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Yann Balmossière : « Je ne suis pas un professionnel du handball »

LMSL

samedi 17 novembre 2007 - Handzone

 2 min 49 de lecture

Elu joueur HANDzone du mois d’avril par les entraîneurs de D1, le capitaine nîmois Yann Balmossière revient sur son parcours atypique. Fidélité et générosité réunies autour de ce qui reste une passion.

 

Handzone : A quand remontent tes débuts ?

Yann Balmossière : C’était très jeune à Vauvert, à côté de Nîmes. Et puis j’ai rejoint l’USAM l’année de cadets, où j’ai d'ailleurs fait sport-études avec Laurent Puigségur.

 

HZ : Il y a ensuite eu un passage vers l’Hérault…

YB : Du fait de mes études, je suis arrivé à Montpellier à mes 17-18 ans. Je suis reparti plus tard dans un petit club, Clermont l’Hérault (N1) car je ne rentrais pas dans les plans de l’entraîneur, Patrice Canayer. C’était au moment où Montpellier s’est donné les ambitions qu’on lui connaît. Mais je garde un très bon souvenir d’y avoir joué avec Laurent Puigségur, Andrej Golic ou les frères Anquetil. « Belette » (Frédéric Anquetil) était capitaine… un capitaine par excellence !

 

HZ : C’est un statut que vous avez eu durant six saisons à Nîmes par la suite…

YB : Je suis revenu à l’USAM en 1997. Quand on a manqué la montée en D1 (l’USAM aurait accédé à la D1 sans quelques points de pénalité), Jérôme Chauvet était alors capitaine et c’est là que j’ai pris le relais.

 

HZ : Jusqu’où irez-vous avec l’USAM ?

YB : J’ai donné mon accord pour l’an prochain. Je pense finir à Nîmes, je ne suis pas un professionnel du handball. Le hand fait partie de ma vie depuis 20 ans, mais jamais je n’ai fait que ça. Depuis la fin de mes études, je suis animateur sportif au conseil général.

 

HZ : Et après le handball ?

YB : J’espère rester en contact avec le hand. J’entraîne depuis quelques années. Et puis je veux aussi consacrer du temps à mon fils et à mon amie.

 

Propos recueillis par

Yann Balmossière : « Je ne suis pas un professionnel du handball » 

LMSL

samedi 17 novembre 2007 - Handzone

 2 min 49 de lecture

Elu joueur HANDzone du mois d’avril par les entraîneurs de D1, le capitaine nîmois Yann Balmossière revient sur son parcours atypique. Fidélité et générosité réunies autour de ce qui reste une passion.

 

Handzone : A quand remontent tes débuts ?

Yann Balmossière : C’était très jeune à Vauvert, à côté de Nîmes. Et puis j’ai rejoint l’USAM l’année de cadets, où j’ai d'ailleurs fait sport-études avec Laurent Puigségur.

 

HZ : Il y a ensuite eu un passage vers l’Hérault…

YB : Du fait de mes études, je suis arrivé à Montpellier à mes 17-18 ans. Je suis reparti plus tard dans un petit club, Clermont l’Hérault (N1) car je ne rentrais pas dans les plans de l’entraîneur, Patrice Canayer. C’était au moment où Montpellier s’est donné les ambitions qu’on lui connaît. Mais je garde un très bon souvenir d’y avoir joué avec Laurent Puigségur, Andrej Golic ou les frères Anquetil. « Belette » (Frédéric Anquetil) était capitaine… un capitaine par excellence !

 

HZ : C’est un statut que vous avez eu durant six saisons à Nîmes par la suite…

YB : Je suis revenu à l’USAM en 1997. Quand on a manqué la montée en D1 (l’USAM aurait accédé à la D1 sans quelques points de pénalité), Jérôme Chauvet était alors capitaine et c’est là que j’ai pris le relais.

 

HZ : Jusqu’où irez-vous avec l’USAM ?

YB : J’ai donné mon accord pour l’an prochain. Je pense finir à Nîmes, je ne suis pas un professionnel du handball. Le hand fait partie de ma vie depuis 20 ans, mais jamais je n’ai fait que ça. Depuis la fin de mes études, je suis animateur sportif au conseil général.

 

HZ : Et après le handball ?

YB : J’espère rester en contact avec le hand. J’entraîne depuis quelques années. Et puis je veux aussi consacrer du temps à mon fils et à mon amie.

 

Propos recueillis par

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