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LSL: Les derniers heureux et l'ultime déçu

LMSL

mercredi 30 mai 2018 - © Yves Michel

 8 min 57 de lecture

Le PSG est sur le point de célébrer son 4ème titre de champion national d’affilée. Il faudrait un accident industriel de la part des coéquipiers de Nedim Remili pour qu’il en soit autrement. Ou alors que Chambéry se découvre des qualités insoupçonnées en cette fin de saison. Montpellier tout auréolé par son succès en Ligue des Champions, accueille Dunkerque qui joue encore une place en EHF au même titre que Pays d’Aix et St Raphaël qui se feront face. Il y aura forcément deux heureux et un déçu.

Par Yves MICHEL


Jamais un championnat n’aura gardé une telle incertitude jusqu’à son terme. Si Massy a certes été rapidement fixé sur ses capacités à survivre parmi l’élite, Saran a du attendre la 26ème journée pour connaître son (triste) sort.

Que dire aussi de la bagarre pour le titre ? Montpellier se dirigeait vers le 15ème trophée de son histoire, l’avance sur le PSG s’était réduite depuis la trêve mais les Héraultais tenaient le cap. La sortie de route a eu lieu dans les ultimes minutes de l’avant-dernière journée. Une partie de leurs espoirs s'est envolée à Saint Raphaël, lorsque les Varois se sont imposés il y a un peu plus d’une semaine. Une partie des espoirs… c’est vrai car il reste encore mathématiquement la possibilité d’un renversement de situation mais les partenaires de Michaël Guigou ne sont pas totalement maîtres de leur destin. Ils doivent battre Dunkerque à domicile mais également compter sur une hypothétique contreperformance de Paris (un match nul en serait une) à Coubertin, face à Chambéry. Depuis dimanche, la donne a changé. Le MHB s'est hissé sur le toit de l’Europe, sans avoir rencontré les joueurs de la capitale qui eux, se sont totalement vautrés dans leurs desseins européens.

Patrick Cazal connait le club de Montpellier dans ses moindres recoins pour y avoir passé cinq ans de sa vie de joueur (entre 1994 et 1999). En 20 saisons, Bougnol a été rafraîchi, certains visages ont changé mais les valeurs sont restées. Ce jeudi, avec Dunkerque, l’entraîneur nordiste tentera un pari. Celui d’accrocher le wagon européen. « Dans notre situation, on sait que si on est capable d’aller chercher au moins un point, on sera maître de notre destin. Sauf que c’est un déplacement à Montpellier, qui vient de remporter la Ligue des Champions et qui voudra remercier à sa manière, tous ses supporters en leur offrant une dernière victoire. Il ne faut s’attendre à aucun cadeau. » Même avec une défaite dans l’Hérault, le destin des Dunkerquois ne serait pas entièrement scellé. Un revers de Pays d’Aix face à St Raphaël (voir plus bas) propulserait les Nordistes en coupe EHF. Mais comme le souligne le technicien, « l’idéal serait d’être acteur de notre avenir. » Pour autant, s'ils ne parviennent pas à devenir européens, leur saison n’aura pas été un fiasco. « On est toujours dans une phase de reconstruction, martèle Cazal. Et se retrouver dans cette situation avec une équipe renouvelée à 40%, c’est très encourageant. On va terminer l’exercice avec (a minima) 6 points de plus que la saison dernière. Et on risque de se retrouver dans la même situation donc ça montre combien on a ce sentiment d’avoir travaillé un peu mieux. Un des motifs de satisfaction est d’avoir vu nos jeunes grandir. La progression de Pelayo, de Billant et même de Langaro (notre photo) pour sa 1ère saison chez nous, est très intéressante. » Dunkerque sera donc concentré sur son match à Montpellier mais aura un œil sur ce qui va se passer un peu plus à l’est en traversant la Camargue, du côté d’Aix.

Une affaire entre sudistes puisque Pays d’Aix accueille Saint Raphaël. Et là aussi, l’enjeu est de taille car il y a un billet européen à la clé. Et les scénarios sont multiples (voir tableau ci-dessous) avec un léger ballottage favorable pour les Raphaélois qui sortent d’un succès face à Montpellier. « Si on est capable de reproduire ce type de performance, on peut finir en beauté, s’enthousiasme Arthur Vigneron (notre photo). C’est une véritable finale mais il faut éviter tout calcul. Le mot d’ordre c’est : gagner !  Quand on a joué Montpellier deux jours après une finale de l’EHF, on pensait que cela allait nous desservir mais on n’a pas gambergé et ça s’est très bien passé. Ce match à Aix est aussi un test pour savoir si on a grandi. On vient de disputer deux Final Four d’affilée, bien-sûr qu’on y a pris goût donc on veut tout faire pour y revenir. » Pays d’Aix n’a jamais été aussi proche de l’objectif fixé il y a 5-6 ans par ses dirigeants: être en mesure de décrocher un billet européen en même temps que la livraison de l’Arena de 6000 places. Si le calendrier a été respecté, il reste une dernière marche à gravir et ce n’est pas la plus facile. « On va rencontrer l’équipe qui s’est offert la même semaine le futur vainqueur de la Ligue des Champions, souligne Jérôme Fernandez. En plus, St Raph’ a plus d’expérience que nous sur ce type de matches. Quoi qu’il se passe, on peut être satisfait de notre saison , même si on termine 6ème (ce serait le meilleur classement du PAUC depuis son accession à la D1). Mais ce serait aussi frustrant d’échouer si près du but. L’inconnue, c’est de savoir comment on va pouvoir gérer cela psychologiquement. De notre réaction dépend beaucoup de choses. Ce match va nous éclairer sur notre capacité à aller chercher dans le futur, une coupe nationale ou être performants en EHF si on y participe. » Pour sa 1ère saison en tant qu’entraîneur exclusif, l’ancien capitaine de l’équipe de France a largement réussi son examen de passage. Pays d’Aix veut désormais devenir une référence dans le handball national. Avant de faire son nid à l’échelle de l’Europe. 


      Pour sa 1ère saison comme entraîneur, Jérôme Fernandez décrochera-t-il l'Europe avec Aix ?

Le suspense peut-il encore être ailleurs ? Tout en haut. Dimanche après avoir soulevé à l’envi le trophée de la Ligue des Champions et entre deux accès de joie, les Montpelliérains ne se faisaient guère d’illusions. « Mardi, en perdant à St Raph’, on a perdu le titre.» Cinq jours plus tard, ils remportaient le Final Four le plus convoité de la planète handball. Cela va au-delà du lot de consolation pour un club qui affiche un peu plus de 7,5 millions de budget. Deux fois et demie moins que celui qui sera vraisemblablement sacré champion national pour la 4ème saison d’affilée. Si la balade à Cologne a été complètement ratée, Paris veut finir sur une bonne note face à Chambéry. Cela n’estompera pas la frustration de l’échec européen mais elle pourra l’atténuer. Enfin, un peu... si peu. La saison avait mal commencé par une défaite face à Nantes au Trophée des Champions, elle s’est mal terminéer face à cette même équipe en Ligue des Champions.

Une page va se tourner au PSG. Noka Serdarusic et Staffan Olsson vont laisser la place à Raul Gonzalez et son adjoint Jota Gonzalez (les deux hommes n’ont aucun lien de parenté). Il faudra aussi s’habituer à ne plus croiser Daniel Narcisse, du moins sur les parquets, en short, brassard de capitaine autour du bras. Pour l’instant, le Réunionnais n’a donné aucune indication précise sur sa reconversion. Un costume de manager général dans un club prestigieux, le PSG par exemple, pourrait parfaitement lui convenir.

Quatre autres matches agrémenteront cette dernière journée de l’élite. Nantes fêtera son excellente saison devant son fidèle public (on en a encore eu la démonstration ce week-end à Cologne) et le départ de Dominik Klein qui arrête carrément sa carrière, en accueillant la lanterne rouge, Massy. Saran, l’autre recalé accueillera Tremblay pendant que Cesson qui a senti à plusieurs reprises le vent du boulet dans le dos, sera l’hôte de Toulouse. Ivry (enfin, il faut l'espérer) rendra hommage au tandem Stefanovic-Degouy et à quelques joueurs sur le départ, en recevant Nîmes qui aurait pu jouer l’Europe sur cette ultime levée mais qui ne peut pas être déçu par sa saison tant la progression est manifeste.

Tous les matches de la 26ème journée sont programmés à 20h45 (Montpellier-Dunkerque sera retransmis sur beIN Sports 2, PSG-Chambéry sur beIN Sports 1). 


          L'Espagnol de Vardar Raul Gonzalez, futur coach du PSG

Le titre

PSG champion:
si victoire sur Chambéry (quel que soit le résultat de Montpellier-Dunkerque)
si nul face à Chambéry et défaite ou nul de Montpellier face à Dunkerque
si défaite contre Chambéry et victoire de Dunkerque à Montpellier

Montpellier champion:
si victoire contre Dunkerque et nul ou défaite du PSG face à Chambéry
si nul contre Dunkerque et défaite du PSG sur Chambéry

Au goal-average particulier,
le PSG est devant le MHB avec 4 buts de mieux

Pour la qualification en coupe EHF (le 4ème et le 5ème du championnat) 

St Raphaël en EHF:
si victoire ou nul à Aix (quel que soit le résultat de Dunkerque à Montpellier)
si défaite à Aix et défaite de Dunkerque à Montpellier

Aix en EHF :

si victoire face à St Raphaël  (quel que soit le résultat de Dunkerque)
si nul face à St Raphaël et défaite de Dunkerque à Montpellier

Dunkerque en EHF :
si victoire à Montpellier (quel que soit le score de Aix – St Raphaël)
si nul à Montpellier et défaite ou nul d’Aix face à St Raphaël
si défaite à Montpellier et défaite d’Aix face à St Raphaël

Au goal-average particulier, Dunkerque est devant St Raphaël et Aix avec 4 buts de mieux

LSL: Les derniers heureux et l'ultime déçu 

LMSL

mercredi 30 mai 2018 - © Yves Michel

 8 min 57 de lecture

Le PSG est sur le point de célébrer son 4ème titre de champion national d’affilée. Il faudrait un accident industriel de la part des coéquipiers de Nedim Remili pour qu’il en soit autrement. Ou alors que Chambéry se découvre des qualités insoupçonnées en cette fin de saison. Montpellier tout auréolé par son succès en Ligue des Champions, accueille Dunkerque qui joue encore une place en EHF au même titre que Pays d’Aix et St Raphaël qui se feront face. Il y aura forcément deux heureux et un déçu.

Par Yves MICHEL


Jamais un championnat n’aura gardé une telle incertitude jusqu’à son terme. Si Massy a certes été rapidement fixé sur ses capacités à survivre parmi l’élite, Saran a du attendre la 26ème journée pour connaître son (triste) sort.

Que dire aussi de la bagarre pour le titre ? Montpellier se dirigeait vers le 15ème trophée de son histoire, l’avance sur le PSG s’était réduite depuis la trêve mais les Héraultais tenaient le cap. La sortie de route a eu lieu dans les ultimes minutes de l’avant-dernière journée. Une partie de leurs espoirs s'est envolée à Saint Raphaël, lorsque les Varois se sont imposés il y a un peu plus d’une semaine. Une partie des espoirs… c’est vrai car il reste encore mathématiquement la possibilité d’un renversement de situation mais les partenaires de Michaël Guigou ne sont pas totalement maîtres de leur destin. Ils doivent battre Dunkerque à domicile mais également compter sur une hypothétique contreperformance de Paris (un match nul en serait une) à Coubertin, face à Chambéry. Depuis dimanche, la donne a changé. Le MHB s'est hissé sur le toit de l’Europe, sans avoir rencontré les joueurs de la capitale qui eux, se sont totalement vautrés dans leurs desseins européens.

Patrick Cazal connait le club de Montpellier dans ses moindres recoins pour y avoir passé cinq ans de sa vie de joueur (entre 1994 et 1999). En 20 saisons, Bougnol a été rafraîchi, certains visages ont changé mais les valeurs sont restées. Ce jeudi, avec Dunkerque, l’entraîneur nordiste tentera un pari. Celui d’accrocher le wagon européen. « Dans notre situation, on sait que si on est capable d’aller chercher au moins un point, on sera maître de notre destin. Sauf que c’est un déplacement à Montpellier, qui vient de remporter la Ligue des Champions et qui voudra remercier à sa manière, tous ses supporters en leur offrant une dernière victoire. Il ne faut s’attendre à aucun cadeau. » Même avec une défaite dans l’Hérault, le destin des Dunkerquois ne serait pas entièrement scellé. Un revers de Pays d’Aix face à St Raphaël (voir plus bas) propulserait les Nordistes en coupe EHF. Mais comme le souligne le technicien, « l’idéal serait d’être acteur de notre avenir. » Pour autant, s'ils ne parviennent pas à devenir européens, leur saison n’aura pas été un fiasco. « On est toujours dans une phase de reconstruction, martèle Cazal. Et se retrouver dans cette situation avec une équipe renouvelée à 40%, c’est très encourageant. On va terminer l’exercice avec (a minima) 6 points de plus que la saison dernière. Et on risque de se retrouver dans la même situation donc ça montre combien on a ce sentiment d’avoir travaillé un peu mieux. Un des motifs de satisfaction est d’avoir vu nos jeunes grandir. La progression de Pelayo, de Billant et même de Langaro (notre photo) pour sa 1ère saison chez nous, est très intéressante. » Dunkerque sera donc concentré sur son match à Montpellier mais aura un œil sur ce qui va se passer un peu plus à l’est en traversant la Camargue, du côté d’Aix.

Une affaire entre sudistes puisque Pays d’Aix accueille Saint Raphaël. Et là aussi, l’enjeu est de taille car il y a un billet européen à la clé. Et les scénarios sont multiples (voir tableau ci-dessous) avec un léger ballottage favorable pour les Raphaélois qui sortent d’un succès face à Montpellier. « Si on est capable de reproduire ce type de performance, on peut finir en beauté, s’enthousiasme Arthur Vigneron (notre photo). C’est une véritable finale mais il faut éviter tout calcul. Le mot d’ordre c’est : gagner !  Quand on a joué Montpellier deux jours après une finale de l’EHF, on pensait que cela allait nous desservir mais on n’a pas gambergé et ça s’est très bien passé. Ce match à Aix est aussi un test pour savoir si on a grandi. On vient de disputer deux Final Four d’affilée, bien-sûr qu’on y a pris goût donc on veut tout faire pour y revenir. » Pays d’Aix n’a jamais été aussi proche de l’objectif fixé il y a 5-6 ans par ses dirigeants: être en mesure de décrocher un billet européen en même temps que la livraison de l’Arena de 6000 places. Si le calendrier a été respecté, il reste une dernière marche à gravir et ce n’est pas la plus facile. « On va rencontrer l’équipe qui s’est offert la même semaine le futur vainqueur de la Ligue des Champions, souligne Jérôme Fernandez. En plus, St Raph’ a plus d’expérience que nous sur ce type de matches. Quoi qu’il se passe, on peut être satisfait de notre saison , même si on termine 6ème (ce serait le meilleur classement du PAUC depuis son accession à la D1). Mais ce serait aussi frustrant d’échouer si près du but. L’inconnue, c’est de savoir comment on va pouvoir gérer cela psychologiquement. De notre réaction dépend beaucoup de choses. Ce match va nous éclairer sur notre capacité à aller chercher dans le futur, une coupe nationale ou être performants en EHF si on y participe. » Pour sa 1ère saison en tant qu’entraîneur exclusif, l’ancien capitaine de l’équipe de France a largement réussi son examen de passage. Pays d’Aix veut désormais devenir une référence dans le handball national. Avant de faire son nid à l’échelle de l’Europe. 


      Pour sa 1ère saison comme entraîneur, Jérôme Fernandez décrochera-t-il l'Europe avec Aix ?

Le suspense peut-il encore être ailleurs ? Tout en haut. Dimanche après avoir soulevé à l’envi le trophée de la Ligue des Champions et entre deux accès de joie, les Montpelliérains ne se faisaient guère d’illusions. « Mardi, en perdant à St Raph’, on a perdu le titre.» Cinq jours plus tard, ils remportaient le Final Four le plus convoité de la planète handball. Cela va au-delà du lot de consolation pour un club qui affiche un peu plus de 7,5 millions de budget. Deux fois et demie moins que celui qui sera vraisemblablement sacré champion national pour la 4ème saison d’affilée. Si la balade à Cologne a été complètement ratée, Paris veut finir sur une bonne note face à Chambéry. Cela n’estompera pas la frustration de l’échec européen mais elle pourra l’atténuer. Enfin, un peu... si peu. La saison avait mal commencé par une défaite face à Nantes au Trophée des Champions, elle s’est mal terminéer face à cette même équipe en Ligue des Champions.

Une page va se tourner au PSG. Noka Serdarusic et Staffan Olsson vont laisser la place à Raul Gonzalez et son adjoint Jota Gonzalez (les deux hommes n’ont aucun lien de parenté). Il faudra aussi s’habituer à ne plus croiser Daniel Narcisse, du moins sur les parquets, en short, brassard de capitaine autour du bras. Pour l’instant, le Réunionnais n’a donné aucune indication précise sur sa reconversion. Un costume de manager général dans un club prestigieux, le PSG par exemple, pourrait parfaitement lui convenir.

Quatre autres matches agrémenteront cette dernière journée de l’élite. Nantes fêtera son excellente saison devant son fidèle public (on en a encore eu la démonstration ce week-end à Cologne) et le départ de Dominik Klein qui arrête carrément sa carrière, en accueillant la lanterne rouge, Massy. Saran, l’autre recalé accueillera Tremblay pendant que Cesson qui a senti à plusieurs reprises le vent du boulet dans le dos, sera l’hôte de Toulouse. Ivry (enfin, il faut l'espérer) rendra hommage au tandem Stefanovic-Degouy et à quelques joueurs sur le départ, en recevant Nîmes qui aurait pu jouer l’Europe sur cette ultime levée mais qui ne peut pas être déçu par sa saison tant la progression est manifeste.

Tous les matches de la 26ème journée sont programmés à 20h45 (Montpellier-Dunkerque sera retransmis sur beIN Sports 2, PSG-Chambéry sur beIN Sports 1). 


          L'Espagnol de Vardar Raul Gonzalez, futur coach du PSG

Le titre

PSG champion:
si victoire sur Chambéry (quel que soit le résultat de Montpellier-Dunkerque)
si nul face à Chambéry et défaite ou nul de Montpellier face à Dunkerque
si défaite contre Chambéry et victoire de Dunkerque à Montpellier

Montpellier champion:
si victoire contre Dunkerque et nul ou défaite du PSG face à Chambéry
si nul contre Dunkerque et défaite du PSG sur Chambéry

Au goal-average particulier,
le PSG est devant le MHB avec 4 buts de mieux

Pour la qualification en coupe EHF (le 4ème et le 5ème du championnat) 

St Raphaël en EHF:
si victoire ou nul à Aix (quel que soit le résultat de Dunkerque à Montpellier)
si défaite à Aix et défaite de Dunkerque à Montpellier

Aix en EHF :

si victoire face à St Raphaël  (quel que soit le résultat de Dunkerque)
si nul face à St Raphaël et défaite de Dunkerque à Montpellier

Dunkerque en EHF :
si victoire à Montpellier (quel que soit le score de Aix – St Raphaël)
si nul à Montpellier et défaite ou nul d’Aix face à St Raphaël
si défaite à Montpellier et défaite d’Aix face à St Raphaël

Au goal-average particulier, Dunkerque est devant St Raphaël et Aix avec 4 buts de mieux

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