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Paris à sa main, rien ne va plus à Sélestat

LMSL

mercredi 1 octobre 2014 - © Yves Michel

 7 min 45 de lecture

Si Paris n'a jamais été mis en danger à Nîmes, Dunkerque sur ses terres face à Créteil a eu très chaud, tout comme Tremblay face à Aix. Chambéry cale devant la lanterne rouge istréenne, Sélestat a complètement sombré devant son public et une équipe de Cesson qui a retrouvé des couleurs.  

A Nîmes, on ne renonce jamais ! Même quand la vague parisienne commence à emporter tout sur son passage, les petits hommes verts font le dos rond et tentent de réagir dès qu'ils le peuvent. Ce mercredi soir, dans ses quelques temps forts, l'Usam s'est surtout heurtée à ce qui marche fort en ce moment du côté du PSG, la défense et Thierry Omeyer. On ne le redira jamais assez, le retour de Zacharia N'Diaye au poste 3 est une sacrée aubaine et la justesse du portier international sécurise tous ses partenaires. Du coup, à Paris, on peut se permettre de laisser revenir l'adversaire même quand on vient de lui mettre la tête dans le seau.  Igor Vori (notre photo de tête) et cie n'ont jamais donné de signes de faiblesse. Même quand en 1ère période, ils restaient à portée des fusils nîmois (8-11 à la 23ème), ils ont toujours trouvé la solution pour accroître leur avance (11-16 à la pause). C'est en perdant quelques ballons ou en ne soignant pas la transmission que les Gardois vont vaciller (12-20 à la 34ème). Dès lors, le PSG allait gérer ce confortable matelas. Philippe Gardent en profitait pour faire tourner son effectif, en prévision notamment des prochaines échéances et d'un match de Ligue des Champions programmé dès dimanche face à Zagreb. L'écart ne faiblissant pas (22-31 à la 49ème), on se demandait à quelle sauce les Gardois allaient être mangés. D'autant que "Titi" va continuer à balayer méthodiquement devant ses cages.  Ce sont pourtant les Nîmois qui vont terminer en trombe (30-35). Les Parisiens vont désormais profiter du peu de temps qui les sépare de la LDC pour surtout récupérer. Les Nîmois eux, vont essayer un nouvel ailier droit (l'Espagnol Alberto Aguirrezabalaga) avant de retrouver des adversaires un peu moins... cannibales.  

Pour le reste et en attendant les deux matches au sommet Nantes-Montpellier et St Raphaël-Toulouse, on ne peut pas parler d'énormes surprises mais certains résultats laissent dubitatifs.



A Sélestat, "y'a" comme un retard à l'allumage

A commencer par l'ampleur de la rouste prise par Sélestat sur ses terres face à Cesson (24-32). Les Bretons ont apparemment bien digéré le coup de bambou asséné la semaine précédente par le PSG, fait abstraction de ce (prévisible) incident de parcours pour se remettre sur les rails d'un remarquable début de saison. Alors bien-sûr, dans les buts cessonnais, il y a Mickael Robin (15 arrêts ce mercredi), en attaque, il y a les mobylettes que sont Maxime Derbier et Sylvain Hochet et le puissant bras gauche d'Istvan Redei mais est-ce que la seule réussite de ces quatre joueurs peut expliquer la bérézina alsacienne ? Surtout qu'en face, l'Islandais Gudjonsson (notre photo) avance à la cadence d'un métronome avec encore 8 buts à rajouter à son crédit ! C'est surtout en défense que le SAHB laisse la porte ouverte. La greffe imaginée à l'intersaison entre ceux qui sont restés et surtout ceux qui sont arrivés n'a pas encore pris. Après avoir été laminés par Créteil et Montpellier à l'extérieur, s'être faits sortir de la coupe de la Ligue à Nantes et entretenu un maigre espoir en s'imposant entre temps face à Istres la lanterne rouge, les Alsaciens privés en plus de Florent Joli (entorse au genou) n'avancent pas. La défaite de dix buts à Montpellier avait été jugée très sévère, de quels qualificatifs, va-t-il falloir user pour caractériser celle de huit longueurs face à Cesson ? Les Bretons ont pourtant subi leur entame de match (7-3 à la 13ème) avant de recoller dans le dernier quart d'heure de la 1ère période et même prendre l'avantage à la pause (12-14). Les trop nombreuses pertes de balle sont en partie la cause du malaise local. Au retour des vestiaires, la situation ne s'est pas arrangée puisque Cesson a continué à faire la course en tête, profitant toujours des maladresses adverses (16-23 à la 43ème). A cinq minutes du terme, le mal avait empiré (22-30). Les plus optmistes dans les tribunes de Sélestat qui sans entrevoir un succès ou un nul, avaient envisagé au moins une réduction du score, devaient se rendre à l'évidence. Leur équipe favorite attaque bien mal la saison avec un seul succès en déjà cinq rencontres officielles.

Brasseleur de vérité !

Tremblay peut remercier son longiligne arrière droit. C'est lui qui à 10 secondes du terme a hérité du dernier ballon de la rencontre pour sauver son équipe d'une nouvelle défaite à domicile comme il y a deux semaines face à Nantes. Le bras gauche du jeune Mike n'a pas tremblé lorsqu'il a fallu égaliser (27-27) face à l'excellent portier de Pays d'Aix, Robin Cappelle. A part ça, que retenir de cette opposition ? Pas grand chose ! Car si les Provençaux l'avaient emportée, personne n'aurait crié au scandale. Ils peuvent d'ailleurs s'en vouloir puisqu'en début de seconde période, ils avaient fait la différence (11-15) mais n'ont jamais su tuer la rencontre, laissant les Franciliens revenir au score et leur contester ensuite le leadership. Le partage des points est certainement équitable. Mais ce n'était pas à Tremblay qu'il fallait être ce mercredi soir pour voir du spectacle !

Dunkerque se fait peur

A Dunkerque, ce n'est pas tant le spectacle qui aura marqué la soirée mais le suspense qui a tenu en haleine le public du stade de Flandres en fin de rencontre. Alors qu'à la 52ème, les champions de France en titre se dirigeaient vers une victoire que chacun entrevoyait confortable (27-20), Créteil qui n'avait finalement plus rien à perdre et qui avait été dominé jusque-là, a sonné la révolte. Et en plus, à la grande frayeur des Nordistes, cela a failli marcher, Hugo Descat inscrivant le 26ème but cristolien à 10 secondes du buzzer (27-26). Mais à Dunkerque, par les temps qui courent, on doit se contenter des plaisirs les plus maigres.  « Je suis satisfait de l’engagement que tout le monde a fourni défensivement comme offensivement, soulignait Patrick CazalIl y a certes ces 5 dernières minutes mais on a progressé par rapport aux matchs précédents, on a fait les efforts nécessaires et c’est positif. Il y a encore de la fragilité mais le jeu produit est intéressant face à un adversaire plutôt en réussite. Mais on s’en sort, qui plus est en réussissant à préserver Bastien (Lamon) et Baptiste (Butto). » L'USDK a une semaine pour se refaire encore un peu plus la santé. Attention dans le Nord, les convalescents reprennent des forces !



Istres fête son 1er point


Les Provençaux ont exorcisé le syndrome Billère. Comme aux boules, ils sont sûrs de ne pas embrasser Fanny à la fin de la saison et terminer comme les Béarnais en 2013 avec un zéro pointé. Ils ont marqué leur premier point de la saison à l'extérieur et qui plus est, au Phare de Chambéry ! Et c'est là finalement l'information majeure de ce mercredi soir. A domicile, Cédric Paty (notre photo) et ses partenaires ne parviennent plus à se faire respecter. Il y avait eu le coup de semonce cristolien dimanche, en coupe de la Ligue, il y a eu la mauvaise affaire istréenne lors de la 4ème journée de championnat. Une anomalie ? Pas tout à fait si on se réfère à la progression du score. Istres a fait le plus souvent la course en tête pendant toute la 1ère période (8-10 à la 25ème) avant d'accuser le coup (11-11 à la pause). Sauf qu'au retour des vestiaires, les hommes de Gilles Derot n'ont rien lâché et l'écart s'est stabilisé. Kosanovic (18 arrêts) d'un côté et Genty (15 arrêts) de l'autre, vont même se neutraliser devant leurs cages respectives. C'est finalement deux jets de sept mètres qui scelleront l'issue de la rencontre. Le 1er réussi et égalisateur (à 22 partout) par Yvan Gérard, l'ailier gauche istréen à une minute de la fin, le 2ème loupé et lourd de conséquences pour Jerko Matulic, l'ailier droit de Chambéry face à un Milan Kosanovic en pleine réussite... à huit secondes de la sirène.

TREMBLAY EN FRANCE - PAYS AIX UC       27-27 (MT: 11-12)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 01/10/2014 à 20:30:00
Lieu :
PALAIS DES SPORTS
RUE JULES FERRY  -  TREMBLAY EN FRANCE

*****************************

CHAMBERY SAVOIE HB - ISTRES OPH       22-22  (MT: 11-11)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 01/10/2014 à 20:00:00
Lieu :
LE PHARE
800 avenue du Grand Arietaz  -  CHAMBERY

DUNKERQUE HGLUS CRETEIL                 27-26 (MT: 15-14)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 01/10/2014 à 20:00:00
Lieu :
DEWERDT (Stade de Flandres)
Salle Dewert
Avenue de Rosendael  -  DUNKERQUE

SELESTAT ALSACE - CESSON RENNES      24-32  (MT: 12-14)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 01/10/2014 à 20:00:00
Lieu :
Centre Sportif Intercommunal 'Eugène Griesmar'
Quai Albrecht  -  SELESTAT

*****************************

USAM NIMES - PARIS ST GERMAIN           30-35 (MT: 11-16)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 01/10/2014 à 20:45:00
Lieu :
Le Parnasse
Route de St Gilles
160 avenue du Languedoc  -  NIMES


Paris à sa main, rien ne va plus à Sélestat 

LMSL

mercredi 1 octobre 2014 - © Yves Michel

 7 min 45 de lecture

Si Paris n'a jamais été mis en danger à Nîmes, Dunkerque sur ses terres face à Créteil a eu très chaud, tout comme Tremblay face à Aix. Chambéry cale devant la lanterne rouge istréenne, Sélestat a complètement sombré devant son public et une équipe de Cesson qui a retrouvé des couleurs.  

A Nîmes, on ne renonce jamais ! Même quand la vague parisienne commence à emporter tout sur son passage, les petits hommes verts font le dos rond et tentent de réagir dès qu'ils le peuvent. Ce mercredi soir, dans ses quelques temps forts, l'Usam s'est surtout heurtée à ce qui marche fort en ce moment du côté du PSG, la défense et Thierry Omeyer. On ne le redira jamais assez, le retour de Zacharia N'Diaye au poste 3 est une sacrée aubaine et la justesse du portier international sécurise tous ses partenaires. Du coup, à Paris, on peut se permettre de laisser revenir l'adversaire même quand on vient de lui mettre la tête dans le seau.  Igor Vori (notre photo de tête) et cie n'ont jamais donné de signes de faiblesse. Même quand en 1ère période, ils restaient à portée des fusils nîmois (8-11 à la 23ème), ils ont toujours trouvé la solution pour accroître leur avance (11-16 à la pause). C'est en perdant quelques ballons ou en ne soignant pas la transmission que les Gardois vont vaciller (12-20 à la 34ème). Dès lors, le PSG allait gérer ce confortable matelas. Philippe Gardent en profitait pour faire tourner son effectif, en prévision notamment des prochaines échéances et d'un match de Ligue des Champions programmé dès dimanche face à Zagreb. L'écart ne faiblissant pas (22-31 à la 49ème), on se demandait à quelle sauce les Gardois allaient être mangés. D'autant que "Titi" va continuer à balayer méthodiquement devant ses cages.  Ce sont pourtant les Nîmois qui vont terminer en trombe (30-35). Les Parisiens vont désormais profiter du peu de temps qui les sépare de la LDC pour surtout récupérer. Les Nîmois eux, vont essayer un nouvel ailier droit (l'Espagnol Alberto Aguirrezabalaga) avant de retrouver des adversaires un peu moins... cannibales.  

Pour le reste et en attendant les deux matches au sommet Nantes-Montpellier et St Raphaël-Toulouse, on ne peut pas parler d'énormes surprises mais certains résultats laissent dubitatifs.



A Sélestat, "y'a" comme un retard à l'allumage

A commencer par l'ampleur de la rouste prise par Sélestat sur ses terres face à Cesson (24-32). Les Bretons ont apparemment bien digéré le coup de bambou asséné la semaine précédente par le PSG, fait abstraction de ce (prévisible) incident de parcours pour se remettre sur les rails d'un remarquable début de saison. Alors bien-sûr, dans les buts cessonnais, il y a Mickael Robin (15 arrêts ce mercredi), en attaque, il y a les mobylettes que sont Maxime Derbier et Sylvain Hochet et le puissant bras gauche d'Istvan Redei mais est-ce que la seule réussite de ces quatre joueurs peut expliquer la bérézina alsacienne ? Surtout qu'en face, l'Islandais Gudjonsson (notre photo) avance à la cadence d'un métronome avec encore 8 buts à rajouter à son crédit ! C'est surtout en défense que le SAHB laisse la porte ouverte. La greffe imaginée à l'intersaison entre ceux qui sont restés et surtout ceux qui sont arrivés n'a pas encore pris. Après avoir été laminés par Créteil et Montpellier à l'extérieur, s'être faits sortir de la coupe de la Ligue à Nantes et entretenu un maigre espoir en s'imposant entre temps face à Istres la lanterne rouge, les Alsaciens privés en plus de Florent Joli (entorse au genou) n'avancent pas. La défaite de dix buts à Montpellier avait été jugée très sévère, de quels qualificatifs, va-t-il falloir user pour caractériser celle de huit longueurs face à Cesson ? Les Bretons ont pourtant subi leur entame de match (7-3 à la 13ème) avant de recoller dans le dernier quart d'heure de la 1ère période et même prendre l'avantage à la pause (12-14). Les trop nombreuses pertes de balle sont en partie la cause du malaise local. Au retour des vestiaires, la situation ne s'est pas arrangée puisque Cesson a continué à faire la course en tête, profitant toujours des maladresses adverses (16-23 à la 43ème). A cinq minutes du terme, le mal avait empiré (22-30). Les plus optmistes dans les tribunes de Sélestat qui sans entrevoir un succès ou un nul, avaient envisagé au moins une réduction du score, devaient se rendre à l'évidence. Leur équipe favorite attaque bien mal la saison avec un seul succès en déjà cinq rencontres officielles.

Brasseleur de vérité !

Tremblay peut remercier son longiligne arrière droit. C'est lui qui à 10 secondes du terme a hérité du dernier ballon de la rencontre pour sauver son équipe d'une nouvelle défaite à domicile comme il y a deux semaines face à Nantes. Le bras gauche du jeune Mike n'a pas tremblé lorsqu'il a fallu égaliser (27-27) face à l'excellent portier de Pays d'Aix, Robin Cappelle. A part ça, que retenir de cette opposition ? Pas grand chose ! Car si les Provençaux l'avaient emportée, personne n'aurait crié au scandale. Ils peuvent d'ailleurs s'en vouloir puisqu'en début de seconde période, ils avaient fait la différence (11-15) mais n'ont jamais su tuer la rencontre, laissant les Franciliens revenir au score et leur contester ensuite le leadership. Le partage des points est certainement équitable. Mais ce n'était pas à Tremblay qu'il fallait être ce mercredi soir pour voir du spectacle !

Dunkerque se fait peur

A Dunkerque, ce n'est pas tant le spectacle qui aura marqué la soirée mais le suspense qui a tenu en haleine le public du stade de Flandres en fin de rencontre. Alors qu'à la 52ème, les champions de France en titre se dirigeaient vers une victoire que chacun entrevoyait confortable (27-20), Créteil qui n'avait finalement plus rien à perdre et qui avait été dominé jusque-là, a sonné la révolte. Et en plus, à la grande frayeur des Nordistes, cela a failli marcher, Hugo Descat inscrivant le 26ème but cristolien à 10 secondes du buzzer (27-26). Mais à Dunkerque, par les temps qui courent, on doit se contenter des plaisirs les plus maigres.  « Je suis satisfait de l’engagement que tout le monde a fourni défensivement comme offensivement, soulignait Patrick CazalIl y a certes ces 5 dernières minutes mais on a progressé par rapport aux matchs précédents, on a fait les efforts nécessaires et c’est positif. Il y a encore de la fragilité mais le jeu produit est intéressant face à un adversaire plutôt en réussite. Mais on s’en sort, qui plus est en réussissant à préserver Bastien (Lamon) et Baptiste (Butto). » L'USDK a une semaine pour se refaire encore un peu plus la santé. Attention dans le Nord, les convalescents reprennent des forces !



Istres fête son 1er point


Les Provençaux ont exorcisé le syndrome Billère. Comme aux boules, ils sont sûrs de ne pas embrasser Fanny à la fin de la saison et terminer comme les Béarnais en 2013 avec un zéro pointé. Ils ont marqué leur premier point de la saison à l'extérieur et qui plus est, au Phare de Chambéry ! Et c'est là finalement l'information majeure de ce mercredi soir. A domicile, Cédric Paty (notre photo) et ses partenaires ne parviennent plus à se faire respecter. Il y avait eu le coup de semonce cristolien dimanche, en coupe de la Ligue, il y a eu la mauvaise affaire istréenne lors de la 4ème journée de championnat. Une anomalie ? Pas tout à fait si on se réfère à la progression du score. Istres a fait le plus souvent la course en tête pendant toute la 1ère période (8-10 à la 25ème) avant d'accuser le coup (11-11 à la pause). Sauf qu'au retour des vestiaires, les hommes de Gilles Derot n'ont rien lâché et l'écart s'est stabilisé. Kosanovic (18 arrêts) d'un côté et Genty (15 arrêts) de l'autre, vont même se neutraliser devant leurs cages respectives. C'est finalement deux jets de sept mètres qui scelleront l'issue de la rencontre. Le 1er réussi et égalisateur (à 22 partout) par Yvan Gérard, l'ailier gauche istréen à une minute de la fin, le 2ème loupé et lourd de conséquences pour Jerko Matulic, l'ailier droit de Chambéry face à un Milan Kosanovic en pleine réussite... à huit secondes de la sirène.

TREMBLAY EN FRANCE - PAYS AIX UC       27-27 (MT: 11-12)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 01/10/2014 à 20:30:00
Lieu :
PALAIS DES SPORTS
RUE JULES FERRY  -  TREMBLAY EN FRANCE

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CHAMBERY SAVOIE HB - ISTRES OPH       22-22  (MT: 11-11)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 01/10/2014 à 20:00:00
Lieu :
LE PHARE
800 avenue du Grand Arietaz  -  CHAMBERY

DUNKERQUE HGLUS CRETEIL                 27-26 (MT: 15-14)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 01/10/2014 à 20:00:00
Lieu :
DEWERDT (Stade de Flandres)
Salle Dewert
Avenue de Rosendael  -  DUNKERQUE

SELESTAT ALSACE - CESSON RENNES      24-32  (MT: 12-14)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 01/10/2014 à 20:00:00
Lieu :
Centre Sportif Intercommunal 'Eugène Griesmar'
Quai Albrecht  -  SELESTAT

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USAM NIMES - PARIS ST GERMAIN           30-35 (MT: 11-16)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 01/10/2014 à 20:45:00
Lieu :
Le Parnasse
Route de St Gilles
160 avenue du Languedoc  -  NIMES


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