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Aulnay n’a eu aucune chance face à St Amand-les-Eaux

Nationale 1F

lundi 13 avril 2015 - Handzone

 1 min 37 de lecture

Peu après la minute de jeu, c’est Caroline Gantois qui ouvre le marqueur pour les Amandinoises qui ne lâcheront rien tout au long d’un match à sens unique malgré la bonne volonté des Aulnaisiennes. Quand en seconde période les Amandinoises continuaient de filer les buts comme des perles, leurs adversaires ne levaient pas le pied mais n’arrivaient plus à tenir le rythme dans le dernier quart d’heure de jeu. L’écart étant fait, Saint-Amand-les-Eaux laissaient quelques espaces à Aulnay sans pour cela se mettre en danger et en s’imposant largement : 34-24 (18-12).

Frédéric Mandret, l’entraîneur d’Aulnay-sous-Bois, n’était même pas dépité en fin de rencontre : « Nous, on n’a plus rien à jouer. En face, il y a une machine de guerre contre laquelle on n’est pas armé. Je voulais un score plus rapproché mais à chaque fois que je le dis, on prend des valises. »

Quant à Stéphane Pellan, il reste les pieds sur terre même si on parle déjà d’un probable départ d’Abiba Fofana vers des cieux azuréens la saison prochaine : « Quand on ne fait pas de conneries, ça marche. Là, on vient de monter sur le podium. Il nous restera le match à Alfortville pour confirmer. Ne nous voilons pas la face, ce n’est pas la rencontre entre Metz et Alfortville qui changera quelque chose. Entre Aulnay et nous, il n’y a pas vraiment dix buts d’écart, ça se saurait. Et il n’y a eu que 60 % d’efficacité dans nos tirs. Notre force est la différence physique. On continue de courir alors que nos adversaires tirent la langue. »

Jean-Pierre MALEWICZ pour

Aulnay n’a eu aucune chance face à St Amand-les-Eaux 

Nationale 1F

lundi 13 avril 2015 - Handzone

 1 min 37 de lecture

Peu après la minute de jeu, c’est Caroline Gantois qui ouvre le marqueur pour les Amandinoises qui ne lâcheront rien tout au long d’un match à sens unique malgré la bonne volonté des Aulnaisiennes. Quand en seconde période les Amandinoises continuaient de filer les buts comme des perles, leurs adversaires ne levaient pas le pied mais n’arrivaient plus à tenir le rythme dans le dernier quart d’heure de jeu. L’écart étant fait, Saint-Amand-les-Eaux laissaient quelques espaces à Aulnay sans pour cela se mettre en danger et en s’imposant largement : 34-24 (18-12).

Frédéric Mandret, l’entraîneur d’Aulnay-sous-Bois, n’était même pas dépité en fin de rencontre : « Nous, on n’a plus rien à jouer. En face, il y a une machine de guerre contre laquelle on n’est pas armé. Je voulais un score plus rapproché mais à chaque fois que je le dis, on prend des valises. »

Quant à Stéphane Pellan, il reste les pieds sur terre même si on parle déjà d’un probable départ d’Abiba Fofana vers des cieux azuréens la saison prochaine : « Quand on ne fait pas de conneries, ça marche. Là, on vient de monter sur le podium. Il nous restera le match à Alfortville pour confirmer. Ne nous voilons pas la face, ce n’est pas la rencontre entre Metz et Alfortville qui changera quelque chose. Entre Aulnay et nous, il n’y a pas vraiment dix buts d’écart, ça se saurait. Et il n’y a eu que 60 % d’efficacité dans nos tirs. Notre force est la différence physique. On continue de courir alors que nos adversaires tirent la langue. »

Jean-Pierre MALEWICZ pour

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