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Le réveil tardif de St Amand-les-Eaux

Nationale 1F

lundi 19 mai 2014 - Handzone

 2 min 31 de lecture

Un vent nouveau soufflait samedi soir dans la salle amandinoise à l’heure de l’échauffement, samedi soir. Sourires sur les lèvres des joueuses hennuyères, enlacements amicaux, encouragements, etc… L’ambiance avait un air de joyeuses retrouvailles mettant de côté les difficultés extra sportives du club que le président Béghin ne voulait pas aborder. On a même vu un Stéphane Pellan des grands jours, souriant et aboyant de bon aloi lorsque la situation l’exigeait vraiment. St Amand-les-Eaux, telle une princesse, s’éveillait enfin après de longues semaines (depuis la mi-mars) d’un incroyable sommeil qui venait enfouir toute velléité de montée en D2.

Si Stéphane Pellan alignait douze joueuses dont ses trois excellentes gardiennes (Alisson Davigny, Marielle Bourse et Élodie Évrard), il n’en était pas de même du côté vésulien où Cheikh Seck devait, à nouveau, jongler avec un effectif réduit réduisant à néant de nombreuses possibilités de rotations. Mais son pari de maintien a toutefois été tenu.

Au début du match, ce sont d’ailleurs les Vésuliennes qui ouvraient la marque. Néanmoins, les Amandinoises allaient rapidement prendre la direction du jeu pour clore la première période avec dix buts d’avance : 18 à 8. Mais étrangement, Vesoul n’a jamais paru lever le pied ou accepter une défaite qui, pourtant, se dessinait. Tout le monde se souvenait des secondes périodes des Amandinoises pendant lesquelles le bâton se retournait contre elles. Mais cela ne fut pas le cas cette fois-ci. Les Hennuyères repartaient comme en première période et grâce à Sandra Kuridza, à Eszter Hodosi et à Aurore Sanz, entre autres. À l’issue de l’heure de match, St Aman confortait sa place sur le podium de la poule 2 de N2 tandis que Vesoul appréciait son maintien à ce niveau comme l’expliquait Cheikh Seck : « Le sous-effectif est ce qu’on a vécu toute la saison surtout sur les matches à l’extérieur. En plus, on a joué avec une seule rotation car une de mes joueuses s’est blessée en première mi-temps. Il nous fallait tenir deux équipes derrière nous pour assurer le maintien et nous avons réussi à le faire. C’était le principal. Ce maintien qu’on a obtenu vaut la montée de la Stella Saint-Maur. »

Autre entraîneur satisfait, Stéphane Pellan, celui de St Amand-les-Eaux : « L’idée pour ce match était de retrouver la solidarité du groupe. Ce n’était pas le meilleur match qu’on ait fait mais sur l’intention et sur l’envie, on a été bien ce soir. Les filles ont répondu présent : bravo ! » Quant à soir si on reverra Stéphane Pellan et son groupe en N1 la saison prochaine, la réponse a été relativement normande : « L’avenir nous le dira… »

Jean-Pierre MALEWICZ pour

Le réveil tardif de St Amand-les-Eaux 

Nationale 1F

lundi 19 mai 2014 - Handzone

 2 min 31 de lecture

Un vent nouveau soufflait samedi soir dans la salle amandinoise à l’heure de l’échauffement, samedi soir. Sourires sur les lèvres des joueuses hennuyères, enlacements amicaux, encouragements, etc… L’ambiance avait un air de joyeuses retrouvailles mettant de côté les difficultés extra sportives du club que le président Béghin ne voulait pas aborder. On a même vu un Stéphane Pellan des grands jours, souriant et aboyant de bon aloi lorsque la situation l’exigeait vraiment. St Amand-les-Eaux, telle une princesse, s’éveillait enfin après de longues semaines (depuis la mi-mars) d’un incroyable sommeil qui venait enfouir toute velléité de montée en D2.

Si Stéphane Pellan alignait douze joueuses dont ses trois excellentes gardiennes (Alisson Davigny, Marielle Bourse et Élodie Évrard), il n’en était pas de même du côté vésulien où Cheikh Seck devait, à nouveau, jongler avec un effectif réduit réduisant à néant de nombreuses possibilités de rotations. Mais son pari de maintien a toutefois été tenu.

Au début du match, ce sont d’ailleurs les Vésuliennes qui ouvraient la marque. Néanmoins, les Amandinoises allaient rapidement prendre la direction du jeu pour clore la première période avec dix buts d’avance : 18 à 8. Mais étrangement, Vesoul n’a jamais paru lever le pied ou accepter une défaite qui, pourtant, se dessinait. Tout le monde se souvenait des secondes périodes des Amandinoises pendant lesquelles le bâton se retournait contre elles. Mais cela ne fut pas le cas cette fois-ci. Les Hennuyères repartaient comme en première période et grâce à Sandra Kuridza, à Eszter Hodosi et à Aurore Sanz, entre autres. À l’issue de l’heure de match, St Aman confortait sa place sur le podium de la poule 2 de N2 tandis que Vesoul appréciait son maintien à ce niveau comme l’expliquait Cheikh Seck : « Le sous-effectif est ce qu’on a vécu toute la saison surtout sur les matches à l’extérieur. En plus, on a joué avec une seule rotation car une de mes joueuses s’est blessée en première mi-temps. Il nous fallait tenir deux équipes derrière nous pour assurer le maintien et nous avons réussi à le faire. C’était le principal. Ce maintien qu’on a obtenu vaut la montée de la Stella Saint-Maur. »

Autre entraîneur satisfait, Stéphane Pellan, celui de St Amand-les-Eaux : « L’idée pour ce match était de retrouver la solidarité du groupe. Ce n’était pas le meilleur match qu’on ait fait mais sur l’intention et sur l’envie, on a été bien ce soir. Les filles ont répondu présent : bravo ! » Quant à soir si on reverra Stéphane Pellan et son groupe en N1 la saison prochaine, la réponse a été relativement normande : « L’avenir nous le dira… »

Jean-Pierre MALEWICZ pour

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