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D2F : Des questions se posent déjà au Sambre-Avesnois

Division 2F

mardi 1 août 2017 - © Jean Pierre Malewicz

 1 min 51 de lecture

"Pour vivre heureux, vivons cachés." Ce peut être la nouvelle maxime du Sambre-Avesnois handball (SAHB) version D2F. En effet, depuis l'accession méritée du collectif au niveau supérieur, toutes les relations s'obscurcissent. Les joueuses quittent le navire et seule, la présidente, Véronique Guislain, semble avoir en main l'édifice. Lundi c'était la reprise : où, quoi, comment ? Le lendemain, un premier entraînement d'une heure était programmé le matin : cinq lieux différents étaient annoncés par des responsables du club ! Bref, s'il y avait vraiment ce désir, chacun est resté sur sa faim.

Pour le moment, le SAHB est loin d'avoir clos son recrutement qui reste basé sur deux personnes : une gardienne croate Nela Zuzic qui, après avoir fait ses armes dans son pays d'origine, a joué au Havre puis en Norvège avant de signer dans l'Avesnois. En second lieu, on trouve Ivan Markovski, un entraîneur macédonien qui ne parle, ni ne comprend le français et qui est épaulé par la gardienne croate dans l'exercice des interviews.

L'équipe première, après avoir exclu son entraîneur Thierry Micolon qui l'a menée à la D2F comme annoncé, se retrouve avec, peut-être, le retour de Diarra qui n'a plus fait partie des effectifs depuis plusieurs saisons mais surtout avec des brèches béantes que la présidente va tenter de combler d'ici fin août, "sans précipitation". Il manque, en fait, une deuxième gardienne et l'ensemble de la base arrière. "Concernant les recrues, il ne reste qu'à concrétiser les contacts", affirme Véronique Guislain, qui confirme que l'effectif actuel se limite à 11 joueuses.

Quant à l'entraîneur, il explique ses ambitions : "C'est un challenge que nous avons à relever. Il faudra viser le maintien en milieu de tableau et appliquer un projet à adapter à l'état d'esprit français. Il faut donner conscience de la difficulté du niveau atteint mais aussi travailler avec les équipes à venir pour répondre au projet du club."

Avant son arrivée, la présidente annonçait un entraîneur faisant les efforts nécessaires pour s'exprimer en français. Pour l'instant, tout, y compris les entraînements, se fait en anglais. "Tout le monde parle anglais", explique Zuzic !

D2F : Des questions se posent déjà au Sambre-Avesnois 

Division 2F

mardi 1 août 2017 - © Jean Pierre Malewicz

 1 min 51 de lecture

"Pour vivre heureux, vivons cachés." Ce peut être la nouvelle maxime du Sambre-Avesnois handball (SAHB) version D2F. En effet, depuis l'accession méritée du collectif au niveau supérieur, toutes les relations s'obscurcissent. Les joueuses quittent le navire et seule, la présidente, Véronique Guislain, semble avoir en main l'édifice. Lundi c'était la reprise : où, quoi, comment ? Le lendemain, un premier entraînement d'une heure était programmé le matin : cinq lieux différents étaient annoncés par des responsables du club ! Bref, s'il y avait vraiment ce désir, chacun est resté sur sa faim.

Pour le moment, le SAHB est loin d'avoir clos son recrutement qui reste basé sur deux personnes : une gardienne croate Nela Zuzic qui, après avoir fait ses armes dans son pays d'origine, a joué au Havre puis en Norvège avant de signer dans l'Avesnois. En second lieu, on trouve Ivan Markovski, un entraîneur macédonien qui ne parle, ni ne comprend le français et qui est épaulé par la gardienne croate dans l'exercice des interviews.

L'équipe première, après avoir exclu son entraîneur Thierry Micolon qui l'a menée à la D2F comme annoncé, se retrouve avec, peut-être, le retour de Diarra qui n'a plus fait partie des effectifs depuis plusieurs saisons mais surtout avec des brèches béantes que la présidente va tenter de combler d'ici fin août, "sans précipitation". Il manque, en fait, une deuxième gardienne et l'ensemble de la base arrière. "Concernant les recrues, il ne reste qu'à concrétiser les contacts", affirme Véronique Guislain, qui confirme que l'effectif actuel se limite à 11 joueuses.

Quant à l'entraîneur, il explique ses ambitions : "C'est un challenge que nous avons à relever. Il faudra viser le maintien en milieu de tableau et appliquer un projet à adapter à l'état d'esprit français. Il faut donner conscience de la difficulté du niveau atteint mais aussi travailler avec les équipes à venir pour répondre au projet du club."

Avant son arrivée, la présidente annonçait un entraîneur faisant les efforts nécessaires pour s'exprimer en français. Pour l'instant, tout, y compris les entraînements, se fait en anglais. "Tout le monde parle anglais", explique Zuzic !

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