culture tactique et défensive extrêmement solide. Ils ont toujours les armes, donc ce match va se jouer sur peu de choses finalement et il faudra y mettre l’engagement et l’état d’esprit que nous avons depuis le début de ce championnat d’Europe.

Ils sont un peu orphelins de leurs gardiens ?
Oui peut être, même si Sierra est un très bon gardien et Vargas a un très bon potentiel qui sur un match est capable de tuer l’adversaire comme l’a fait le jeune polonais contre la Suède. C’est sur que Sterbik qui est un des tous meilleurs gardiens du monde leur manque mais ce n’est pas pour autant qu’ils n’ont personne dans les cages.

Thierry Omeyer :
On était assuré de la première place. L’important aujourd’hui c’était que tout le mode puisse jouer. Et que ceux qui avaient été beaucoup sollicités soufflent. On a un match super important dans 48 heures avec ce France Espagne, un gros, gros match ! Ce sont les champions du monde en titre ; On va récupérer du mieux possible ; C’est quand même notre sixième match en neuf ou dix jours.

Et l’Espagne alors ?
L’Espagne, on sait que c’est fort, et ils viennent de récupérer leur pivot sur lequel ils s’appuient beaucoup, Aguinagalde. Ils ont des joueurs très forts à tous les postes, qui évoluent tous dans la ligue des champions et qui étaient dans l’équipe titrée en Espagne. Ils se connaissent bien, on sait que ce sera costaud.

Tu joueras ta douzième demie - finale en dix sept compétitions ?
C’est bien, j’espère qu'on va se qualifier pour la finale. On a atteint un premier objectif on doit aller au bout, continuer l’aventure. Vous voulez aider ces jeunes à aller vers une première conquête. Oui on les sent présents, ils sont la derrière, ils s’intègrent très bien. Ils sont performants et à l’écoute.

Nicolas Karabatic :
Favori ou pas, entre nous, le statut n’a pas d’importance pour nous. On veut jouer à fond, on arrive dans les demies, on est la pour jouer les médailles et le titre, on continue sur notre lancée. On joue bien depuis le début, on s’est battu. A partir de la, on est en confiance, il ne faut pas s’arrêter. On regardera après ce week-end si on a une médaille ou pas. On va jouer à fond toutes nos chances. L’Espagne ? Ils ont gagné tous les matches sauf le Danemark sans trop d’arrêts de leurs gardiens. Mais ils ont l’expérience de ces gros matches, ce sera de toute façon un gros match.

Dans la même rubrique