Après ce début de semaine tumultueux dans les coulisses saint-cyriennes  et une belle victoire face à Tremblay en France, juste l’adaptation  d’une chanson « les Anarchistes » du grand poète Léo Ferré qui caractérise, à merveille,  les équipiers de « Titi » Oliver, une bande de potes un peu  « anar » dans le paysage du handball français…

LES HANDBALLISTES…

Y’en a pas un sur cent et pourtant ils existent
La plupart saint-cyriens allez savoir pourquoi
Faut croire qu’en Touraine, on ne les comprend pas
Les handballistes…
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Ils ont tout encaissé
Des beign’ et des volées
Ils ont gueulé si fort
Qu’ils peuv’nt gueuler encore
Ils ont le cœur devant
Et leurs rèv’s au mitan
Et puis l’âm’ tout’ déçue
Par ces foutus élus …
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Y’en a pas un sur cent et pourtant ils existent
La plupart joueurs de rien ou bien joueurs de si peu
Ainsi qu’on les qualifie dans la hiérarchie
Qu’on ne les voit jamais que lorsqu’on a peur d’eux
Les handballistes…
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Ils sont morts bien des fois
Contre Nîmois ou Dunkerquois
Avec la balle au poing
Dans une salle, sur un terrain
Avec l’air entêté
Qui fait le sang versé
Ils ont frappé si fort
Que Tremblay en tremble encor’…
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Y’en a pas un sur cent et pourtant ils existent
Et si on parle « se bouger le c… »
Faudrait pas oublier qu’ça embrase « Guy Drut »
Les handballistes… 
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Ils ont un maillot noir 
En signe d’espoir
Et ce grain de folie
Pour croire en la vie
Des « roucoulettes » pour sceller
La victoire de l’amitié
Et des « chab’ »
Pour  continuer à espérer…
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Qu’y en a pas un sur cent et qu’pourtant ils existent
Et qu’ils se tiennent bien bras dessus bras dessous
Joyeux et c’est pour cela qu’ils sont toujours debout
Les handballistes…