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Une Ligue des Champions féminine deux fois plus bleue

Champion's League

jeudi 5 octobre 2017 - © Laurent Hoppe

 7 min 38 de lecture

Sachons apprécier le moment, l'inédit. Ce week-end, un couple de clubs français s’élance ensemble dans la piste aux étoiles. Quart-de-finaliste au printemps dernier, Metz ne voit plus le Final Four comme une utopie. Pour Brest, c’est une première sur invitation. Le BBH d'Astride N'Gouan frapperait un grand coup en s'extrayant de la poule la plus difficile du premier tour. Dans le tiercé des favoris, du classique : Györ pour un doublé, Skopje pour une première, Bucarest pour récupérer son trône.


Brest, apprentissage grand format

Le début de saison

Invincible oui, intouchable non. Deuxième de LFH, à deux points de Metz (en attendant le match d’Issy/Paris, ce samedi), Brest a gagné quatre fois et concédé deux nuls. Le vice-champion a vu la défaite de très près contre Nice (23-23, 2ème journée), a été chahuté par Besançon (24-24, 5ème journée). « On a encore des relations à affiner, reconnaît Astride N’Gouan. Entre les stages internationaux, les matches tous les trois jours, on manque de temps. On a quand même du mental. Mine rien, même quand on est menées, on arrive toujours à relever la tête. C’est plutôt positif. » Mercredi, en match avancé de la sixième journée, Marie Prouvensier (7/7) et ses copines ont eu moins de difficultés à disposer de Chambray, battu 28-21.

La capitaine

En incluant Allison Pineau, indisponible jusqu’à la fin de l’année civile, dix Finistériennes ont un vécu en Ligue des Champions. Leur capitaine est hors de cette liste. Il y a cinq ans, N’Gouan était spectatrice quand Issy/Paris, son club d’alors, disputait un tournoi qualificatif à domicile. Alors, l’impatience grimpe à l’heure de monter, enfin, sur scène. « J’aime bien les challenges comme ça. On va côtoyer des joueuses extraordinaires, de très belles équipes. On jouera dans de très belles salles. Ce sera magique. »

Les adversaires

« Pour notre baptême, on n’est pas tombées dans la poule la plus facile », sait la pivot internationale. Doux euphémisme. Autour des joueuses de Laurent Bezeau, invitées fin juin grâce à leurs infrastructures et leurs performances sportives, rien que du costaud. Deux tenants de coupes européennes (Györ en C1, Rostov en EHF), plus le meilleur club danois du moment, Midtjylland. Clin d’œil du destin, Brest reprendra son histoire européenne là où elle s’était interrompue brusquement (23-26, 18-29), en quart de finale de la Coupe EHF. En Russie, chez Frédéric Bougeant et Siraba Dembélé.

L’objectif

Le discours tenu fin août, devant la famille de la LFH, n’a pas évolué d’une virgule. Tout en désirant « aller le plus loin possible », sans préciser nommément jusqu'où, Astride N’Gouan et les Bretonnes s'engagent pour « apprendre et progresser ». « Ca va être nouveau pour nous, on n’aura rien à perdre. Ca va nous apporter une bonne expérience, pour savoir comment on doit travailler pour la suite. »


Metz lorgne sur Budapest

Le début de saison

C’est le meilleur départ statistique depuis quatre ans, tout simplement. Les championnes de France en sont à six victoires consécutives en championnat. Grâce à la pyrotechnie d'Ana Gros (13 buts, dont 5 penaltys), un banc actif (premier arrêt pro de Manuella Dos Reis, par exemple) et l'indigence des tireuses adverses, elles ont désintégré Toulon en dernier lieu (35-17). Une pondération s'impose : hormis Besançon, la troupe d’Emmanuel Mayonnade n’a encore croisé aucun colocataire du carré de tête (Brest, Issy/Paris, Nice). Ca ne saurait tarder…

La capitaine

Dimanche soir contre Kristiansand, leader du championnat de Norvège, Grace Zaadi (photo ci-dessus) entamera sa cinquième campagne de Ligue des Champions. « Banaliser ? Jamais ! » jure la demi-centre. « C'est la compétition la plus prestigieuse. ca me fait toujours le même effet quand je la retrouve. » Au repos mercredi en LFH, après sa lésion musculaire à l'abdomen, elle vivra sa trente-neuvième rencontre de C1. Derrière Ana Gros et Ailly Luciano, elle est la troisième marqueuse mosellane dans la compétition (99 buts).

Les adversaires

La dépositaire du jeu mosellan assure les présentations. « Tout le monde pense que Kristiansand est l'équipe la plus faible, car elle a gagné le tournoi de qualification. Mais en Ligue des Champions, il faut se méfier de tout le monde. Nous l'avons démontré l'année dernière par notre parcours. Buducnost, c'est Buducnost (rires). C'est une très bonne équipe, ça joue bien tous les ans. Même si l'équipe a changé (lire ci-dessous), elle reste redoutable. Bietigheim est une belle équipe, nous l'avons rencontrée en match amical (24-21, le 5 août, sur 50 mn). Notre groupe sera serré. Mais nous pouvons viser la première place. Nous sommes prêtes à débuter la compétition. »

L’objectif

La chimère n'est « plus un rêve secret », pour paraphraser le président Thierry Weizman. Après l'avoir fantasmé quelques jours en avril, entre son quart aller et le retour éliminatoire à Györ, Metz se présente en outsider affiché pour le Final Four. Le neuvième du ranking de l'EHF remplit la plupart des critères : une ossature de sélection nationale, une défense d'airain, deux excellentes tireuses longue distances (Smits et Gros), un savoir-faire pour battre les puissants aux Arènes (Podgorica, Skopje et Györ, dans l'ordre chronologique, la saison dernière). Afin d'escalader l'ultime marche vers Budapest, ne manquent que LA grosse perf à l’extérieur, ainsi qu'une seconde gardienne aussi référencée que Marina Rajcic, titrée en 2012 avec Podgorica. Laura Glauser enceinte, et hors circuit jusqu'au printemps, la Monténégrine sera constamment d'astreinte. Son staff touche du bois...


Sinon, à la fin, c’est encore Györ qui gagne ?

Le vainqueur sortant semble, en tout cas, le mieux armé pour finir en tête du groupe B. Néanmoins, si l'équipe hongroise s’est encore renforcée avec l’arrivée de Stine Oftedal, elle devra se passer de Zsuzsanna Tomori, blessée lors de la trêve internationale. Il faudra aussi composer avec Rostov et ses artilleuses (Cabral Barbosa, K. Bulatovic) pour accompagner Györ au tour principal, et pourquoi pas jusque dans la course au dernier carré. Les Brestoises devraient disputer la troisième place avec Midtjylland.

Dans le groupe A, la route a l'air toute tracée pour Bucarest, malgré la blessure de Camille Ayglon-Saurina (genou droit). Ses coéquipières, dont les recrues Neagu, Frafjord et Kurtovic, sauront faire le job. On imagine les jeunes Danoises de Nykøbing, étonnantes championnes nationales, s'octroyer un ticket pour le Top 12. Le quatuor, complété par Ljubljana et Gdynia, reste ouvert.

De même pour le groupe C, où le Vardar dictera sa loi. De tous les Final Four jusqu'à présent, les joueuses de Skopje risquent d'être secouées, mais pas coulées. Toujours fidèles au poste, malgré sa fin de règne outre-Rhin, le Thüringer HC s'est extrait des qualifications, tandis que Larvik a perdu la plupart de ses taulières. C'est à Ferencvaros que devrait revenir la deuxième place.

Sorti des qualifications sur des scores fleuves (43-19 et 42-14), en tête du championnat norvégien, Kristiansand promet quelques étincelles. Pour l'anecdote, c'est la première fois que les Vipers joueront la Ligue des Champions, tout comme Bietigheim (Allemagne), Gdynia (Pologne), Nykøbing (Danemark) et Brest. Le club des sœurs Lunde pourrait avoir une belle carte à jouer dans un groupe D homogène aux côtés de Metz, Bietigheim et d'une équipe de Buducnost complètement rajeunie.


Le calendrier

Première phase

Six journées aller-retour, du 6 octobre au 19 novembre.

Quatre groupes de quatre. Les trois premiers au tour principal, où les points des confrontations directes seront conservés (2 pour une victoire, 1 pour un match nul, 0 pour une défaite). En cas d'égalité de points, le goal-average particulier prime.

Tour principal

Six journées aller-retour, du 26 janvier au 11 mars 2018.

Les équipes issues du groupe A rencontrent exclusivement celles du groupe B, celles du groupe C font de même avec le groupe D. Deux groupes de six équipes. Les quatre premiers qualifiés en quarts de finale croisés (1er groupe A-4ème groupe B...)

Quarts de finale

Aller du 6 au 8 avril, retour du 13 au 15 avril.

Final Four (à Budapest)

Demies le samedi 12 mai, finales le dimanche 13 mai.


L'agenda de la première journée

Groupe A : Nykobing (DAN) – Gdynia (POL), samedi à 14h30. CSM Bucarest (ROU) – Krim Ljubljana (SLV), samedi à 20 h.

Groupe B : Rostov (RUS) – Brest, samedi à 15 h (en direct sur beIN Sports 2). Györ (HON) – Midtjylland (DAN), samedi à 19h30.

Groupe C : Vardar Skopje (MCD) – Ferencvaros (HON), 34-31 (Lacrabère 6 buts/10 tirs, Leynaud 6/20 arrêts). Larvik (NOR) – Thüringen (ALL), samedi à 17 h.

Groupe D : Buducnost Podgorica (MTN) – Bietigheim (ALL), samedi à 19 h. Metz – Kristiansand (NOR), dimanche à 19 h (en direct sur beIN Sports 2).

 

Le coin Bleues

Hors clubs français, cinq internationales expatriées prendront part à cette saison de Ligue des Champions : Camille Ayglon-Saurina et Gnonsiane Niombla (CSM Bucarest), Siraba Dembélé (Rostov), Alexandra Lacrabère (ci-dessus) et Amandine Leynaud (Vardar Skopje).


(avec Amélie Huhn)

Une Ligue des Champions féminine deux fois plus bleue 

Champion's League

jeudi 5 octobre 2017 - © Laurent Hoppe

 7 min 38 de lecture

Sachons apprécier le moment, l'inédit. Ce week-end, un couple de clubs français s’élance ensemble dans la piste aux étoiles. Quart-de-finaliste au printemps dernier, Metz ne voit plus le Final Four comme une utopie. Pour Brest, c’est une première sur invitation. Le BBH d'Astride N'Gouan frapperait un grand coup en s'extrayant de la poule la plus difficile du premier tour. Dans le tiercé des favoris, du classique : Györ pour un doublé, Skopje pour une première, Bucarest pour récupérer son trône.


Brest, apprentissage grand format

Le début de saison

Invincible oui, intouchable non. Deuxième de LFH, à deux points de Metz (en attendant le match d’Issy/Paris, ce samedi), Brest a gagné quatre fois et concédé deux nuls. Le vice-champion a vu la défaite de très près contre Nice (23-23, 2ème journée), a été chahuté par Besançon (24-24, 5ème journée). « On a encore des relations à affiner, reconnaît Astride N’Gouan. Entre les stages internationaux, les matches tous les trois jours, on manque de temps. On a quand même du mental. Mine rien, même quand on est menées, on arrive toujours à relever la tête. C’est plutôt positif. » Mercredi, en match avancé de la sixième journée, Marie Prouvensier (7/7) et ses copines ont eu moins de difficultés à disposer de Chambray, battu 28-21.

La capitaine

En incluant Allison Pineau, indisponible jusqu’à la fin de l’année civile, dix Finistériennes ont un vécu en Ligue des Champions. Leur capitaine est hors de cette liste. Il y a cinq ans, N’Gouan était spectatrice quand Issy/Paris, son club d’alors, disputait un tournoi qualificatif à domicile. Alors, l’impatience grimpe à l’heure de monter, enfin, sur scène. « J’aime bien les challenges comme ça. On va côtoyer des joueuses extraordinaires, de très belles équipes. On jouera dans de très belles salles. Ce sera magique. »

Les adversaires

« Pour notre baptême, on n’est pas tombées dans la poule la plus facile », sait la pivot internationale. Doux euphémisme. Autour des joueuses de Laurent Bezeau, invitées fin juin grâce à leurs infrastructures et leurs performances sportives, rien que du costaud. Deux tenants de coupes européennes (Györ en C1, Rostov en EHF), plus le meilleur club danois du moment, Midtjylland. Clin d’œil du destin, Brest reprendra son histoire européenne là où elle s’était interrompue brusquement (23-26, 18-29), en quart de finale de la Coupe EHF. En Russie, chez Frédéric Bougeant et Siraba Dembélé.

L’objectif

Le discours tenu fin août, devant la famille de la LFH, n’a pas évolué d’une virgule. Tout en désirant « aller le plus loin possible », sans préciser nommément jusqu'où, Astride N’Gouan et les Bretonnes s'engagent pour « apprendre et progresser ». « Ca va être nouveau pour nous, on n’aura rien à perdre. Ca va nous apporter une bonne expérience, pour savoir comment on doit travailler pour la suite. »


Metz lorgne sur Budapest

Le début de saison

C’est le meilleur départ statistique depuis quatre ans, tout simplement. Les championnes de France en sont à six victoires consécutives en championnat. Grâce à la pyrotechnie d'Ana Gros (13 buts, dont 5 penaltys), un banc actif (premier arrêt pro de Manuella Dos Reis, par exemple) et l'indigence des tireuses adverses, elles ont désintégré Toulon en dernier lieu (35-17). Une pondération s'impose : hormis Besançon, la troupe d’Emmanuel Mayonnade n’a encore croisé aucun colocataire du carré de tête (Brest, Issy/Paris, Nice). Ca ne saurait tarder…

La capitaine

Dimanche soir contre Kristiansand, leader du championnat de Norvège, Grace Zaadi (photo ci-dessus) entamera sa cinquième campagne de Ligue des Champions. « Banaliser ? Jamais ! » jure la demi-centre. « C'est la compétition la plus prestigieuse. ca me fait toujours le même effet quand je la retrouve. » Au repos mercredi en LFH, après sa lésion musculaire à l'abdomen, elle vivra sa trente-neuvième rencontre de C1. Derrière Ana Gros et Ailly Luciano, elle est la troisième marqueuse mosellane dans la compétition (99 buts).

Les adversaires

La dépositaire du jeu mosellan assure les présentations. « Tout le monde pense que Kristiansand est l'équipe la plus faible, car elle a gagné le tournoi de qualification. Mais en Ligue des Champions, il faut se méfier de tout le monde. Nous l'avons démontré l'année dernière par notre parcours. Buducnost, c'est Buducnost (rires). C'est une très bonne équipe, ça joue bien tous les ans. Même si l'équipe a changé (lire ci-dessous), elle reste redoutable. Bietigheim est une belle équipe, nous l'avons rencontrée en match amical (24-21, le 5 août, sur 50 mn). Notre groupe sera serré. Mais nous pouvons viser la première place. Nous sommes prêtes à débuter la compétition. »

L’objectif

La chimère n'est « plus un rêve secret », pour paraphraser le président Thierry Weizman. Après l'avoir fantasmé quelques jours en avril, entre son quart aller et le retour éliminatoire à Györ, Metz se présente en outsider affiché pour le Final Four. Le neuvième du ranking de l'EHF remplit la plupart des critères : une ossature de sélection nationale, une défense d'airain, deux excellentes tireuses longue distances (Smits et Gros), un savoir-faire pour battre les puissants aux Arènes (Podgorica, Skopje et Györ, dans l'ordre chronologique, la saison dernière). Afin d'escalader l'ultime marche vers Budapest, ne manquent que LA grosse perf à l’extérieur, ainsi qu'une seconde gardienne aussi référencée que Marina Rajcic, titrée en 2012 avec Podgorica. Laura Glauser enceinte, et hors circuit jusqu'au printemps, la Monténégrine sera constamment d'astreinte. Son staff touche du bois...


Sinon, à la fin, c’est encore Györ qui gagne ?

Le vainqueur sortant semble, en tout cas, le mieux armé pour finir en tête du groupe B. Néanmoins, si l'équipe hongroise s’est encore renforcée avec l’arrivée de Stine Oftedal, elle devra se passer de Zsuzsanna Tomori, blessée lors de la trêve internationale. Il faudra aussi composer avec Rostov et ses artilleuses (Cabral Barbosa, K. Bulatovic) pour accompagner Györ au tour principal, et pourquoi pas jusque dans la course au dernier carré. Les Brestoises devraient disputer la troisième place avec Midtjylland.

Dans le groupe A, la route a l'air toute tracée pour Bucarest, malgré la blessure de Camille Ayglon-Saurina (genou droit). Ses coéquipières, dont les recrues Neagu, Frafjord et Kurtovic, sauront faire le job. On imagine les jeunes Danoises de Nykøbing, étonnantes championnes nationales, s'octroyer un ticket pour le Top 12. Le quatuor, complété par Ljubljana et Gdynia, reste ouvert.

De même pour le groupe C, où le Vardar dictera sa loi. De tous les Final Four jusqu'à présent, les joueuses de Skopje risquent d'être secouées, mais pas coulées. Toujours fidèles au poste, malgré sa fin de règne outre-Rhin, le Thüringer HC s'est extrait des qualifications, tandis que Larvik a perdu la plupart de ses taulières. C'est à Ferencvaros que devrait revenir la deuxième place.

Sorti des qualifications sur des scores fleuves (43-19 et 42-14), en tête du championnat norvégien, Kristiansand promet quelques étincelles. Pour l'anecdote, c'est la première fois que les Vipers joueront la Ligue des Champions, tout comme Bietigheim (Allemagne), Gdynia (Pologne), Nykøbing (Danemark) et Brest. Le club des sœurs Lunde pourrait avoir une belle carte à jouer dans un groupe D homogène aux côtés de Metz, Bietigheim et d'une équipe de Buducnost complètement rajeunie.


Le calendrier

Première phase

Six journées aller-retour, du 6 octobre au 19 novembre.

Quatre groupes de quatre. Les trois premiers au tour principal, où les points des confrontations directes seront conservés (2 pour une victoire, 1 pour un match nul, 0 pour une défaite). En cas d'égalité de points, le goal-average particulier prime.

Tour principal

Six journées aller-retour, du 26 janvier au 11 mars 2018.

Les équipes issues du groupe A rencontrent exclusivement celles du groupe B, celles du groupe C font de même avec le groupe D. Deux groupes de six équipes. Les quatre premiers qualifiés en quarts de finale croisés (1er groupe A-4ème groupe B...)

Quarts de finale

Aller du 6 au 8 avril, retour du 13 au 15 avril.

Final Four (à Budapest)

Demies le samedi 12 mai, finales le dimanche 13 mai.


L'agenda de la première journée

Groupe A : Nykobing (DAN) – Gdynia (POL), samedi à 14h30. CSM Bucarest (ROU) – Krim Ljubljana (SLV), samedi à 20 h.

Groupe B : Rostov (RUS) – Brest, samedi à 15 h (en direct sur beIN Sports 2). Györ (HON) – Midtjylland (DAN), samedi à 19h30.

Groupe C : Vardar Skopje (MCD) – Ferencvaros (HON), 34-31 (Lacrabère 6 buts/10 tirs, Leynaud 6/20 arrêts). Larvik (NOR) – Thüringen (ALL), samedi à 17 h.

Groupe D : Buducnost Podgorica (MTN) – Bietigheim (ALL), samedi à 19 h. Metz – Kristiansand (NOR), dimanche à 19 h (en direct sur beIN Sports 2).

 

Le coin Bleues

Hors clubs français, cinq internationales expatriées prendront part à cette saison de Ligue des Champions : Camille Ayglon-Saurina et Gnonsiane Niombla (CSM Bucarest), Siraba Dembélé (Rostov), Alexandra Lacrabère (ci-dessus) et Amandine Leynaud (Vardar Skopje).


(avec Amélie Huhn)

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