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St Amand-les-Eaux a pulvérisé Vesoul

Nationale 1F

lundi 9 mars 2015 - Handzone

 2 min 6 de lecture

« Avec mes deux arrières blessées j’ai présenté une équipe jeune qui s’est bien battue mais le fossé est trop grand. L’ampleur du score est donc méritée. » Cheikh Seck, l’entraîneur vésulien, est réduit à constater les dégâts après une large défaite : 43 à 18.

Et pourtant, la rencontre part sur un rythme effréné et à l’issue de deux minutes de jeu, ce sont les Vésuliennes qui mènent (1-3). Étonnement sur le banc local où Stéphane Pellan préfère patienter, ce qui lui apporte plus d’assises mais Sandra Kuridza ne parvient à ramener le score que plusieurs minutes plus tard (4-3, 5e). À partir de là, les Vésuliennes ne voient plus le jour pour atteindre la pause sur le score de 22 à 9.

La seconde période est un véritable chemin de croix pour des Vésuliennes qui ne parviennent à inscrire un dixième but qu’au quart d’heure de jeu par Coline Woerner (27-10, 44e). Et les Héraultaises continuent à faire mal en marquant but sur but mais en montrant aussi certaines faiblesses car si le score est ample, il ne représente pas l’écart qui devait démontrer le gouffre séparant les deux équipes. En effet, Saint-Amand-les-Eaux a péché par la multiplication de fautes techniques permettant aux Vésuliennes d’échapper à une correction encore plus dégradante.

Quoi qu’il en soit, le collectif Amandinois reste au top de son championnat. Reste à préparer le déplacement à Épinal dans une quinzaine qui devrait permettre à Stéphane Pellan à développer des phases de jeu encore plus performantes car à l’issue du match contre Vesoul, le technicien nordiste restait sur sa fin : « La donne était faussée dès le début. L’absence de certaines joueuses de Vesoul qui aurait pu nous poser beaucoup plus de problèmes. Mais le début de rencontre nous a étonnés car il nous a fallu une douzaine de minutes pour faire la bascule. Après un chemin de croix, on a pris notre allure de croisière. Sur ce genre de rencontre, je n’ai aucune conclusion à tirer. L’essentiel était de jouer sans se blesser. Après, c’est trois points, on ne va pas en dire plus, ça ne sert à rien. »

Jean-Pierre MALEWICZ pour

St Amand-les-Eaux a pulvérisé Vesoul 

Nationale 1F

lundi 9 mars 2015 - Handzone

 2 min 6 de lecture

« Avec mes deux arrières blessées j’ai présenté une équipe jeune qui s’est bien battue mais le fossé est trop grand. L’ampleur du score est donc méritée. » Cheikh Seck, l’entraîneur vésulien, est réduit à constater les dégâts après une large défaite : 43 à 18.

Et pourtant, la rencontre part sur un rythme effréné et à l’issue de deux minutes de jeu, ce sont les Vésuliennes qui mènent (1-3). Étonnement sur le banc local où Stéphane Pellan préfère patienter, ce qui lui apporte plus d’assises mais Sandra Kuridza ne parvient à ramener le score que plusieurs minutes plus tard (4-3, 5e). À partir de là, les Vésuliennes ne voient plus le jour pour atteindre la pause sur le score de 22 à 9.

La seconde période est un véritable chemin de croix pour des Vésuliennes qui ne parviennent à inscrire un dixième but qu’au quart d’heure de jeu par Coline Woerner (27-10, 44e). Et les Héraultaises continuent à faire mal en marquant but sur but mais en montrant aussi certaines faiblesses car si le score est ample, il ne représente pas l’écart qui devait démontrer le gouffre séparant les deux équipes. En effet, Saint-Amand-les-Eaux a péché par la multiplication de fautes techniques permettant aux Vésuliennes d’échapper à une correction encore plus dégradante.

Quoi qu’il en soit, le collectif Amandinois reste au top de son championnat. Reste à préparer le déplacement à Épinal dans une quinzaine qui devrait permettre à Stéphane Pellan à développer des phases de jeu encore plus performantes car à l’issue du match contre Vesoul, le technicien nordiste restait sur sa fin : « La donne était faussée dès le début. L’absence de certaines joueuses de Vesoul qui aurait pu nous poser beaucoup plus de problèmes. Mais le début de rencontre nous a étonnés car il nous a fallu une douzaine de minutes pour faire la bascule. Après un chemin de croix, on a pris notre allure de croisière. Sur ce genre de rencontre, je n’ai aucune conclusion à tirer. L’essentiel était de jouer sans se blesser. Après, c’est trois points, on ne va pas en dire plus, ça ne sert à rien. »

Jean-Pierre MALEWICZ pour

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