bandeau handzone

Le Sambre-Avesnois a réussi à s’extirper des griffes de Palente

Nationale 1F

lundi 24 novembre 2014 - Handzone

 2 min 15 de lecture

Samedi soir, le match opposant le SAHB à Palente-Orchamps était réellement à couper le souffle. Que les visiteuses ouvrent la marque, d’accord. Mais que les Sambriennes prennent l’eau avec une défense inexistante et une multitude de tirs ratés, cela n’était pas encore arrivé. Quand Aurélie Clerget amenait l’écart à +8 (22e, 7-15) en faveur de Palente, le feu couvait dans la maison sambrienne jusqu’à ce que Thierry Micolon fasse plusieurs changements dans son effectif dont celui de la gardienne, Edwige Rzonca parvenant à limiter l’hémorragie tandis qu’Edyta Kucharska continuait à pilonner l’excellente gardienne adverse Laurane Scalabrino. Finalement, les deux équipes rejoignaient les vestiaires sur le score de 12 à 17.

La seconde période démarrait sur un tout autre régime imposé par les Sambriennes qui, en dix minutes revenaient à un point de leurs adversaires (39e, 18-19). Quand Léonie Leroy remettait les pendules à l’heure (45e, 20-20), la machine sambrienne augmentait encore de rythme et le SAHB retrouvait le chemin des filets tandis que Rzonca multipliait les arrêts. Petit à petit, sous l’influence de Leroy et de l’excellente Kucharska, le SAHB grappillait les buts pour réussir à s’extirper des griffes d’une valeureuse équipe de Palente qui s’inclinait sur le score de 27 à 25 sans jamais baisser les bras, bien au contraire.

À l’issue de la rencontre, Émilien Larrière, l’entraîneur de Palente-Orchamps tirait ses conclusions sur la rencontre : « On n’a pas fait un mauvais. On perd. En première, on a joué juste. On était ultra efficace, peut-être trop. On n’a pas commis beaucoup d’erreurs. Peut-être que notre manque de rotations nous a empêché de continuer mais c’est moi qui ai mal managé. C’est ce que j’ai dit aux filles. Voilà. »

Du côté de Thierry Micolon, il y a de nombreuses leçons à tirer de ce qui aurait pu être la bérézina : « On a été longuement malmené, dominé avec un grand boulevard défensivement. On s’est alors recentré en défense sachant que cela nous aiderait. On s’est appuyé sur quelques balles de contre-attaque avec Édyta Kucharska puis on a joué un peu à l’ancienne sur un ou deux ballons. C’est tout de même resté un jeu emprunté en attaque placée. Il reste encore beaucoup à bosser et il y a encore des filles qui doivent trouver leurs repères en attaque. »

Jean-Pierre MALEWICZ pour

Le Sambre-Avesnois a réussi à s’extirper des griffes de Palente 

Nationale 1F

lundi 24 novembre 2014 - Handzone

 2 min 15 de lecture

Samedi soir, le match opposant le SAHB à Palente-Orchamps était réellement à couper le souffle. Que les visiteuses ouvrent la marque, d’accord. Mais que les Sambriennes prennent l’eau avec une défense inexistante et une multitude de tirs ratés, cela n’était pas encore arrivé. Quand Aurélie Clerget amenait l’écart à +8 (22e, 7-15) en faveur de Palente, le feu couvait dans la maison sambrienne jusqu’à ce que Thierry Micolon fasse plusieurs changements dans son effectif dont celui de la gardienne, Edwige Rzonca parvenant à limiter l’hémorragie tandis qu’Edyta Kucharska continuait à pilonner l’excellente gardienne adverse Laurane Scalabrino. Finalement, les deux équipes rejoignaient les vestiaires sur le score de 12 à 17.

La seconde période démarrait sur un tout autre régime imposé par les Sambriennes qui, en dix minutes revenaient à un point de leurs adversaires (39e, 18-19). Quand Léonie Leroy remettait les pendules à l’heure (45e, 20-20), la machine sambrienne augmentait encore de rythme et le SAHB retrouvait le chemin des filets tandis que Rzonca multipliait les arrêts. Petit à petit, sous l’influence de Leroy et de l’excellente Kucharska, le SAHB grappillait les buts pour réussir à s’extirper des griffes d’une valeureuse équipe de Palente qui s’inclinait sur le score de 27 à 25 sans jamais baisser les bras, bien au contraire.

À l’issue de la rencontre, Émilien Larrière, l’entraîneur de Palente-Orchamps tirait ses conclusions sur la rencontre : « On n’a pas fait un mauvais. On perd. En première, on a joué juste. On était ultra efficace, peut-être trop. On n’a pas commis beaucoup d’erreurs. Peut-être que notre manque de rotations nous a empêché de continuer mais c’est moi qui ai mal managé. C’est ce que j’ai dit aux filles. Voilà. »

Du côté de Thierry Micolon, il y a de nombreuses leçons à tirer de ce qui aurait pu être la bérézina : « On a été longuement malmené, dominé avec un grand boulevard défensivement. On s’est alors recentré en défense sachant que cela nous aiderait. On s’est appuyé sur quelques balles de contre-attaque avec Édyta Kucharska puis on a joué un peu à l’ancienne sur un ou deux ballons. C’est tout de même resté un jeu emprunté en attaque placée. Il reste encore beaucoup à bosser et il y a encore des filles qui doivent trouver leurs repères en attaque. »

Jean-Pierre MALEWICZ pour

Dans la même rubrique