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Le PSG sort Montpellier et rejoint le Final Four de la CDLL

Coupe LNH

jeudi 5 décembre 2019 - © Yves Michel

 9 min 13 de lecture

Si la veille les trois équipes qui se déplaçaient (Nantes, Toulouse et Chambéry) avaient brûlé la politesse à leurs hôtes respectifs (Dunkerque, Nîmes, Istres), Montpellier n'a jamais trouvé les bons ingrédients pour prendre en défaut le PSG (34-30). Dans le sillage d'un excellent Kamil Syprzak tout sourire après avoir inscrit 9 buts, les Parisiens valident pour la 5ème fois d'affilée leur qualification au Final Four de la Coupe de la Ligue.

par Yves MICHEL


On s’était surpris à espérer que trois semaines après avoir été bien remué (-5) par un PSG qui présentait des atouts différents (avec ce soir-là, Nedim Remili et Luka Karabatic dans l’effectif), Montpellier montrerait un visage plus revanchard. Si le scénario du match aller de Starligue avait été différemment écrit, l’épilogue est le même. Les Héraultais ont laissé leurs hôtes se qualifier pour les quarts de finale de la coupe de la Ligue. « Les interviewes se suivent et se ressemblent, peste Valentin Porte le capitaine du MHB au micro de beIN sports. Et ça commence à m’énerver. On arrive, on parle beaucoup, entre nous on se dit que c’est peut-être le bon moment pour les accrocher, ils ont des blessés et qu’il va falloir rester au contact comme a fait le Barça en 1ère mi-temps et les amener dans le money-time où la fatigue va se faire sentir. » Sauf que les faits n’ont pas suivi les intentions. Car justement, Montpellier n’a pas pu imiter Barcelone et ne s’est accroché que pendant le 1er quart d’heure. Comme si la sortie sur blessure de Gilberto Duarte (dès la 3ème minute) avait déstabilisé le groupe, comme si Truchanovicius qui bien malgré lui était lourdement tombé sur son partenaire, s’est déconcentré sur le moment se sentant fautif. Il va commettre quelques erreurs avant de s’en remettre. Comme si Melvyn Richardson n’était jamais entré dans cette 1ère période, sanctionné par deux fois en l’espace de neuf minutes. Marin Sego avait réalisé quelques arrêts mais le PSG avait trouvé des solutions pour contourner la difficulté (15-11 à la 26ème).



Et l’addition va se corser en cette fin de 1er acte pour atteindre l’écart le plus large à la pause (19-12). Une grosse défense étagée avait permis à une équipe parisienne de bien monter les ballons. Kamil Syprzak, seul pivot de métier à occuper le poste après le forfait de Luka Karabatic (qui doit se faire opérer d’un doigt ce vendredi matin) et d’Henrik Toft Hansen (toujours pas remis d’une commotion cérébrale) avait pris la lumière des projecteurs autant en attaque qu’en défense sur le poste 3.

A la reprise, les hommes de Raul Gonzalez ne vont pas desserrer leur emprise (21-12) mais sans doute trop sûrs d’eux et malgré l’efficacité de Vincent Gérard, ils vont perdre en concentration et en précision. Il n'y aura pourtant jamais panique à bord (25-20 à la 43ème). Les Montpelliérains auraient pu en profiter mais ils vont commettre trop de fautes appelant sanction et donner à Mikkel Hansen l’occasion à 7m (4 en 5’) de mettre les siens dans une position plus confortable (29-22 à la 48ème). Patrice Canayer aura beau changer de système défensif, tenter le surnombre, Paris baisser d’intensité et tomber sur un Diego Simonet un peu trop tardivement en réussite (3 buts de l’Argentin en 1’30), l’épilogue déjà écrit depuis de longues minutes, ne sera pas une surprise. « Ce qui est bien, se satisfait Vincent Gérard, c’est que contrairement au match de championnat, on a construit la victoire sur un +7 et ensuite, on a plutôt géré. Leur passage à 7 contre six sur la fin nous a posés quelques soucis mais on avait fait le nécessaire avant. Si le match contre Barcelone n’était pas à élimination directe, là, une défaite nous aurait fait perdre un titre. Donc comme sur le plan national, on veut tout remporter et sortir un concurrent direct de cette façon, c’était très important. Et on est très heureux. » Paris pourra donc défendre le titre qu’il a décroché successivement lors des trois derniers Final Four, les 14 et 15 mars 2020 au pavillon Antarès au Mans.  Aux côtés de Nantes, Chambéry et Toulouse.



C’est un Patrick Cazal totalement abattu par l’élimination de Dunkerque face à Nantes (20-22) qui a quitté le parquet. Frustré aussi car le technicien ne parvenait à trouver les raisons d’un tel revirement de tendance. Fort d’un avantage de cinq buts à la pause (14-9) en n’ayant perdu aucun ballon (contre 8 pour le H), les Nordistes ont été rattrapés par leur adversaire à la 49ème (18-18) et n’ont jamais pu se réapproprier la situation. « Je me demande si c’est réel et si j’avais les mêmes joueurs en seconde. On aborde la 2ème mi-temps la fleur au fusil, en se mettant en totale difficulté. Ensuite, je dois le dire, on a plus eu de couilles ! (sic) C’est un gâchis. On avait tout pour que cela réussisse et encore une fois, on a manqué de vrais leaders dans le jeu offensif (six buts inscrits en 30 minutes !). Si par moments tu peux être en difficultés même avec une telle avance, même s’il y a de l’enjeu, tu dois te ressaisir. Là, on n’a pas du tout joué en 2ème. » Dunkerque apathique a surtout buté sur Emil Nielsen entré après la pause et qui a réalisé huit parades très importantes. Les partenaires du demi-centre Rok Ovnicek (notre photo) qui une semaine plus tôt avaient réussi le hold-up parfait à Chambéry, passent donc de justesse et le club, pour la 6ème fois de son histoire participera à une demi-finale de la Coupe de la Ligue. Trophée qu'il a décroché en 2015.

Chambéry: résurrection amorcée à Istres ?

Chambéry revient de loin et a bien cru que la série de contreperformances enregistrée depuis le début de la saison allait se poursuivre. A la 35ème minute, Istres porté par un public survolté menait largement de sept longueurs (19-12). Les Savoyards déjà portés par un Yann Genty très concentré (9 arrêts sur ses 15 uniquement en 1ère période) ne se sont jamais affolés et ont refait leur retard. En améliorant sensiblement leur efficacité au tir (54% contre 41%). Benjamin Richert a trouvé la faille dans le money-time en inscrivant deux buts consécutifs et en permettant à son équipe de basculer en tête (24-25). Istres ne reviendra jamais et devra se passer d’une 3ème participation au Final Four de la coupe de la Ligue. « C’est dommage car on a fait une excellente 1ère mi-temps, souffle le gardien provençal Arnaud Tabarand. On était bien en place notamment en défense. Ensuite, ils nous ont posés quelques soucis sur leur jeu à 7 et on a perdu quelques ballons importants. Il va falloir retirer le positif qu’il y a eu sur ce match. L’important va être d’enchaîner, la priorité reste le maintien en championnat, la coupe de la Ligue, c’était le petit bonus. » Pour Chambéry, cette qualification pour les demies était un petit coin de ciel bleu dans la grisaille ambiante. Vainqueur de la 1ère édition de l’épreuve en 2002, la dernière participation au carré final remonte à six ans.

Où arrêtera-t-on Toulouse ? Déjà en pleine euphorie en championnat (2ème ex aequo avec 3 autres équipes), le Fenix a cette fois fait des étincelles en coupe de la Ligue. En allant s’imposer à Nîmes (37-40). A l’arrache puisque les deux équipes ne se sont pas lâché pendant trois-quarts d’heure. Les Gardois ont pris un départ canon (4-1 à la 4ème) et ont été vite rattrapés. Toulouse a mieux géré sa seconde période avec à la manœuvre, Luc Steins (3 passes décisives et 4/4 au total) mais surtout l’efficacité du bras gauche d’Ayoub Abdi (notre photo - 5 buts en 1ère période, 8 au final). Sans occulter la performance d’Ilic, Olsson et Gilbert. L’USAM a été offensivement bien moins efficace dans le second acte avec plus de déchets dans les intentions. Mais l’histoire retiendra que les Toulousains ont inscrit 40 buts face à une des meilleures défenses de l’élite.

Quarts de finale Coupe de la Ligue
Equipe ReceveuseEquipe VisiteuseScoreMTStats
DunkerqueNantes202214-9>>
NîmesToulouse374018-17>>
IstresChambéry252815-9>>
ParisMontpellier343019-12 >> 

Une autre coupe après la coupe

Ce week-end dès vendredi, place aux 16èmes de finale de la coupe de France, marqués par l’entrée en lice des clubs de l’élite. Aucune opposition entre eux mais des affiches qui ne manqueront pas d’intérêt même si on doit s’attendre à quelques résultats sans doute « surprenants », certains clubs de Starligue ayant décidé de mettre quelques cadres au repos. C’est le cas notamment de Montpellier qui après son escapade parisienne a décidé d’appeler six jeunes du centre de formation en renfort et renvoyer dix pros sur l’Hérault pour aller affronter Annecy (N1). Toulouse a prévu d'envoyer son équipe réserve à Cherbourg en bus (seul moyen de locomotion en raison de la grève) voulant préserver ses pros avant le match de mercredi face au MHB, Dunkerque doit laisser quelques cadres à la maison avant de partir à Sarrebourg. Et la liste est loin de se circonscrire à trois équipes. Disons-le tout net, à ce stade des 16èmes, la coupe de France et son fonctionnement archaïque (où les instances fédérales refusent systématiquement même en cas de force majeure comme une perturbation dans les transports, d'avancer les échéances) n'intéresse pas les équipes de haut niveau.

Le programme des 16 matches de coupe de France : ICI

Le PSG sort Montpellier et rejoint le Final Four de la CDLL 

Coupe LNH

jeudi 5 décembre 2019 - © Yves Michel

 9 min 13 de lecture

Si la veille les trois équipes qui se déplaçaient (Nantes, Toulouse et Chambéry) avaient brûlé la politesse à leurs hôtes respectifs (Dunkerque, Nîmes, Istres), Montpellier n'a jamais trouvé les bons ingrédients pour prendre en défaut le PSG (34-30). Dans le sillage d'un excellent Kamil Syprzak tout sourire après avoir inscrit 9 buts, les Parisiens valident pour la 5ème fois d'affilée leur qualification au Final Four de la Coupe de la Ligue.

par Yves MICHEL


On s’était surpris à espérer que trois semaines après avoir été bien remué (-5) par un PSG qui présentait des atouts différents (avec ce soir-là, Nedim Remili et Luka Karabatic dans l’effectif), Montpellier montrerait un visage plus revanchard. Si le scénario du match aller de Starligue avait été différemment écrit, l’épilogue est le même. Les Héraultais ont laissé leurs hôtes se qualifier pour les quarts de finale de la coupe de la Ligue. « Les interviewes se suivent et se ressemblent, peste Valentin Porte le capitaine du MHB au micro de beIN sports. Et ça commence à m’énerver. On arrive, on parle beaucoup, entre nous on se dit que c’est peut-être le bon moment pour les accrocher, ils ont des blessés et qu’il va falloir rester au contact comme a fait le Barça en 1ère mi-temps et les amener dans le money-time où la fatigue va se faire sentir. » Sauf que les faits n’ont pas suivi les intentions. Car justement, Montpellier n’a pas pu imiter Barcelone et ne s’est accroché que pendant le 1er quart d’heure. Comme si la sortie sur blessure de Gilberto Duarte (dès la 3ème minute) avait déstabilisé le groupe, comme si Truchanovicius qui bien malgré lui était lourdement tombé sur son partenaire, s’est déconcentré sur le moment se sentant fautif. Il va commettre quelques erreurs avant de s’en remettre. Comme si Melvyn Richardson n’était jamais entré dans cette 1ère période, sanctionné par deux fois en l’espace de neuf minutes. Marin Sego avait réalisé quelques arrêts mais le PSG avait trouvé des solutions pour contourner la difficulté (15-11 à la 26ème).



Et l’addition va se corser en cette fin de 1er acte pour atteindre l’écart le plus large à la pause (19-12). Une grosse défense étagée avait permis à une équipe parisienne de bien monter les ballons. Kamil Syprzak, seul pivot de métier à occuper le poste après le forfait de Luka Karabatic (qui doit se faire opérer d’un doigt ce vendredi matin) et d’Henrik Toft Hansen (toujours pas remis d’une commotion cérébrale) avait pris la lumière des projecteurs autant en attaque qu’en défense sur le poste 3.

A la reprise, les hommes de Raul Gonzalez ne vont pas desserrer leur emprise (21-12) mais sans doute trop sûrs d’eux et malgré l’efficacité de Vincent Gérard, ils vont perdre en concentration et en précision. Il n'y aura pourtant jamais panique à bord (25-20 à la 43ème). Les Montpelliérains auraient pu en profiter mais ils vont commettre trop de fautes appelant sanction et donner à Mikkel Hansen l’occasion à 7m (4 en 5’) de mettre les siens dans une position plus confortable (29-22 à la 48ème). Patrice Canayer aura beau changer de système défensif, tenter le surnombre, Paris baisser d’intensité et tomber sur un Diego Simonet un peu trop tardivement en réussite (3 buts de l’Argentin en 1’30), l’épilogue déjà écrit depuis de longues minutes, ne sera pas une surprise. « Ce qui est bien, se satisfait Vincent Gérard, c’est que contrairement au match de championnat, on a construit la victoire sur un +7 et ensuite, on a plutôt géré. Leur passage à 7 contre six sur la fin nous a posés quelques soucis mais on avait fait le nécessaire avant. Si le match contre Barcelone n’était pas à élimination directe, là, une défaite nous aurait fait perdre un titre. Donc comme sur le plan national, on veut tout remporter et sortir un concurrent direct de cette façon, c’était très important. Et on est très heureux. » Paris pourra donc défendre le titre qu’il a décroché successivement lors des trois derniers Final Four, les 14 et 15 mars 2020 au pavillon Antarès au Mans.  Aux côtés de Nantes, Chambéry et Toulouse.



C’est un Patrick Cazal totalement abattu par l’élimination de Dunkerque face à Nantes (20-22) qui a quitté le parquet. Frustré aussi car le technicien ne parvenait à trouver les raisons d’un tel revirement de tendance. Fort d’un avantage de cinq buts à la pause (14-9) en n’ayant perdu aucun ballon (contre 8 pour le H), les Nordistes ont été rattrapés par leur adversaire à la 49ème (18-18) et n’ont jamais pu se réapproprier la situation. « Je me demande si c’est réel et si j’avais les mêmes joueurs en seconde. On aborde la 2ème mi-temps la fleur au fusil, en se mettant en totale difficulté. Ensuite, je dois le dire, on a plus eu de couilles ! (sic) C’est un gâchis. On avait tout pour que cela réussisse et encore une fois, on a manqué de vrais leaders dans le jeu offensif (six buts inscrits en 30 minutes !). Si par moments tu peux être en difficultés même avec une telle avance, même s’il y a de l’enjeu, tu dois te ressaisir. Là, on n’a pas du tout joué en 2ème. » Dunkerque apathique a surtout buté sur Emil Nielsen entré après la pause et qui a réalisé huit parades très importantes. Les partenaires du demi-centre Rok Ovnicek (notre photo) qui une semaine plus tôt avaient réussi le hold-up parfait à Chambéry, passent donc de justesse et le club, pour la 6ème fois de son histoire participera à une demi-finale de la Coupe de la Ligue. Trophée qu'il a décroché en 2015.

Chambéry: résurrection amorcée à Istres ?

Chambéry revient de loin et a bien cru que la série de contreperformances enregistrée depuis le début de la saison allait se poursuivre. A la 35ème minute, Istres porté par un public survolté menait largement de sept longueurs (19-12). Les Savoyards déjà portés par un Yann Genty très concentré (9 arrêts sur ses 15 uniquement en 1ère période) ne se sont jamais affolés et ont refait leur retard. En améliorant sensiblement leur efficacité au tir (54% contre 41%). Benjamin Richert a trouvé la faille dans le money-time en inscrivant deux buts consécutifs et en permettant à son équipe de basculer en tête (24-25). Istres ne reviendra jamais et devra se passer d’une 3ème participation au Final Four de la coupe de la Ligue. « C’est dommage car on a fait une excellente 1ère mi-temps, souffle le gardien provençal Arnaud Tabarand. On était bien en place notamment en défense. Ensuite, ils nous ont posés quelques soucis sur leur jeu à 7 et on a perdu quelques ballons importants. Il va falloir retirer le positif qu’il y a eu sur ce match. L’important va être d’enchaîner, la priorité reste le maintien en championnat, la coupe de la Ligue, c’était le petit bonus. » Pour Chambéry, cette qualification pour les demies était un petit coin de ciel bleu dans la grisaille ambiante. Vainqueur de la 1ère édition de l’épreuve en 2002, la dernière participation au carré final remonte à six ans.

Où arrêtera-t-on Toulouse ? Déjà en pleine euphorie en championnat (2ème ex aequo avec 3 autres équipes), le Fenix a cette fois fait des étincelles en coupe de la Ligue. En allant s’imposer à Nîmes (37-40). A l’arrache puisque les deux équipes ne se sont pas lâché pendant trois-quarts d’heure. Les Gardois ont pris un départ canon (4-1 à la 4ème) et ont été vite rattrapés. Toulouse a mieux géré sa seconde période avec à la manœuvre, Luc Steins (3 passes décisives et 4/4 au total) mais surtout l’efficacité du bras gauche d’Ayoub Abdi (notre photo - 5 buts en 1ère période, 8 au final). Sans occulter la performance d’Ilic, Olsson et Gilbert. L’USAM a été offensivement bien moins efficace dans le second acte avec plus de déchets dans les intentions. Mais l’histoire retiendra que les Toulousains ont inscrit 40 buts face à une des meilleures défenses de l’élite.

Quarts de finale Coupe de la Ligue
Equipe ReceveuseEquipe VisiteuseScoreMTStats
DunkerqueNantes202214-9>>
NîmesToulouse374018-17>>
IstresChambéry252815-9>>
ParisMontpellier343019-12 >> 

Une autre coupe après la coupe

Ce week-end dès vendredi, place aux 16èmes de finale de la coupe de France, marqués par l’entrée en lice des clubs de l’élite. Aucune opposition entre eux mais des affiches qui ne manqueront pas d’intérêt même si on doit s’attendre à quelques résultats sans doute « surprenants », certains clubs de Starligue ayant décidé de mettre quelques cadres au repos. C’est le cas notamment de Montpellier qui après son escapade parisienne a décidé d’appeler six jeunes du centre de formation en renfort et renvoyer dix pros sur l’Hérault pour aller affronter Annecy (N1). Toulouse a prévu d'envoyer son équipe réserve à Cherbourg en bus (seul moyen de locomotion en raison de la grève) voulant préserver ses pros avant le match de mercredi face au MHB, Dunkerque doit laisser quelques cadres à la maison avant de partir à Sarrebourg. Et la liste est loin de se circonscrire à trois équipes. Disons-le tout net, à ce stade des 16èmes, la coupe de France et son fonctionnement archaïque (où les instances fédérales refusent systématiquement même en cas de force majeure comme une perturbation dans les transports, d'avancer les échéances) n'intéresse pas les équipes de haut niveau.

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