bandeau handzone

PSG et Montpellier cartonnent, Dunkerque détonne

LMSL

jeudi 25 septembre 2014 - © Yves Michel

 8 min 40 de lecture

En attendant ce jeudi soir le résultat de Créteil-Nantes, Montpellier reste la seule équipe invaincue de LNH et occupe sans partage la tête du classement. Le PSG et St Raphaël tiennent le cap pendant que Dunkerque en voyage à Toulouse, se prend une 2ème fois les pieds dans le tapis. Tremblay s'offre un peu d'oxygène en terre istréenne.

Quelle soirée mes amis ! Dunkerque qui enregistre sa 2ème défaite en 3 matches de championnat, Cesson qui passe sous le rouleau compresseur parisien, Montpellier tel un diesel qui a du mal à se mettre en route et qui ensuite se sent pousser des ailes face à Sélestat, Aix qui perd sa défense face à un St Raphaël en pleine confiance et Tremblay qui se rassure en allant empocher deux précieux points à Istres, voilà  les 1ers ingrédients du 3ème acte de la 1ère division masculine.

A Coubertin, Paris n’a jamais été mis en danger. Si en début de rencontre, Cesson a tenté de s’accrocher, Thierry Omeyer a rapidement dégoûté les artificiers bretons et permis à son équipe de rapidement creuser l’écart (5-1 après 11’). La défense parisienne au sein de laquelle Zacharia N’Diaye faisait son retour après plus de deux ans d’absence, a également accompli le travail que Philippe Gardent attendait d’elle (15-10 à la pause). Alors que Mikkel Hansen (notre photo de tête), a été étincelant et fait des ravages dans le bloc cessonnais (meilleur buteur du match avec 8/8), les Bretons se sont usés face aux grands gabarits parisiens. Seul Mathieu Lanfranchi dans son poste de prédilection a su tirer son épingle du jeu (7/9). En seconde période, le PSG n’a pas eu à forcer son talent et a surtout profité de ses récupérations en défense et des nombreuses pertes de balle adverses pour alimenter son crédit. A 20 minutes du terme, le match était bel et bien plié (22-14), Yérime Sylla posait un temps mort sans grande utilité. D’autant que derrière, Luc Abalo et Samuel Honrubia vont tromper en contre, l’infortuné Mickael Robin. La stat la plus significative sera ce 16 à 2 encaissé en onze minutes ! Dix-huit buts d’écart au plus fort, seize à l’arrivée (35-19), la correction est lourde, sans doute trop sévère pour une équipe de Cesson qui méritait mieux.  «Quand ils jouent comme ça et que nous, on joue de cette façon avec des joueurs diminués, la différence est énorme, constatait impuissant Yérime Sylla, l’entraîneur cessonnais. Ce qui est aussi juste gênant c’est d’avoir lâcher le morceau un peu trop vite. On est venu jouer Paris, peut-être trop en étant justement Cesson, là-dessus il faut qu’on grandisse. Maintenant on sait que dans la série qu’on a à jouer, c’est Sélestat, le match coché en rouge, je serai plus déçu si on perd là-bas d’un but que ce score face à Paris. » Pas d’euphorie indécente dans le camp parisien, ce n’est pas le genre de la maison. Simplement la satisfaction du devoir accompli, en ayant fait tourner les quatorze éléments inscrits sur la feuille de match. Parmi lesquels William Accambray qui autant en défense qu’en attaque a été plus performant que lors des deux premières journées. « Ce soir, j’ai senti l’équipe plus libérée, ça s’est vu dans notre jeu, la défense a été beaucoup plus performante. On a imposé notre tempo en mettant toute l’agressivité nécessaire face à une équipe qui joue beaucoup sur le physique donc on a essayé d’en mettre plus qu’eux. Ça nous a permis d’exploiter beaucoup de contres et d’être très efficaces en attaque. Le public s’est régalé, ça s’est senti dans les tribunes. On fait aussi ce métier-là pour donner du plaisir aux gens. » Ce succès tombe à pic pour le PSG, quatre jours avant le 1er rendez-vous de Ligue des Champions. En Macédoine, dans la fournaise du Metalurg Skopje qui la saison dernière avait réservé un traquenard aux hommes de Philippe Gardent. « Cette victoire face à Cesson nous met en confiance, martèle l’arrière international. C’est bien de se dire qu’on a un bon niveau de jeu et que tout l’effectif est opérationnel. Dans le contexte qui nous attend, c’est primordial. »

Satisfaction parisienne, désillusion dunkerquoise. Dunkerque n'y arrive plus ! Où est donc ce champion si fringant qui avait maîtrisé avec aplomb la fin de saison dernière ? Comme le craignait Patrick Cazal depuis la reprise, l'équipe nordiste n'a semble-t-il pas digéré ce qui lui est arrivé voilà quelques mois. La défaite d'un but face à Cesson et le court succès de deux longueurs face à Nîmes avaient été deux avertissements sans frais, la déroute subie face à Toulouse (33-25) est préoccupante. Curieux scénario que celui de cette confrontation qui sourit aux Dunkerquois en 1ère période malgré une belle résistance du Fénix (12-14 à la pause) et une capitulation au retour des vestiaires. Quatre minutes vont être nécessaires aux partenaires de Miha Zvizej (notre photo) pour repasser devant. Mieux même, le Fénix plus serein, va prendre toute la dimension du terrain et asseoir sa domination (30-22 à la 52ème). Jamais, l'USDK ne comblera son retard et le passif de huit buts restera au buzzer final (33-25).  « C’est une défaite qui fait mal, qui fait très mal même, avouait Patrick Cazal. Je trouvais que sur les huit derniers jours d’entrainement il y avait du mieux, mais comme je leur avais dit, il fallait que ça se valide sur le terrain, ce qui n’a pas été le cas ce soir. Je suis responsable et je dois trouver les solutions pour qu'on soit performants au prochain match. Si on connaissait les raisons de cet échec, il nous serait plus facile de le corriger. Dans tous les cas, on ne va pas lâcher, c’est un groupe qui va s’enfermer dans le travail, on va déjà essayer d’être meilleur dimanche. » Et dimanche, Dunkerque entrera dans une autre dimension, celle de la Ligue des Champions, face aux Danois d'Aalborg. Du côté de Toulouse, c'est le 3ème succès à domicile en quatre matches, le second consécutif.  «Nous sommes allés chercher cette victoire avec le cœur, se plaisait à souligner Wesley Pardin. La défense a fait un grand match et si j'ai pu être efficace, c'est surtout grâce à Vladimir Osmajic qui a beaucoup gêné les tireurs adverses. » Altruiste le portier toulousain ! Et c'est finalement dans ce rôle-là qu'il est le plus apprécié !

avec la collaboration de Mélody Ramirez à Toulouse.




Montpellier serait il facétieux ? Le genre de fantaisie qui ne plait pas du tout, mais alors pas du tout à Patrice Canayer ! Car dans son antre de Bougnol, à la maison quoi, après 20 minutes, le MAHB était mené (10-13) par Sélestat. Il faudra un recadrage du technicien héraultais lors d'un temps mort avant le sursaut tant attendu de son équipe et un ultime but dans cette 1ère période de Diego Simonet (notre photo) pour recoller au score (15-15 à la pause). Alors que Arnaud Siffert lui avait laissé sa place, Venio Losert va s'avérer déterminant dans ses cages. Pendant onze minutes et un seul petit but inscrit, Sélestat va buter sur le gardien croate ou se montrer très maladroit. Montpellier va profiter de la situation pour passer devant et prendre le large (21-16 à la 41ème). Et ce, malgré la présence autoritaire de Richard Kappelin, le portier alsacien (25 arrêts tout de même sur l'ensemble de la rencontre). L'efficacité des multiples champions de France va finalement mieux payer avec une victoire assez nette et dont l'écart au score (34-24) ne reflète en rien la physionomie de la rencontre. « Le score est satisfaisant, la manière un peu moins, reconnaissait Patrice Canayer. Tu as l’impression que tu joues bien mais finalement, il y avait pas mal de défauts à gommer. Après ce match, il est difficile pour moi de parler de l’équipe. Certains étaient bien dans leurs têtes et d’autres, je ne l’explique pas n’étaient pas sur le terrain avec nous.» Constat assez tranché de l'entraîneur montpelliérain qui dès ce jeudi aura les yeux rivés sur le déplacement à Mannheim et le match de Ligue des Champions, prévu samedi face à Rhein Neckar Löwen.  

  

Dans les deux autres rencontres de cette soirée, les équipes qui se déplaçaient ont pris le dessus. St Raphaël avec encore une fois un Djukanovic impérial dans ses cages (16 arrêts) a confirmé sa dynamique du moment en allant s'imposer à Aix (29-35). Non loin de là, à 50 km plus à l'ouest, Istres a perdu un de ces matches qu'il ne fallait pas perdre. Face à Tremblay qui jusque-là, ne parvenait pas à décoller des profondeurs du classement. Comme le redoutait le capitaine istréen Bastien Cismondo, son ancien partenaire gardien Aljosa Rezar passé dans le camp adverse à l'intersaison a fait beaucoup de mal (17 arrêts) au camp provençal. Les deux équipes ne se sont pas lâchées d'une semelle pendant 48 minutes. Les dix dernières ont été fatales aux locaux. Ce sont surtout sur des attaquants retrouvés notamment Sébastien Bosquet (notre photo) et surtout bien utilisés comme les deux Tunisiens Boughanmi et Chouiref que les Franciliens ont pu compter pour remporter leur 1ère rencontre officielle de la saison (26-30). Pour Istres malgré les neuf réalisations du jeune Théo Derot, les lendemains s'annoncent difficiles.

PARIS ST GERMAIN - CESSON RENNES     35 - 19

Statistiques du match

Date et Heure :
Le 24/09/2014 à 20:30:00
Lieu :
Pierre de Coubertin
82, avenue Georges Lafont  -  PARIS


FENIX TOULOUSEDUNKERQUE           33 - 25

Statistiques du match

Date et Heure :
Le 24/09/2014 à 20:30:00
Lieu :
Palais des Sports de Toulouse
3 rue Pierre Laplace  -  TOULOUSE


ISTRES OPH - TREMBLAY EN FRANCE      26 - 30

Statistiques du match

Date et Heure :
Le 24/09/2014 à 20:30:00
Lieu :
HALLE POLYVALENTE
Quartier de la Pyramide
Place Champollion
Rue de l'Equerre - Quartier de la Pyramide  -  ISTRES

PAYS AIX U.C - SAINT RAPHAEL VHB      29 - 35

Statistiques du match

Date et Heure :
Le 24/09/2014 à 20:00:00
Lieu :
VAL DE L'ARC
33, CHEMIN DES INFIRMIERS  -  AIX EN PROVENCE



MONTPELLIER AHBSELESTAT ALSACE      34 - 24

Statistiques du match

Date et Heure :
Le 24/09/2014 à 20:45:00
Lieu :
Gymnase Rene Bougnol
Avenue du Val de Montferrand  -  MONTPELLIER


La Photo insolite de la soirée...

          
            "Frotte-toi à ma barbe, ça (Valentin) Porte bonheur
!"

PSG et Montpellier cartonnent, Dunkerque détonne  

LMSL

jeudi 25 septembre 2014 - © Yves Michel

 8 min 40 de lecture

En attendant ce jeudi soir le résultat de Créteil-Nantes, Montpellier reste la seule équipe invaincue de LNH et occupe sans partage la tête du classement. Le PSG et St Raphaël tiennent le cap pendant que Dunkerque en voyage à Toulouse, se prend une 2ème fois les pieds dans le tapis. Tremblay s'offre un peu d'oxygène en terre istréenne.

Quelle soirée mes amis ! Dunkerque qui enregistre sa 2ème défaite en 3 matches de championnat, Cesson qui passe sous le rouleau compresseur parisien, Montpellier tel un diesel qui a du mal à se mettre en route et qui ensuite se sent pousser des ailes face à Sélestat, Aix qui perd sa défense face à un St Raphaël en pleine confiance et Tremblay qui se rassure en allant empocher deux précieux points à Istres, voilà  les 1ers ingrédients du 3ème acte de la 1ère division masculine.

A Coubertin, Paris n’a jamais été mis en danger. Si en début de rencontre, Cesson a tenté de s’accrocher, Thierry Omeyer a rapidement dégoûté les artificiers bretons et permis à son équipe de rapidement creuser l’écart (5-1 après 11’). La défense parisienne au sein de laquelle Zacharia N’Diaye faisait son retour après plus de deux ans d’absence, a également accompli le travail que Philippe Gardent attendait d’elle (15-10 à la pause). Alors que Mikkel Hansen (notre photo de tête), a été étincelant et fait des ravages dans le bloc cessonnais (meilleur buteur du match avec 8/8), les Bretons se sont usés face aux grands gabarits parisiens. Seul Mathieu Lanfranchi dans son poste de prédilection a su tirer son épingle du jeu (7/9). En seconde période, le PSG n’a pas eu à forcer son talent et a surtout profité de ses récupérations en défense et des nombreuses pertes de balle adverses pour alimenter son crédit. A 20 minutes du terme, le match était bel et bien plié (22-14), Yérime Sylla posait un temps mort sans grande utilité. D’autant que derrière, Luc Abalo et Samuel Honrubia vont tromper en contre, l’infortuné Mickael Robin. La stat la plus significative sera ce 16 à 2 encaissé en onze minutes ! Dix-huit buts d’écart au plus fort, seize à l’arrivée (35-19), la correction est lourde, sans doute trop sévère pour une équipe de Cesson qui méritait mieux.  «Quand ils jouent comme ça et que nous, on joue de cette façon avec des joueurs diminués, la différence est énorme, constatait impuissant Yérime Sylla, l’entraîneur cessonnais. Ce qui est aussi juste gênant c’est d’avoir lâcher le morceau un peu trop vite. On est venu jouer Paris, peut-être trop en étant justement Cesson, là-dessus il faut qu’on grandisse. Maintenant on sait que dans la série qu’on a à jouer, c’est Sélestat, le match coché en rouge, je serai plus déçu si on perd là-bas d’un but que ce score face à Paris. » Pas d’euphorie indécente dans le camp parisien, ce n’est pas le genre de la maison. Simplement la satisfaction du devoir accompli, en ayant fait tourner les quatorze éléments inscrits sur la feuille de match. Parmi lesquels William Accambray qui autant en défense qu’en attaque a été plus performant que lors des deux premières journées. « Ce soir, j’ai senti l’équipe plus libérée, ça s’est vu dans notre jeu, la défense a été beaucoup plus performante. On a imposé notre tempo en mettant toute l’agressivité nécessaire face à une équipe qui joue beaucoup sur le physique donc on a essayé d’en mettre plus qu’eux. Ça nous a permis d’exploiter beaucoup de contres et d’être très efficaces en attaque. Le public s’est régalé, ça s’est senti dans les tribunes. On fait aussi ce métier-là pour donner du plaisir aux gens. » Ce succès tombe à pic pour le PSG, quatre jours avant le 1er rendez-vous de Ligue des Champions. En Macédoine, dans la fournaise du Metalurg Skopje qui la saison dernière avait réservé un traquenard aux hommes de Philippe Gardent. « Cette victoire face à Cesson nous met en confiance, martèle l’arrière international. C’est bien de se dire qu’on a un bon niveau de jeu et que tout l’effectif est opérationnel. Dans le contexte qui nous attend, c’est primordial. »

Satisfaction parisienne, désillusion dunkerquoise. Dunkerque n'y arrive plus ! Où est donc ce champion si fringant qui avait maîtrisé avec aplomb la fin de saison dernière ? Comme le craignait Patrick Cazal depuis la reprise, l'équipe nordiste n'a semble-t-il pas digéré ce qui lui est arrivé voilà quelques mois. La défaite d'un but face à Cesson et le court succès de deux longueurs face à Nîmes avaient été deux avertissements sans frais, la déroute subie face à Toulouse (33-25) est préoccupante. Curieux scénario que celui de cette confrontation qui sourit aux Dunkerquois en 1ère période malgré une belle résistance du Fénix (12-14 à la pause) et une capitulation au retour des vestiaires. Quatre minutes vont être nécessaires aux partenaires de Miha Zvizej (notre photo) pour repasser devant. Mieux même, le Fénix plus serein, va prendre toute la dimension du terrain et asseoir sa domination (30-22 à la 52ème). Jamais, l'USDK ne comblera son retard et le passif de huit buts restera au buzzer final (33-25).  « C’est une défaite qui fait mal, qui fait très mal même, avouait Patrick Cazal. Je trouvais que sur les huit derniers jours d’entrainement il y avait du mieux, mais comme je leur avais dit, il fallait que ça se valide sur le terrain, ce qui n’a pas été le cas ce soir. Je suis responsable et je dois trouver les solutions pour qu'on soit performants au prochain match. Si on connaissait les raisons de cet échec, il nous serait plus facile de le corriger. Dans tous les cas, on ne va pas lâcher, c’est un groupe qui va s’enfermer dans le travail, on va déjà essayer d’être meilleur dimanche. » Et dimanche, Dunkerque entrera dans une autre dimension, celle de la Ligue des Champions, face aux Danois d'Aalborg. Du côté de Toulouse, c'est le 3ème succès à domicile en quatre matches, le second consécutif.  «Nous sommes allés chercher cette victoire avec le cœur, se plaisait à souligner Wesley Pardin. La défense a fait un grand match et si j'ai pu être efficace, c'est surtout grâce à Vladimir Osmajic qui a beaucoup gêné les tireurs adverses. » Altruiste le portier toulousain ! Et c'est finalement dans ce rôle-là qu'il est le plus apprécié !

avec la collaboration de Mélody Ramirez à Toulouse.




Montpellier serait il facétieux ? Le genre de fantaisie qui ne plait pas du tout, mais alors pas du tout à Patrice Canayer ! Car dans son antre de Bougnol, à la maison quoi, après 20 minutes, le MAHB était mené (10-13) par Sélestat. Il faudra un recadrage du technicien héraultais lors d'un temps mort avant le sursaut tant attendu de son équipe et un ultime but dans cette 1ère période de Diego Simonet (notre photo) pour recoller au score (15-15 à la pause). Alors que Arnaud Siffert lui avait laissé sa place, Venio Losert va s'avérer déterminant dans ses cages. Pendant onze minutes et un seul petit but inscrit, Sélestat va buter sur le gardien croate ou se montrer très maladroit. Montpellier va profiter de la situation pour passer devant et prendre le large (21-16 à la 41ème). Et ce, malgré la présence autoritaire de Richard Kappelin, le portier alsacien (25 arrêts tout de même sur l'ensemble de la rencontre). L'efficacité des multiples champions de France va finalement mieux payer avec une victoire assez nette et dont l'écart au score (34-24) ne reflète en rien la physionomie de la rencontre. « Le score est satisfaisant, la manière un peu moins, reconnaissait Patrice Canayer. Tu as l’impression que tu joues bien mais finalement, il y avait pas mal de défauts à gommer. Après ce match, il est difficile pour moi de parler de l’équipe. Certains étaient bien dans leurs têtes et d’autres, je ne l’explique pas n’étaient pas sur le terrain avec nous.» Constat assez tranché de l'entraîneur montpelliérain qui dès ce jeudi aura les yeux rivés sur le déplacement à Mannheim et le match de Ligue des Champions, prévu samedi face à Rhein Neckar Löwen.  

  

Dans les deux autres rencontres de cette soirée, les équipes qui se déplaçaient ont pris le dessus. St Raphaël avec encore une fois un Djukanovic impérial dans ses cages (16 arrêts) a confirmé sa dynamique du moment en allant s'imposer à Aix (29-35). Non loin de là, à 50 km plus à l'ouest, Istres a perdu un de ces matches qu'il ne fallait pas perdre. Face à Tremblay qui jusque-là, ne parvenait pas à décoller des profondeurs du classement. Comme le redoutait le capitaine istréen Bastien Cismondo, son ancien partenaire gardien Aljosa Rezar passé dans le camp adverse à l'intersaison a fait beaucoup de mal (17 arrêts) au camp provençal. Les deux équipes ne se sont pas lâchées d'une semelle pendant 48 minutes. Les dix dernières ont été fatales aux locaux. Ce sont surtout sur des attaquants retrouvés notamment Sébastien Bosquet (notre photo) et surtout bien utilisés comme les deux Tunisiens Boughanmi et Chouiref que les Franciliens ont pu compter pour remporter leur 1ère rencontre officielle de la saison (26-30). Pour Istres malgré les neuf réalisations du jeune Théo Derot, les lendemains s'annoncent difficiles.

PARIS ST GERMAIN - CESSON RENNES     35 - 19

Statistiques du match

Date et Heure :
Le 24/09/2014 à 20:30:00
Lieu :
Pierre de Coubertin
82, avenue Georges Lafont  -  PARIS


FENIX TOULOUSEDUNKERQUE           33 - 25

Statistiques du match

Date et Heure :
Le 24/09/2014 à 20:30:00
Lieu :
Palais des Sports de Toulouse
3 rue Pierre Laplace  -  TOULOUSE


ISTRES OPH - TREMBLAY EN FRANCE      26 - 30

Statistiques du match

Date et Heure :
Le 24/09/2014 à 20:30:00
Lieu :
HALLE POLYVALENTE
Quartier de la Pyramide
Place Champollion
Rue de l'Equerre - Quartier de la Pyramide  -  ISTRES

PAYS AIX U.C - SAINT RAPHAEL VHB      29 - 35

Statistiques du match

Date et Heure :
Le 24/09/2014 à 20:00:00
Lieu :
VAL DE L'ARC
33, CHEMIN DES INFIRMIERS  -  AIX EN PROVENCE



MONTPELLIER AHBSELESTAT ALSACE      34 - 24

Statistiques du match

Date et Heure :
Le 24/09/2014 à 20:45:00
Lieu :
Gymnase Rene Bougnol
Avenue du Val de Montferrand  -  MONTPELLIER


La Photo insolite de la soirée...

          
            "Frotte-toi à ma barbe, ça (Valentin) Porte bonheur
!"

Dans la même rubrique

  1 2 3 4