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Issy-Paris prend le quart aux dépens d'Istanbul

Europe

lundi 10 février 2014 - Handzone

 1 min 11 de lecture

Après avoir laissé leurs adversaires Turques à onze longueurs à l’issue du match aller de ces huitièmes de finale de la Challenge Cup, les Lionnes parisiennes retrouvaient les Stambouliotes du club d’Istanbul Maltepe le lendemain à Maubeuge pour le match retour. À nouveau, devant un très nombreux public, les Parisiennes n’ont fait qu’une bouchée d’Istanbul. Prenant rapidement la direction du jeu (11-4, 15e), Issy-Paris faisait preuve d’une domination caricaturale pour atteindre la pause sur la marque de 20 à 9.

Au retour des vestiaires, la différence trop importante entre les deux équipes était flagrante à l’image de la perforante Stine Oftedal ou encore d’Astride N’Gouan. Les rotations parisiennes permettaient une certaine fraîcheur dans le jeu des Lionnes ce qui n’était pas le cas dans le camp adverse, les Stambouliotes ne s’étant pas déplacées avec un effectif complet. Quoi qu’il en soit, la troupe d’Arnaud Gandais ne levait pas le pied pour terminer sur le score de 39 à 20.

À l’issue de la rencontre, Arnaud Gandais, l’entraîneur d’Issy-Paris, expliquait qu’à ce niveau de la compétition, il ne fallait pas se rater. C’était la raison pour laquelle son groupe avait travaillé sérieusement pour se qualifier rapidement pour le tour suivant.

Jean-Pierre MALEWICZ pour

Issy-Paris prend le quart aux dépens d'Istanbul 

Europe

lundi 10 février 2014 - Handzone

 1 min 11 de lecture

Après avoir laissé leurs adversaires Turques à onze longueurs à l’issue du match aller de ces huitièmes de finale de la Challenge Cup, les Lionnes parisiennes retrouvaient les Stambouliotes du club d’Istanbul Maltepe le lendemain à Maubeuge pour le match retour. À nouveau, devant un très nombreux public, les Parisiennes n’ont fait qu’une bouchée d’Istanbul. Prenant rapidement la direction du jeu (11-4, 15e), Issy-Paris faisait preuve d’une domination caricaturale pour atteindre la pause sur la marque de 20 à 9.

Au retour des vestiaires, la différence trop importante entre les deux équipes était flagrante à l’image de la perforante Stine Oftedal ou encore d’Astride N’Gouan. Les rotations parisiennes permettaient une certaine fraîcheur dans le jeu des Lionnes ce qui n’était pas le cas dans le camp adverse, les Stambouliotes ne s’étant pas déplacées avec un effectif complet. Quoi qu’il en soit, la troupe d’Arnaud Gandais ne levait pas le pied pour terminer sur le score de 39 à 20.

À l’issue de la rencontre, Arnaud Gandais, l’entraîneur d’Issy-Paris, expliquait qu’à ce niveau de la compétition, il ne fallait pas se rater. C’était la raison pour laquelle son groupe avait travaillé sérieusement pour se qualifier rapidement pour le tour suivant.

Jean-Pierre MALEWICZ pour

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