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Les ailes coupées du Fénix

LMSL

mardi 11 septembre 2012 - © Yves Michel

 1 min 57 de lecture

Le Fenix de Toulouse peut poursuivre en Championnat de France de D1 masculine, en réduisant sa masse salariale qui devra se passer des trois nouvelles recrues dont l'homologation des contrats professionnels a été refusée.


Toulouse peut continuer son équipée parmi l’élite du handball hexagonal mais avec quasiment son effectif de la saison passée. Le Fénix est interdit de recrutement par la CNACG qui n’a pas homologué les trois nouveaux contrats qui étaient annoncés. Ce qui est bien terrible dans l’histoire, c’est que ces joueurs déjà engagés ont effectué les stages et les matches de préparation et qu’au moins pour deux d’entre eux, Rock Feliho et le pivot slovène Miha Zvizej (notre photo), l’installation aux abords de la ville rose était consommée (avec déménagement et acclimatation dans un environnement plutôt sympathique). En l’état et si aucun autre club ne se manifeste, ces deux éléments de qualité seront considérés comme... chômeurs. Trouver un contrat intéressant et repartir de plus belle, à quelques jours de l’entame du championnat de D.1, ne va pas être évident. Pour Xavier Moreau, l’affaire est plus cornélienne. Le jeune du centre de formation venait de passer professionnel.  Il se retrouve lui aussi sur le carreau.
 
Alors que l’ancien président est toujours porté disparu, du moins parti sans laisser d’adresse et surtout sans provisionner les sommes qu’il s’était promis de verser (voir l’article correspondant), le club où évoluent les deux internationaux champions du Monde, olympiques et d’Europe Jérôme Fernandez et Daouda Karaboué reste dans une situation inquiétante. En sursis. Est-ce que cela se serait mieux passé si Patrick Salles, le si inélégant président sortant avait eu la délicatesse de reconnaître bien plus tôt dans la saison que sa mission devait s’arrêter là, faute de temps, d’envie et très certainement d’argent ? Terminés les vœux pieux de course aux places d’honneur, finis les rêves de qualification à une coupe d’Europe. Le Fénix s’est brulé les ailes avant même de se rapprocher du soleil. 

C’est dans ce contexte morose que vendredi, les Toulousains recevront Aix en Provence. 

Les ailes coupées du Fénix 

LMSL

mardi 11 septembre 2012 - © Yves Michel

 1 min 57 de lecture

Le Fenix de Toulouse peut poursuivre en Championnat de France de D1 masculine, en réduisant sa masse salariale qui devra se passer des trois nouvelles recrues dont l'homologation des contrats professionnels a été refusée.


Toulouse peut continuer son équipée parmi l’élite du handball hexagonal mais avec quasiment son effectif de la saison passée. Le Fénix est interdit de recrutement par la CNACG qui n’a pas homologué les trois nouveaux contrats qui étaient annoncés. Ce qui est bien terrible dans l’histoire, c’est que ces joueurs déjà engagés ont effectué les stages et les matches de préparation et qu’au moins pour deux d’entre eux, Rock Feliho et le pivot slovène Miha Zvizej (notre photo), l’installation aux abords de la ville rose était consommée (avec déménagement et acclimatation dans un environnement plutôt sympathique). En l’état et si aucun autre club ne se manifeste, ces deux éléments de qualité seront considérés comme... chômeurs. Trouver un contrat intéressant et repartir de plus belle, à quelques jours de l’entame du championnat de D.1, ne va pas être évident. Pour Xavier Moreau, l’affaire est plus cornélienne. Le jeune du centre de formation venait de passer professionnel.  Il se retrouve lui aussi sur le carreau.
 
Alors que l’ancien président est toujours porté disparu, du moins parti sans laisser d’adresse et surtout sans provisionner les sommes qu’il s’était promis de verser (voir l’article correspondant), le club où évoluent les deux internationaux champions du Monde, olympiques et d’Europe Jérôme Fernandez et Daouda Karaboué reste dans une situation inquiétante. En sursis. Est-ce que cela se serait mieux passé si Patrick Salles, le si inélégant président sortant avait eu la délicatesse de reconnaître bien plus tôt dans la saison que sa mission devait s’arrêter là, faute de temps, d’envie et très certainement d’argent ? Terminés les vœux pieux de course aux places d’honneur, finis les rêves de qualification à une coupe d’Europe. Le Fénix s’est brulé les ailes avant même de se rapprocher du soleil. 

C’est dans ce contexte morose que vendredi, les Toulousains recevront Aix en Provence. 

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