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LSL: Soirée mouvementée pour le PSG et St Raphaël

LMSL

mercredi 16 novembre 2016 - © Yves Michel

 7 min 57 de lecture

Le PSG privé de Thierry Omeyer, exclu définitivement après un quart d'heure de jeu, a bien failli se casser les dents sur Nîmes qui s'est finalement incliné (33-36). St Raphaël en revanche, qui partageait ex aequo avec Nantes la 2ème place, est tombé à Chambéry. Les Savoyards se sont notamment imposés grâce à leur gardien Yann Genty. Montpellier large vainqueur de Saran remonte sur le podium.   

par Yves Michel

Chambéry, version tractopelle

Alors bien sûr Yann Genty (notre photo de tête) a encore enflammé le Phare avec des arrêts (16) sortis de nulle part et que lui seul est capable de faire. Bien sûr Romain Briffe s’installe de plus en plus comme le patron de l’attaque chambérienne. Que dire aussi de la prestation du jeune pivot Johannes Marescot et de l’ailier droit Fahrudin Melic ? Ils ont été quasiment impossibles à maîtriser par ce qui reste la meilleure défense de l'élite en repartant de Savoie. Que ce soit Popescu ou Slavisa Djukanovic venu à son relais, aucun des deux portiers varois ne va trouver la parade aux tirs de ce duo infernal. Dans le sillage de ces deux tracteurs, les autres chambériens ont fait le nécessaire pour annihiler les quelques espoirs adverses. Et ils y sont parvenus de très belle façon. Queido Traoré ne se sera pas contenté de museler Adrien Dipanda malgré la différence de kilos et de centimètres, il va aussi en rajouter une bonne couche avec son jeu tout en percussion vers le but. La puissance du groupe raphaélois aurait pu prendre le dessus comme il l'avait fait une semaine auparavant face à Nantes. Car ce match n’a trouvé sa clé que dans les dernières minutes (28-23). « Ce fut un match très difficile que Chambéry a très bien négocié, reconnait Aurélien Abily, le capitaine varois. On a fait beaucoup trop d’erreurs pour pouvoir espérer une issue favorable. Chambéry a fait son match, ils ont fait ce qu’il fallait pour l’emporter. L’épisode championnat pour cette semaine est terminé, il va falloir qu’on en mette un peu plus ce week-end à Minsk (3ème tour EHF) car c’est encore un gros déplacement qui nous attend.» Même si le SRVHB a buté sur la défense chambérienne et Yann Genty, les hommes de Joël Da Silva peuvent avoir des regrets car les solutions existaient. Que ce soit avec des phases en supériorité numérique comme en première période ou en seconde quand les arrières vont arriver à prendre un peu plus de vitesse. Mais entre avoir les occasions et les convertir en buts, Yann Genty s'est souvent interposé. Au final, entre la victoire de Nantes et de Montpellier, Chambéry qui vient d'aligner deux succès consécutifs renait après son élimination de la Coupe de la Ligue. Pour les Varois, la soirée a été bien morose.
                                                                                                        avec François Dasriaux


                                Nicolas Claire (Nantes) véritable poison pour la défense de Cesson

Nantes et Montpellier se frottent les mains

Nantes fait une bonne opération en consolidant sa 2ème place au classement. Elle aurait pu être meilleure si à Nîmes, Paris n'avait pas renversé la tendance dans le money-time pour s'imposer de trois buts (voir plus bas). Les Nantais, auteurs d'un très bon début de match grâce notamment à leur gardien Arnaud Siffert et au fil des minutes grâce au tandem offensif Claire-Balaguer, n'ont jamais été inquiétés face à Cesson (29-25).

Excellente soirée également pour Montpellier qui à Bougnol s'est rendu la tâche encore plus facile que le "H" en laminant Saran. C'est simple, les Héraultais ont plié la rencontre en 4 minutes à peine (6-1) et le score n'a fait que gonfler par la suite, atteignant des proportions frôlant l'exagération (42-28). Dans ce concours de ball-trap improvisé, Théophile Caussé s'est illustré avec 11 réalisations, tout le monde côté Montpellier est entré et tous les joueurs de champ ont marqué.   



A Nîmes, une histoire de gardiens fait la Une

A Nîmes, à voir la joie des Parisiens lorsqu'à l'ultime seconde, le buzzer a retenti dans un Parnasse consterné, on aurait pu penser qu'ils venaient de remporter la coupe de France ou un autre trophée. Dans les cinq dernières minutes en fait, le PSG est passé de l'ombre et parfois même du trou noir à la lumière qui les sauve de leur 1ère défaite en championnat. Tout a très mal commencé lorsqu'à la 13ème minute (8-8), un peu en retard, Thierry Omeyer sort de son périmètre et déséquilibre le Gardois Rebichon parti en contre-attaque. La paire Tobie-Bounouara n'hésite pas et sort à la fois le rouge (apparemment le bleu) et... "Titi". Comme Skof souffrant n'a pas fait le déplacement, c'est Clément Gaudin, le gardien du centre de formation qui sera convié à la fête pendant plus de 45 minutes. Ce fait de jeu va avoir pour effet, de désorganiser Paris et de galvaniser Nîmes. Les champions de France vont buter sur un phénoménal Rémi Desbonnet (21 arrêts) et surtout ne vont pas trouver de solutions face à la puissance de feu de Luc Tobie (9/12). C'est pourtant dans les vingt dernières minutes que les Nîmois vont perdre progressivement leur avance grâce au sursaut d'Uwe Gensheimer (notre photo) et de Nédim Rémili. L'USAM y croyait encore jusqu'à l'entame du money-time (32-31 à la 55ème) dans l'ambiance surchauffée du Parnasse. « Inévitablement il y a de la déception, soufflait David Tebib, le président nîmois, car les gars n’ont rien lâché et ils n’ont vraiment rien à se reprocher. Le contexte a tourné en faveur du PSG par moments de manière inexplicable au niveau de quelques décisions arbitrales. Il faudra revoir tout ça à la vidéo pour savoir si on a raison de se plaindre. Mes joueurs s’étaient persuadés qu’ils pouvaient réaliser l’exploit mais Paris a la capacité de réagir et de se sortir des situations les plus délicates. Ils l’ont prouvé en seconde période. »  Le PSG enchaîne avec une 8ème victoire d'affilée en championnat (33-36) et reste seul invaincu. L'esprit serein ou pas avant de se rendre en Hongrie à Veszprém pour un des matches au sommet, dimanche en Ligue des Champions.



Aix a meilleure mine qu'Ivry

On en oublierait presque que Pays d'Aix s'offre le 2ème succès à l'extérieur de la soirée et une belle remontée au classement. Et du côté d'Ivry, certains se mordent déjà les doigts ne pas avoir passé plus de temps sur la vidéo à étudier le placement du gardien provençal, Thomas Bauer. Peu en vue depuis le début de la saison, l'Autrichien a réalisé le match quasi parfait (19 parades créditées). Les hommes de Jérôme Fernandez ont pris franchement les commandes dès la 20ème minute et ne les ont quasiment jamais lâchées. Les Val-de-Marnais malgré une bonne relation entre la base arrière et le pivot Chipurin (8 buts) et quelques arrêts de Rémy Gervelas, vont entretenir l'espoir mais vont définitivement céder dans le dernier quart d'heure  face notamment au rayonnement du meilleur buteur aixois, Aymeric Minne (9/14). « Grâce à cette victoire, on creuse l’écart et ça fait vraiment du bien, se satisfait l'intéressé car on avait pris un coup derrière la tête après la défaite chez nous contre Chambéry. On a su être patients et surtout très solidaires. C’est un beau succès collectif et en plus, on ne prend pas trop de buts. C’est cela qui a fait la différence. On continue à rêver d’Europe, c’est l’objectif de fin de saison mais il faudra être plus constants. Les prochains matches qui arrivent sont importants, il va falloir prendre le plus de points possibles. A titre personnel, bien-sûr que je suis content d’avoir marqué autant de buts. Je suis en réussite aujourd’hui, cela n’a pas été toujours le cas. L’important c’est d’avoir gagné. » Avec un écrin de 6000 places qui sera livré dans un peu moins d'un an, Pays d'Aix grandit progressivement. Les bonnes nouvelles s'enchaînent puisque Ole Erevik, le gardien de l'équipe de Norvège qui en pleine préparation avait du s'arrêter pour un grave problème à l'œil, doit reprendre l'entraînement la semaine prochaine.



Malheur aux vaincus

Si après un départ catastrophique, Sélestat est revenu au score (9-9 à la 20ème), en moins de dix minutes, Toulouse devant son public a fait le trou et placé un cinglant 6-0 (15-9 à la pause). Forts de leur matelas conséquent, les partenaires de Sevaljevic (notre photo - meilleur réalisateur avec 7 buts) ont passé une seconde période plutôt tranquille. Les Alsaciens font du surplace et on voit de moins en moins comment ils pourraient à terme, éviter le pire.

La 8ème journée prendra fin ce jeudi avec le match des mal classés entre Dunkerque et Créteil. L'équation est simple. Cette confrontation, c'est surtout, "Malheur aux vaincus". En cas de défaite, les Nordistes s'embourberaient à l'avant-dernière place et les Val-de-Marnais remonteraient en 6ème position. Dans le cas contraire, Dunkerque sortirait de la zone de relégation au détriment de son adversaire du soir.

le diaporama photo de Ivry - Pays d'Aix par Lorie Couvillers



US IVRY - PAYS D'AIX UC                       23 - 28 (MT: 13-15)
Statistiques du match

MONTPELLIER HANDBALL  -  SARAN LOIRET         42 - 28  (MT: 22-12)
Statistiques du match

CHAMBERY SMBHB - ST RAPHAEL VHB             28 - 23  (MT: 12-11)
Statistiques du match

le diaporama photo de Chambéry - St Raphaël par Jean Pierre Riboli


USAM NIMES - PSG HANDBALL          33 - 36  (MT: 19-12)
Statistiques du match

HBC NANTES - CESSON RENNES          29 - 25  (MT: 15-9)
Statistiques du match

FENIX TOULOUSE - SELESTAT ALSACE          32 - 26  (MT: 15-9)
Statistiques du match

le diaporama photo de Toulouse - Sélestat par Mélody Ramirez

LSL: Soirée mouvementée pour le PSG et St Raphaël 

LMSL

mercredi 16 novembre 2016 - © Yves Michel

 7 min 57 de lecture

Le PSG privé de Thierry Omeyer, exclu définitivement après un quart d'heure de jeu, a bien failli se casser les dents sur Nîmes qui s'est finalement incliné (33-36). St Raphaël en revanche, qui partageait ex aequo avec Nantes la 2ème place, est tombé à Chambéry. Les Savoyards se sont notamment imposés grâce à leur gardien Yann Genty. Montpellier large vainqueur de Saran remonte sur le podium.   

par Yves Michel

Chambéry, version tractopelle

Alors bien sûr Yann Genty (notre photo de tête) a encore enflammé le Phare avec des arrêts (16) sortis de nulle part et que lui seul est capable de faire. Bien sûr Romain Briffe s’installe de plus en plus comme le patron de l’attaque chambérienne. Que dire aussi de la prestation du jeune pivot Johannes Marescot et de l’ailier droit Fahrudin Melic ? Ils ont été quasiment impossibles à maîtriser par ce qui reste la meilleure défense de l'élite en repartant de Savoie. Que ce soit Popescu ou Slavisa Djukanovic venu à son relais, aucun des deux portiers varois ne va trouver la parade aux tirs de ce duo infernal. Dans le sillage de ces deux tracteurs, les autres chambériens ont fait le nécessaire pour annihiler les quelques espoirs adverses. Et ils y sont parvenus de très belle façon. Queido Traoré ne se sera pas contenté de museler Adrien Dipanda malgré la différence de kilos et de centimètres, il va aussi en rajouter une bonne couche avec son jeu tout en percussion vers le but. La puissance du groupe raphaélois aurait pu prendre le dessus comme il l'avait fait une semaine auparavant face à Nantes. Car ce match n’a trouvé sa clé que dans les dernières minutes (28-23). « Ce fut un match très difficile que Chambéry a très bien négocié, reconnait Aurélien Abily, le capitaine varois. On a fait beaucoup trop d’erreurs pour pouvoir espérer une issue favorable. Chambéry a fait son match, ils ont fait ce qu’il fallait pour l’emporter. L’épisode championnat pour cette semaine est terminé, il va falloir qu’on en mette un peu plus ce week-end à Minsk (3ème tour EHF) car c’est encore un gros déplacement qui nous attend.» Même si le SRVHB a buté sur la défense chambérienne et Yann Genty, les hommes de Joël Da Silva peuvent avoir des regrets car les solutions existaient. Que ce soit avec des phases en supériorité numérique comme en première période ou en seconde quand les arrières vont arriver à prendre un peu plus de vitesse. Mais entre avoir les occasions et les convertir en buts, Yann Genty s'est souvent interposé. Au final, entre la victoire de Nantes et de Montpellier, Chambéry qui vient d'aligner deux succès consécutifs renait après son élimination de la Coupe de la Ligue. Pour les Varois, la soirée a été bien morose.
                                                                                                        avec François Dasriaux


                                Nicolas Claire (Nantes) véritable poison pour la défense de Cesson

Nantes et Montpellier se frottent les mains

Nantes fait une bonne opération en consolidant sa 2ème place au classement. Elle aurait pu être meilleure si à Nîmes, Paris n'avait pas renversé la tendance dans le money-time pour s'imposer de trois buts (voir plus bas). Les Nantais, auteurs d'un très bon début de match grâce notamment à leur gardien Arnaud Siffert et au fil des minutes grâce au tandem offensif Claire-Balaguer, n'ont jamais été inquiétés face à Cesson (29-25).

Excellente soirée également pour Montpellier qui à Bougnol s'est rendu la tâche encore plus facile que le "H" en laminant Saran. C'est simple, les Héraultais ont plié la rencontre en 4 minutes à peine (6-1) et le score n'a fait que gonfler par la suite, atteignant des proportions frôlant l'exagération (42-28). Dans ce concours de ball-trap improvisé, Théophile Caussé s'est illustré avec 11 réalisations, tout le monde côté Montpellier est entré et tous les joueurs de champ ont marqué.   



A Nîmes, une histoire de gardiens fait la Une

A Nîmes, à voir la joie des Parisiens lorsqu'à l'ultime seconde, le buzzer a retenti dans un Parnasse consterné, on aurait pu penser qu'ils venaient de remporter la coupe de France ou un autre trophée. Dans les cinq dernières minutes en fait, le PSG est passé de l'ombre et parfois même du trou noir à la lumière qui les sauve de leur 1ère défaite en championnat. Tout a très mal commencé lorsqu'à la 13ème minute (8-8), un peu en retard, Thierry Omeyer sort de son périmètre et déséquilibre le Gardois Rebichon parti en contre-attaque. La paire Tobie-Bounouara n'hésite pas et sort à la fois le rouge (apparemment le bleu) et... "Titi". Comme Skof souffrant n'a pas fait le déplacement, c'est Clément Gaudin, le gardien du centre de formation qui sera convié à la fête pendant plus de 45 minutes. Ce fait de jeu va avoir pour effet, de désorganiser Paris et de galvaniser Nîmes. Les champions de France vont buter sur un phénoménal Rémi Desbonnet (21 arrêts) et surtout ne vont pas trouver de solutions face à la puissance de feu de Luc Tobie (9/12). C'est pourtant dans les vingt dernières minutes que les Nîmois vont perdre progressivement leur avance grâce au sursaut d'Uwe Gensheimer (notre photo) et de Nédim Rémili. L'USAM y croyait encore jusqu'à l'entame du money-time (32-31 à la 55ème) dans l'ambiance surchauffée du Parnasse. « Inévitablement il y a de la déception, soufflait David Tebib, le président nîmois, car les gars n’ont rien lâché et ils n’ont vraiment rien à se reprocher. Le contexte a tourné en faveur du PSG par moments de manière inexplicable au niveau de quelques décisions arbitrales. Il faudra revoir tout ça à la vidéo pour savoir si on a raison de se plaindre. Mes joueurs s’étaient persuadés qu’ils pouvaient réaliser l’exploit mais Paris a la capacité de réagir et de se sortir des situations les plus délicates. Ils l’ont prouvé en seconde période. »  Le PSG enchaîne avec une 8ème victoire d'affilée en championnat (33-36) et reste seul invaincu. L'esprit serein ou pas avant de se rendre en Hongrie à Veszprém pour un des matches au sommet, dimanche en Ligue des Champions.



Aix a meilleure mine qu'Ivry

On en oublierait presque que Pays d'Aix s'offre le 2ème succès à l'extérieur de la soirée et une belle remontée au classement. Et du côté d'Ivry, certains se mordent déjà les doigts ne pas avoir passé plus de temps sur la vidéo à étudier le placement du gardien provençal, Thomas Bauer. Peu en vue depuis le début de la saison, l'Autrichien a réalisé le match quasi parfait (19 parades créditées). Les hommes de Jérôme Fernandez ont pris franchement les commandes dès la 20ème minute et ne les ont quasiment jamais lâchées. Les Val-de-Marnais malgré une bonne relation entre la base arrière et le pivot Chipurin (8 buts) et quelques arrêts de Rémy Gervelas, vont entretenir l'espoir mais vont définitivement céder dans le dernier quart d'heure  face notamment au rayonnement du meilleur buteur aixois, Aymeric Minne (9/14). « Grâce à cette victoire, on creuse l’écart et ça fait vraiment du bien, se satisfait l'intéressé car on avait pris un coup derrière la tête après la défaite chez nous contre Chambéry. On a su être patients et surtout très solidaires. C’est un beau succès collectif et en plus, on ne prend pas trop de buts. C’est cela qui a fait la différence. On continue à rêver d’Europe, c’est l’objectif de fin de saison mais il faudra être plus constants. Les prochains matches qui arrivent sont importants, il va falloir prendre le plus de points possibles. A titre personnel, bien-sûr que je suis content d’avoir marqué autant de buts. Je suis en réussite aujourd’hui, cela n’a pas été toujours le cas. L’important c’est d’avoir gagné. » Avec un écrin de 6000 places qui sera livré dans un peu moins d'un an, Pays d'Aix grandit progressivement. Les bonnes nouvelles s'enchaînent puisque Ole Erevik, le gardien de l'équipe de Norvège qui en pleine préparation avait du s'arrêter pour un grave problème à l'œil, doit reprendre l'entraînement la semaine prochaine.



Malheur aux vaincus

Si après un départ catastrophique, Sélestat est revenu au score (9-9 à la 20ème), en moins de dix minutes, Toulouse devant son public a fait le trou et placé un cinglant 6-0 (15-9 à la pause). Forts de leur matelas conséquent, les partenaires de Sevaljevic (notre photo - meilleur réalisateur avec 7 buts) ont passé une seconde période plutôt tranquille. Les Alsaciens font du surplace et on voit de moins en moins comment ils pourraient à terme, éviter le pire.

La 8ème journée prendra fin ce jeudi avec le match des mal classés entre Dunkerque et Créteil. L'équation est simple. Cette confrontation, c'est surtout, "Malheur aux vaincus". En cas de défaite, les Nordistes s'embourberaient à l'avant-dernière place et les Val-de-Marnais remonteraient en 6ème position. Dans le cas contraire, Dunkerque sortirait de la zone de relégation au détriment de son adversaire du soir.

le diaporama photo de Ivry - Pays d'Aix par Lorie Couvillers



US IVRY - PAYS D'AIX UC                       23 - 28 (MT: 13-15)
Statistiques du match

MONTPELLIER HANDBALL  -  SARAN LOIRET         42 - 28  (MT: 22-12)
Statistiques du match

CHAMBERY SMBHB - ST RAPHAEL VHB             28 - 23  (MT: 12-11)
Statistiques du match

le diaporama photo de Chambéry - St Raphaël par Jean Pierre Riboli


USAM NIMES - PSG HANDBALL          33 - 36  (MT: 19-12)
Statistiques du match

HBC NANTES - CESSON RENNES          29 - 25  (MT: 15-9)
Statistiques du match

FENIX TOULOUSE - SELESTAT ALSACE          32 - 26  (MT: 15-9)
Statistiques du match

le diaporama photo de Toulouse - Sélestat par Mélody Ramirez

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