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PSG et Montpellier gardent le cap, St Raph' et Toulouse capotent

LMSL

jeudi 19 février 2015 - © Yves Michel

 10 min 16 de lecture

Si Paris, auteur d'un match à sens unique face à Chambéry et Montpellier le leader victorieux à Sélestat, poursuivent leur chassé croisé au sommet de la D1 masculine, St Raphaël battu à domicile par Créteil perd du terrain et Toulouse se met à flirter avec la zone rouge. Fin de cette 16ème journée de LNH ce jeudi avec Cesson-Tremblay.

Par Yves Michel

Ces temps-ci, le PSG respecte ses adversaires…. Il les respecte tellement bien qu’en quatre matches officiels en 2015, les joueurs de Philippe Gardent se sont abonnés aux additions salées. Strasbourg en coupe de France, Meshkov-Brest en Ligue des Champions, Istres et donc ce mercredi… Chambéry sont passés au hachoir. Les Savoyards avaient des ambitions mais Paris a imposé d’entrée son tempo. Pas de répit, Titi Omeyer se montrant déterminant en moins de 10 minutes avec un pénalty détourné et trois parades consécutives. Après un quart d’heure de jeu, la cause était entendue. Basic et N’Guessan étaient quasiment aux abonnés absents, Yann Genty n’étaient pas en réussite, Paris pouvait dérouler. Sept buts d’avance à la pause, onze… très rapidement, la leçon prenait des allures de correction. Quelques minutes auparavant (et c’est la seule ombre de ce match à sens unique), Alexandre Tritta avait du être évacué sur civière après avoir été projeté violemment à terre par Zacharia N’Diaye qui écopera d’une simple exclusion temporaire alors qu’un rouge aurait pu s’imposer. Le jeune arrière droit chambérien dont les nouvelles seront par la suite rassurantes, a veillé très tard pour attendre les résultats d’un scanner passé dans un hôpital parisien. On pourra toujours croire que sa sortie a troublé ses partenaires mais ce mercredi soir, le PSG était plus solide, plus concentré, plus tranchant dans ses montées de balle et son jeu de transition. Avec en plus un grand Titi (16 arrêts) et une base arrière très efficace, rien ne pouvait lui résister (35-23). Logroño prochain adversaire en LDC, à domicile commence à se préparer au pire.

A distance, Montpellier a rempli parfaitement son contrat en s’imposant à Sélestat et en préservant donc son leadership. Constamment en tête au tableau d’affichage, les Héraultais n’ont pu réellement prendre le large qu’après douze minutes (5-9). Cet écart va longtemps persister jusqu’à ce que les Alsaciens pourtant privés de leur buteur islandais Gudjonsson reprennent espoir en début de seconde période (16-17 à la 36ème). En vain puisque Montpellier accentuera une nouvelle fois son avance en infligeant à son adversaire un cinglant 1-8 en moins de vingt minutes. Sélestat poursuit son chemin de croix (21-27). Prochain obstacle : St Raphaël.

Créteil met le bazar à St Raphaël

Les Varois justement, ont mangé la feuille face une équipe de Créteil qui entame 2015 sous les meilleurs auspices. Trois matches, trois victoires et une victoire référence sur un parquet où seul Montpellier s’était imposé depuis le début de la saison. Si la 1ère mi-temps va s’avérer très équilibrée (16-16), le second acte va tourner largement en faveur des Franciliens parfaitement sécurisés par leur gardien Mate Sunjic (16 arrêts). « On savait à quoi s’attendre, on n’avait pas le droit de perdre, râlait Joël Da Silva. On a des occasions à 6 mètres qu’on se permet de rater, sur 11 immanquables, si on en met simplement la moitié au fond, le match est totalement différent. »  Pas content l’entraîneur varois qui va devoir mettre le nez dans un moteur varois qui ne tourne plus très rond. Trop de ballons ont été mal négociés. « Il va tous falloir se remettre en question. On ne peut pas lâcher mentalement de cette manière-là. Je suis en colère car ce soir, on s’est mis tout seul en difficultés. On relance le championnat mais c’est de notre faute. » On en oublierait presque la performance cristolienne (25-29). Elle n’est pas le fruit du hasard. Depuis son arrivée, Christophe Mazel a apporté son regard neuf, son enthousiasme et sa faculté à responsabiliser des éléments qui s’étaient enfermés dans le doute. Les Val-de-Marnais ont encore une santé précaire mais ils sont sur le bon chemin du maintien. « On ne va pas s’emballer parce qu’on enchaîne deux victoires en championnat, tempérait Hugo Descat (encore 8 buts dont un 7/7 lancé). On s’est accroché pendant tout le match, on n’a rien lâché en réussissant un écart jusqu’à la fin. Pourtant, dans les dix dernières minutes, on a eu du mal en attaque mais on a su s’appuyer sur une grosse défense. C’est un beau match d’équipe, on peut être très fier de ce qu’on a fait. » St Raphaël où Caucheteux s’est encore une fois montré très précieux (9 réalisations) va devoir vite réagir. En coupe de France avec un difficile déplacement à Chambéry puis à Sélestat en championnat.

avec Anne Champion à St Raphaël

Nantes et Dunkerque recollent

La double contreperformance de Chambéry et de St Raphaël fait les affaires de Nantes et Dunkerque qui se rapprochent de la tête. Rien n'a été pourtant simple pour ces deux équipes qui ont du s'employer au moins pendant une mi-temps à se débarrasser de leur adversaire respectif. Même s'ils ont souvent mené au score, les Nantais ont du attendre le money-time pour souffler et s'adjuger face à Istres un succès qui aurait très bien pu leur échapper. Malgré un excellent Théo Derot (13 buts) qui portera les couleurs du "H" dès la prochaine saison et Yvan Gérard (6 buts) qui lui signera dans les prochains jours à Pays d'Aix, Istres n'a pu éviter sa 12ème défaite de la saison et on ne voit pas comment les Provençaux pourraient s'en sortir.

De son côté, Dunkerque a eu très chaud. Non pas qu'il ait fallu attendre les dernières minutes pour trouver la délivrance mais en imposant un faux rythme en 1ère période, Aix a véritablement piégé une équipe nordiste qui ne s'est jamais affolée (11-14 à la pause). « On s'est servi de la mi-temps pour rectifier ce qui n'allait pas, précise Patrick Cazal. Dès qu'on a décidé de ne plus subir, de jouer à notre rythme avec des montées rapides, on a réussi à revenir. » Dix minutes seront nécessaires à l'USDK pour passer devant (19-18) et ne plus se laisser marcher dessus. Grâce notamment à un excellent Julian Emonet (7 buts) et une défense retrouvée, l'écart va très vite enfler et l'avantage ne plus changer (31-23).

Toulouse n’est pas relégable mais la zone rouge n’est pas loin…

En fait, pour voir des Toulousains et notamment les internationaux champions du monde avec le sourire ce mercredi, il ne fallait pas rater la cérémonie précédant le coup d’envoi. Moments de partage et d’embrassades où Jérôme Fernandez, Valentin Porte et Cyril Dumoulin ont été honorés et remerciés pour avoir contribué à ramener de l’or de leur périple qatari. Mais très vite, ils ont du redescendre de leur nuage et retrouver la dure réalité d’une LNH où les petits veulent "bouffer"’ les gros et les "mal en point" s’en sortir, même hors de leur base. C’était l'objectif avoué des joueurs de Nîmes et cela leur a réussi. Le Fénix n’a mené qu’à une seule reprise, en tout début de 1ère période (3-2 à la 6ème). One shot ! Pire même puisque onze minutes plus tard, les Gardois avaient fait la différence (5-9). Les Toulousains vont constamment courir après le score sans jamais prendre le contrôle des opérations. Face à un Jérôme Fernandez (et c'est significatif) quasiment muet au tir, ne soutenant pas la comparaison avec un Pawel Podsiadlo (notre photo) totalement déchaîné (12 buts), l'USAM va obtenir ce qu'elle était venue chercher. Une victoire (26-30) sur une formation qui l'an passé jouait le haut de tableau et qui désormais devra se battre pour le maintien. 



Quatre questions à Pierrick Chelle, le capitaine du Fénix  (par Mélody Ramirez)

C'est un vrai coup de bambou que vous prenez derrière la tête !
On voulait réagir par rapport au match contre Créteil, on ne voulait surtout pas refaire les mêmes erreurs techniques individuelles. C'est raté. Ca fait mal, on se retrouve dans une situation difficile, on va se retrousser les manches et on va jouer le maintien. Ce n’était pas prévu, mais on va tout faire pour maintenir ce club dans l’élite, il ne mérite pas de descendre en D2. C’est difficile à accepter mais il va falloir, et on va devoir se remettre au travail très vite.

Comment peux-tu expliquer cette dégringolade ?
C’est une question de dynamique, on n'a pas un effectif pour viser le top 3, c’est vraiment une question de dynamique. On avait bien commencé, on a enchaîné de petites défaites et après c’est difficile de retrouver l’enthousiasme et la solidarité, c’est toujours plus compliqué quand on perd.

Il y a encore de l'espoir...
Rien n’est cassé, c’est sûr, il faut simplement que tout le monde accepte que maintenant on joue le maintien, et il faut se remettre la tête là où il faut.

Est-ce que le départ annoncé de Jérôme est perturbant ?
Le départ de Jérôme ne concerne que lui, mais c’est un joueur important, nous ce qui nous intéresse c’est qu’il finisse la saison comme il a honoré toutes ses années à Toulouse, c’est à dire comme sur des matches compliqués durant lesquels il nous sortait de situations délicates. Après c’est au dirigeant de répondre à ce départ, avec des solutions internes et externes, mais nous on va continuer à se battre. 


FENIX TOULOUSE  - USAM NIMES                    26-30  (13-16)
Statistiques du match

SELESTAT ALSACE - MONTPELLIER AHB        21-27  (12-16)
Statistiques du match

DUNKERQUE HGL - PAYS AIX UC                    31-23  (11-14)
Statistiques du match

ISTRES OPH - 
HBC NANTES                             29-32  (17-19)
Statistiques du match

SAINT RAPHAEL VHBUS CRETEIL                25-29  (16-16) 
Statistiques du match

PARIS SG  - CHAMBERY SAVOIE                     35-23  (20-13)
Statistiques du match





PSG et Montpellier gardent le cap, St Raph' et Toulouse capotent 

LMSL

jeudi 19 février 2015 - © Yves Michel

 10 min 16 de lecture

Si Paris, auteur d'un match à sens unique face à Chambéry et Montpellier le leader victorieux à Sélestat, poursuivent leur chassé croisé au sommet de la D1 masculine, St Raphaël battu à domicile par Créteil perd du terrain et Toulouse se met à flirter avec la zone rouge. Fin de cette 16ème journée de LNH ce jeudi avec Cesson-Tremblay.

Par Yves Michel

Ces temps-ci, le PSG respecte ses adversaires…. Il les respecte tellement bien qu’en quatre matches officiels en 2015, les joueurs de Philippe Gardent se sont abonnés aux additions salées. Strasbourg en coupe de France, Meshkov-Brest en Ligue des Champions, Istres et donc ce mercredi… Chambéry sont passés au hachoir. Les Savoyards avaient des ambitions mais Paris a imposé d’entrée son tempo. Pas de répit, Titi Omeyer se montrant déterminant en moins de 10 minutes avec un pénalty détourné et trois parades consécutives. Après un quart d’heure de jeu, la cause était entendue. Basic et N’Guessan étaient quasiment aux abonnés absents, Yann Genty n’étaient pas en réussite, Paris pouvait dérouler. Sept buts d’avance à la pause, onze… très rapidement, la leçon prenait des allures de correction. Quelques minutes auparavant (et c’est la seule ombre de ce match à sens unique), Alexandre Tritta avait du être évacué sur civière après avoir été projeté violemment à terre par Zacharia N’Diaye qui écopera d’une simple exclusion temporaire alors qu’un rouge aurait pu s’imposer. Le jeune arrière droit chambérien dont les nouvelles seront par la suite rassurantes, a veillé très tard pour attendre les résultats d’un scanner passé dans un hôpital parisien. On pourra toujours croire que sa sortie a troublé ses partenaires mais ce mercredi soir, le PSG était plus solide, plus concentré, plus tranchant dans ses montées de balle et son jeu de transition. Avec en plus un grand Titi (16 arrêts) et une base arrière très efficace, rien ne pouvait lui résister (35-23). Logroño prochain adversaire en LDC, à domicile commence à se préparer au pire.

A distance, Montpellier a rempli parfaitement son contrat en s’imposant à Sélestat et en préservant donc son leadership. Constamment en tête au tableau d’affichage, les Héraultais n’ont pu réellement prendre le large qu’après douze minutes (5-9). Cet écart va longtemps persister jusqu’à ce que les Alsaciens pourtant privés de leur buteur islandais Gudjonsson reprennent espoir en début de seconde période (16-17 à la 36ème). En vain puisque Montpellier accentuera une nouvelle fois son avance en infligeant à son adversaire un cinglant 1-8 en moins de vingt minutes. Sélestat poursuit son chemin de croix (21-27). Prochain obstacle : St Raphaël.

Créteil met le bazar à St Raphaël

Les Varois justement, ont mangé la feuille face une équipe de Créteil qui entame 2015 sous les meilleurs auspices. Trois matches, trois victoires et une victoire référence sur un parquet où seul Montpellier s’était imposé depuis le début de la saison. Si la 1ère mi-temps va s’avérer très équilibrée (16-16), le second acte va tourner largement en faveur des Franciliens parfaitement sécurisés par leur gardien Mate Sunjic (16 arrêts). « On savait à quoi s’attendre, on n’avait pas le droit de perdre, râlait Joël Da Silva. On a des occasions à 6 mètres qu’on se permet de rater, sur 11 immanquables, si on en met simplement la moitié au fond, le match est totalement différent. »  Pas content l’entraîneur varois qui va devoir mettre le nez dans un moteur varois qui ne tourne plus très rond. Trop de ballons ont été mal négociés. « Il va tous falloir se remettre en question. On ne peut pas lâcher mentalement de cette manière-là. Je suis en colère car ce soir, on s’est mis tout seul en difficultés. On relance le championnat mais c’est de notre faute. » On en oublierait presque la performance cristolienne (25-29). Elle n’est pas le fruit du hasard. Depuis son arrivée, Christophe Mazel a apporté son regard neuf, son enthousiasme et sa faculté à responsabiliser des éléments qui s’étaient enfermés dans le doute. Les Val-de-Marnais ont encore une santé précaire mais ils sont sur le bon chemin du maintien. « On ne va pas s’emballer parce qu’on enchaîne deux victoires en championnat, tempérait Hugo Descat (encore 8 buts dont un 7/7 lancé). On s’est accroché pendant tout le match, on n’a rien lâché en réussissant un écart jusqu’à la fin. Pourtant, dans les dix dernières minutes, on a eu du mal en attaque mais on a su s’appuyer sur une grosse défense. C’est un beau match d’équipe, on peut être très fier de ce qu’on a fait. » St Raphaël où Caucheteux s’est encore une fois montré très précieux (9 réalisations) va devoir vite réagir. En coupe de France avec un difficile déplacement à Chambéry puis à Sélestat en championnat.

avec Anne Champion à St Raphaël

Nantes et Dunkerque recollent

La double contreperformance de Chambéry et de St Raphaël fait les affaires de Nantes et Dunkerque qui se rapprochent de la tête. Rien n'a été pourtant simple pour ces deux équipes qui ont du s'employer au moins pendant une mi-temps à se débarrasser de leur adversaire respectif. Même s'ils ont souvent mené au score, les Nantais ont du attendre le money-time pour souffler et s'adjuger face à Istres un succès qui aurait très bien pu leur échapper. Malgré un excellent Théo Derot (13 buts) qui portera les couleurs du "H" dès la prochaine saison et Yvan Gérard (6 buts) qui lui signera dans les prochains jours à Pays d'Aix, Istres n'a pu éviter sa 12ème défaite de la saison et on ne voit pas comment les Provençaux pourraient s'en sortir.

De son côté, Dunkerque a eu très chaud. Non pas qu'il ait fallu attendre les dernières minutes pour trouver la délivrance mais en imposant un faux rythme en 1ère période, Aix a véritablement piégé une équipe nordiste qui ne s'est jamais affolée (11-14 à la pause). « On s'est servi de la mi-temps pour rectifier ce qui n'allait pas, précise Patrick Cazal. Dès qu'on a décidé de ne plus subir, de jouer à notre rythme avec des montées rapides, on a réussi à revenir. » Dix minutes seront nécessaires à l'USDK pour passer devant (19-18) et ne plus se laisser marcher dessus. Grâce notamment à un excellent Julian Emonet (7 buts) et une défense retrouvée, l'écart va très vite enfler et l'avantage ne plus changer (31-23).

Toulouse n’est pas relégable mais la zone rouge n’est pas loin…

En fait, pour voir des Toulousains et notamment les internationaux champions du monde avec le sourire ce mercredi, il ne fallait pas rater la cérémonie précédant le coup d’envoi. Moments de partage et d’embrassades où Jérôme Fernandez, Valentin Porte et Cyril Dumoulin ont été honorés et remerciés pour avoir contribué à ramener de l’or de leur périple qatari. Mais très vite, ils ont du redescendre de leur nuage et retrouver la dure réalité d’une LNH où les petits veulent "bouffer"’ les gros et les "mal en point" s’en sortir, même hors de leur base. C’était l'objectif avoué des joueurs de Nîmes et cela leur a réussi. Le Fénix n’a mené qu’à une seule reprise, en tout début de 1ère période (3-2 à la 6ème). One shot ! Pire même puisque onze minutes plus tard, les Gardois avaient fait la différence (5-9). Les Toulousains vont constamment courir après le score sans jamais prendre le contrôle des opérations. Face à un Jérôme Fernandez (et c'est significatif) quasiment muet au tir, ne soutenant pas la comparaison avec un Pawel Podsiadlo (notre photo) totalement déchaîné (12 buts), l'USAM va obtenir ce qu'elle était venue chercher. Une victoire (26-30) sur une formation qui l'an passé jouait le haut de tableau et qui désormais devra se battre pour le maintien. 



Quatre questions à Pierrick Chelle, le capitaine du Fénix  (par Mélody Ramirez)

C'est un vrai coup de bambou que vous prenez derrière la tête !
On voulait réagir par rapport au match contre Créteil, on ne voulait surtout pas refaire les mêmes erreurs techniques individuelles. C'est raté. Ca fait mal, on se retrouve dans une situation difficile, on va se retrousser les manches et on va jouer le maintien. Ce n’était pas prévu, mais on va tout faire pour maintenir ce club dans l’élite, il ne mérite pas de descendre en D2. C’est difficile à accepter mais il va falloir, et on va devoir se remettre au travail très vite.

Comment peux-tu expliquer cette dégringolade ?
C’est une question de dynamique, on n'a pas un effectif pour viser le top 3, c’est vraiment une question de dynamique. On avait bien commencé, on a enchaîné de petites défaites et après c’est difficile de retrouver l’enthousiasme et la solidarité, c’est toujours plus compliqué quand on perd.

Il y a encore de l'espoir...
Rien n’est cassé, c’est sûr, il faut simplement que tout le monde accepte que maintenant on joue le maintien, et il faut se remettre la tête là où il faut.

Est-ce que le départ annoncé de Jérôme est perturbant ?
Le départ de Jérôme ne concerne que lui, mais c’est un joueur important, nous ce qui nous intéresse c’est qu’il finisse la saison comme il a honoré toutes ses années à Toulouse, c’est à dire comme sur des matches compliqués durant lesquels il nous sortait de situations délicates. Après c’est au dirigeant de répondre à ce départ, avec des solutions internes et externes, mais nous on va continuer à se battre. 


FENIX TOULOUSE  - USAM NIMES                    26-30  (13-16)
Statistiques du match

SELESTAT ALSACE - MONTPELLIER AHB        21-27  (12-16)
Statistiques du match

DUNKERQUE HGL - PAYS AIX UC                    31-23  (11-14)
Statistiques du match

ISTRES OPH - 
HBC NANTES                             29-32  (17-19)
Statistiques du match

SAINT RAPHAEL VHBUS CRETEIL                25-29  (16-16) 
Statistiques du match

PARIS SG  - CHAMBERY SAVOIE                     35-23  (20-13)
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