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L’adversaire du Jour…. E viva Espana !!

Mondial

mardi 11 août 2009 - Handzone

 1 min 52 de lecture

S’il est une équipe que la France connaît par cœur, c’est bien celle d’Espagne. Les deux équipes sont de tous les grands tournois et la dernière confrontation remonte au mois de janvier dernier à l’occasion des 4 Nations à St Malo où elles étaient restées dos à dos (29-29). C’est également sur un score de parité (30-30) que Français et Espagnols s’étaient quittés lors du Tour principal du dernier Euro macédonien. Car jusque là, l’Espagne c’était la véritable bête noire des Juniors tricolores. Les hommes de Guy Petitgirard n’ont jamais pu accrocher le voisin pyrénéen à leur tableau de chasse.

Les joueurs des deux camps se pratiquent autant qu’ils se détestent et ce soir, ce match de gala (c’est la 1ère fois que la France évoluera en fin d’après-midi) va revêtir une importance capitale. En effet, hier l’Espagne a largement battu le Brésil, 26 à 17, se replaçant ainsi, dans la course à la qualification. Malheur au vaincu qui devrait dire adieu au train du Caire et rester à Suez, pour disputer un lot de consolation.

L’Espagne, c’est comme la France, un collectif mais également, certaines individualités. Le joyau de l’équipe s’appelle Alberto Aguirezabalaga (photo au dessus - c’est le plus capé… 57 sélections et le meilleur marqueur… 200 buts). Cet ailier droit qui fait désormais ses classes à Pampelune sera à surveiller en priorité tout comme son compère arrière droit d’Alconbendas, formé à Barcelone, Jorge Maqueda Pena (2ème buteur de la sélection avec 171 réalisations).

Les Espagnols récupèrent peu à peu leur minaret défensif (2.10m), Angel Montoro (photo titre) qui hier, face au Brésil, n’a pas eu le rendement escompté. Même s’il relève de blessure (nez cassé suite à une bagarre dans un pub), cet arrière droit qui évolue dans l’équipe réserve d’Ademar Leon (Liga)  a une importance primordiale dans le groupe et même diminué, Isidoro Martinez, l’entraîneur, n’a pas hésité à le sélectionner. C’est tout dire ! 

Bref, les Français savent que le combat va être rude… les Espagnols, aussi !

Yves MICHEL

L’adversaire du Jour…. E viva Espana !! 

Mondial

mardi 11 août 2009 - Handzone

 1 min 52 de lecture

S’il est une équipe que la France connaît par cœur, c’est bien celle d’Espagne. Les deux équipes sont de tous les grands tournois et la dernière confrontation remonte au mois de janvier dernier à l’occasion des 4 Nations à St Malo où elles étaient restées dos à dos (29-29). C’est également sur un score de parité (30-30) que Français et Espagnols s’étaient quittés lors du Tour principal du dernier Euro macédonien. Car jusque là, l’Espagne c’était la véritable bête noire des Juniors tricolores. Les hommes de Guy Petitgirard n’ont jamais pu accrocher le voisin pyrénéen à leur tableau de chasse.

Les joueurs des deux camps se pratiquent autant qu’ils se détestent et ce soir, ce match de gala (c’est la 1ère fois que la France évoluera en fin d’après-midi) va revêtir une importance capitale. En effet, hier l’Espagne a largement battu le Brésil, 26 à 17, se replaçant ainsi, dans la course à la qualification. Malheur au vaincu qui devrait dire adieu au train du Caire et rester à Suez, pour disputer un lot de consolation.

L’Espagne, c’est comme la France, un collectif mais également, certaines individualités. Le joyau de l’équipe s’appelle Alberto Aguirezabalaga (photo au dessus - c’est le plus capé… 57 sélections et le meilleur marqueur… 200 buts). Cet ailier droit qui fait désormais ses classes à Pampelune sera à surveiller en priorité tout comme son compère arrière droit d’Alconbendas, formé à Barcelone, Jorge Maqueda Pena (2ème buteur de la sélection avec 171 réalisations).

Les Espagnols récupèrent peu à peu leur minaret défensif (2.10m), Angel Montoro (photo titre) qui hier, face au Brésil, n’a pas eu le rendement escompté. Même s’il relève de blessure (nez cassé suite à une bagarre dans un pub), cet arrière droit qui évolue dans l’équipe réserve d’Ademar Leon (Liga)  a une importance primordiale dans le groupe et même diminué, Isidoro Martinez, l’entraîneur, n’a pas hésité à le sélectionner. C’est tout dire ! 

Bref, les Français savent que le combat va être rude… les Espagnols, aussi !

Yves MICHEL

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