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D1M: Luc Abalo retrouve Ivry

LMSL

jeudi 22 novembre 2012 - © Yves Michel

 10 min 3 de lecture

Suite et fin de la 10ème journée en D1 masculine, Montpellier retrouve le podium après son succès à Nantes. Chambéry s'est incliné à St Raphaël, ce qui permet au Paris St Germain handball d'attendre Ivry, son prochain adversaire, sereinement. L'occasion aussi pour Luc Abalo de renouer avec le club de ses débuts.

Cela faisait quatre ans que Luc Abalo avait quitté Ivry pour l’Espagne. Quatre années pendant lesquelles il a tout gagné. Mais Ivry est toujours resté dans son cœur. Cet été, l'ailier international a même failli revenir dans son club formateur. C’est finalement le PSG qui a emporté la mise. Ce samedi, "Lucio" retrouvera avec plaisir ses anciens coéquipiers parmi lesquels Chapon, Bataille, Gervelas, Smajilagic, les rescapés de la saison 2007-2008, la dernière qu’il ait vécue sous le maillot rouge et noir.
   
C’est donc à Ivry que tout a commencé...
J’ai été aligné en fin de saison 2000 à Montpellier, sur un match… Je suis encore en sports-études et l’année d’après, j’intègre l’équipe et je joue beaucoup. Tout s’est passé très vite pour moi et je pense aussi que c’est parce que je suis gaucher. J’ai rapidement progressé et je me suis retrouvé au-dessus des jeunes de mon âge. 

De 2003 à 2008, Ivry fait partie des grands de la D1 avec le titre en 2007…
C’est vrai que j’ai été habitué à ces places d’honneur et avec l’arrivée de Stéphane Imbratta en 2006, on a réussi à gagner le titre. Cet entraîneur a apporté beaucoup de changements, beaucoup de fraîcheur, beaucoup de rigueur à cette équipe. Il a modifié la façon de jouer et on s’est rapidement adapté. Décrocher ce titre, c’est un moment exceptionnel car avec un petit budget, on a concurrencé la grosse équipe de Montpellier. Le but était de ne pas perdre de matches à la maison (Ivry fera un sans-faute excepté un nul face à Créteil) et à l’extérieur, tout faire pour battre les gros. 

C’est cette année-là qu’apparait la notion de potes…
C’est vrai qu’il y avait beaucoup de jeunes (Crépain, Guillard, Tuzolana,…) et c’était différent. En gros, on avançait sans se poser de questions. Quand règne une super ambiance, ça aide à la performance. Le groupe s’entendait parfaitement et il y avait aussi beaucoup de complicité avec le coach.


En 2008, tu quittes Ivry. 
Dans cette histoire, je suis le premier à avoir voulu m'en aller. Le coach partait, l’équipe n’avait pas l’intention de changer et moi je voulais connaître autre chose que le championnat français. J’avais même été contacté par Montpellier mais mon rêve, c’était d’aller jouer en Espagne et comme Ciudad Real s’était montré insistant, je suis parti là-bas. 

Tu es parti fâché d’Ivry ? 
Le club avait du mal à garder ses joueurs. Notamment les joueurs issus de la formation. A l’époque, on n’était pas considéré à notre juste valeur. On est pris comme le petit jeune à qui on ne propose pas des super contrats. J’étais conscient de mon niveau de jeu, j’avais pris de l’importance et le salaire ne suivait pas. En équipe de France, je côtoyais des joueurs comme Nikola Karabatic ou Michaël Guigou et quand je comparais leur contrat avec le mien, il y avait une sacrée différence. On vit de notre sport et il fallait que je trouve des conditions plus intéressantes. 

Tu gagnes tout avec Ciudad et l’été dernier, tu veux revenir en France…
Et Ivry est le 1er club à m’avoir approché. J’ai pris le temps de réfléchir mais ce qui m’a aussi contrarié c’est que au sein du club, il y avait des petites choses à régler au niveau de la direction donc je ne les sentais pas encore prêts à m’accueillir. En plus, je sais que financièrement, ils auraient eu du mal à s’aligner sur la clause à verser à Ciudad en cas de départ anticipé. 
 
Tu attendras d’être très vieux pour revenir à Ivry ? 
Peut-être mais le but c’est de rester au sommet, actuellement, tout se passe bien au PSG, je vis sur la durée, il faut que je continue et on verra ce que ça donne (Luc a signé 4 ans en faveur de Paris). Ici, il y a de grosses ambitions, plus grandes que celles des autres clubs franciliens.


Le PSG est au rendez-vous malgré un accroc en coupe de la Ligue ? 
C’est un match qu’on n’a pas su gérer et que sans doute on n’a pas assez bien préparé mais d’un autre côté, il nous arrive tant de nouvelles choses cette année, autant sur le plan individuel que collectif, qu’on n’arrive pas à tout contrôler. Même si on fait partie de la meilleure équipe du monde, ce qu’on n’est pas aujourd’hui car il y a encore beaucoup de travail, la défaite est possible. Ça nous remet aussi la tête sur les épaules parce qu’on sait maintenant ce qu’il faut corriger. 

Il y a eu une petite alerte vendredi contre Créteil ? 
Oui, c’est clair mais il ne faut pas que cela nous arrive trop souvent. Mais tous les adversaires sont capables de nous poser des problèmes, on n’a jamais dit que cette saison serait très facile. On sait que l’équipe d’Ivry est encore plus dangereuse que Créteil. Ça va être intéressant de voir comment on répond. Créteil avait plus de fougue que nous, on a mal joué et sur la fin de match, ils ont perdu des ballons et on a pu revenir. C’est aussi une question d’expérience. 

Donc méfiance extrême face à Ivry ? 
Notre but est de réaliser un meilleur match que face à Créteil. Il faut que physiquement et tactiquement, on soit au point. Il ne faut pas arriver dans les dernières minutes du match avec un écart étriqué. Il faut se faciliter la tâche. 

Trois points à la trêve, ça serait bien pour passer l’hiver au chaud ? 
Ça serait parfait pour la confiance. Il faut qu’on finisse 1er à la trêve comme ça, on partira sereins pour le Mondial avec nos sélections. Après il ne faut pas non plus s’enflammer, être leader à la trêve ne signifie pas que le titre est dans la poche. Le but c’est une place en Ligue des champions et maintenant qu’on sait qu’on peut gagner le championnat et qu’on a l’équipe pour le faire, on ne s’en privera pas. 


Les autres rendez-vous de la 10ème journée: Montpellier naturellement !


Porté par Nikola Karabatic (7/10) et Michaël Guigou (7/7), Montpellier va mieux et cela fait finalement du bien de voir les Héraultais revenir aux affaires. Leur succès face à Nantes (29-33) est amplement mérité (voir le résumé) et surtout les propulse aux avant-postes, à la 3ème place à seulement un point derrière Chambéry fragilisé par une défaite mercredi à Saint Raphaël. A ce rythme, les hommes de Patrice Canayer peuvent attendre avec délectation, le Montpellier-Chambéry du 20 décembre prochain. Et si d’ici là, le PSG handball trébuche quelque part, cela promet une 2ème partie de championnat des plus palpitantes avec le mano a mano annoncé en début de saison.

A l’image de Montpellier, Dunkerque peut également flairer le bon coup. En championnat, les Nordistes n’ont plus gagné depuis un mois. En trois matches (un nul et deux défaites face aux 3 équipes du podium actuel), ils ont élimé leur habit de lumière du début de saison. Là, ils accueillent une équipe de Toulouse qui de son côté, a tendance à laisser passer la caravane sans réagir. A l’issue du match contre Nantes, Joël Da Silva évoquait la peur de gagner pour expliquer les carences de son équipe dans le money-time. Le commentaire de l'entraîneur toulousain sonne presque comme un aveu d'impuissance. Quoi qu’il en soit, les Hauts Garonnais privés de timonier sont toujours à la recherche de leur 1er succès à l’extérieur. 


Cesson et Yann Genty (notre photo - actuel meilleur gardien de LNH) peuvent aussi réaliser l’excellente opération de cette 10ème journée en gagnant une ou deux places au classement et se retrouver dans le Top 5 voire le Top 4 de la D.1. Pour cela, il faudra écarter Aix en Provence qui présentera en Bretagne Luka Karabatic, son cadeau de Noël. Les Provençaux qui manquaient de puissance en défense et dans l’axe, comptent sur l’arrivée du pivot pour remettre l’équipe sur de bons rails. 

Samedi dernier, Sélestat est reparti d’Ivry convaincu d’être passé à côté de l’exploit et malgré la défaite, Jean Luc Le Gall avait trouvé sur le plan mental, des motifs de satisfaction. L’entraîneur alsacien aura eu une semaine pour recadrer ses joueurs car dans sa tête avant de se déplacer mercredi à Chambéry, il est hors de question de laisser des points face à Billère la lanterne rouge. Les Béarnais restent sur neuf défaites consécutives. La dernière à domicile face à Cesson peut paraître injuste, il aurait fallu deux minutes supplémentaires pour inverser la tendance. 

La 10ème journée prendra fin dimanche avec le 2ème derby francilien entre Créteil et Tremblay. Les Cristoliens restent à portée de fusil de la zone relégable mais récupèrent Fabrice Guilbert. Le club a fait appel de la décision de la commission de discipline qui le privait de son meneur de jeu durant trois matches. Il n’était pas là face à Paris, il pourra jouer contre Tremblay.

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DUNKERQUE HANDBALL GRAND LITTORAL - FENIX TOULOUSE HANDBALL

Pronostic : Dunkerque

Lieu :
DEWERT (Stade de Flandres)
Salle Dewert Avenue de Rosendael 59140 DUNKERQUE 
Date :
Le 23/11/2012 20h00
Arbitres :
CLAPSON SIEGFRIED
FIESCHI XAVIER

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Cesson Rennes Métropole HB - PAYS AIX UNIVERSITE CLUB HANDBALL

Pronostic : Cesson 

Lieu :
PALAIS DES SPORTS
Allée de Champagne 35510 CESSON SEVIGNE 
Date :
Le 23/11/2012 20h45
Arbitres :
BADER CLÉMENT
WEBER LOIC

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PARIS SAINT GERMAIN HANDBALL - UNION SPORTIVE IVRY HANDBALL

Pronostic : Paris

Lieu :
Pierre de Coubertin
82, avenue Georges Lafont 75016 PARIS 
Date :
Le 24/11/2012 15h00
Arbitres :
BOURGEOIS JEAN-FRANÇOIS
DENIS PATRICK

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SELESTAT ALSACE HANDBALL - BILLERE HANDBALL

Pronostic : Sélestat

Lieu :
Centre Sportif Intercommunal "Eugène Griesmar"
Quai Albrecht 67600 SELESTAT 
Date :
Le 24/11/2012 20h30
Arbitres :
DENTZ THIERRY
REIBEL DENIS

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US CRETEIL HANDBALL - TREMBLAY EN FRANCE HANDBALL

Pronostic : Créteil

Lieu :
ROBERT OUBRON
RUE PASTEUR VALERY RADOT 94000 CRETEIL 
Date :
Le 25/11/2012 16h15
Arbitres :
PICHON STEVANN
REVERET LAURENT

D1M: Luc Abalo retrouve Ivry 

LMSL

jeudi 22 novembre 2012 - © Yves Michel

 10 min 3 de lecture

Suite et fin de la 10ème journée en D1 masculine, Montpellier retrouve le podium après son succès à Nantes. Chambéry s'est incliné à St Raphaël, ce qui permet au Paris St Germain handball d'attendre Ivry, son prochain adversaire, sereinement. L'occasion aussi pour Luc Abalo de renouer avec le club de ses débuts.

Cela faisait quatre ans que Luc Abalo avait quitté Ivry pour l’Espagne. Quatre années pendant lesquelles il a tout gagné. Mais Ivry est toujours resté dans son cœur. Cet été, l'ailier international a même failli revenir dans son club formateur. C’est finalement le PSG qui a emporté la mise. Ce samedi, "Lucio" retrouvera avec plaisir ses anciens coéquipiers parmi lesquels Chapon, Bataille, Gervelas, Smajilagic, les rescapés de la saison 2007-2008, la dernière qu’il ait vécue sous le maillot rouge et noir.
   
C’est donc à Ivry que tout a commencé...
J’ai été aligné en fin de saison 2000 à Montpellier, sur un match… Je suis encore en sports-études et l’année d’après, j’intègre l’équipe et je joue beaucoup. Tout s’est passé très vite pour moi et je pense aussi que c’est parce que je suis gaucher. J’ai rapidement progressé et je me suis retrouvé au-dessus des jeunes de mon âge. 

De 2003 à 2008, Ivry fait partie des grands de la D1 avec le titre en 2007…
C’est vrai que j’ai été habitué à ces places d’honneur et avec l’arrivée de Stéphane Imbratta en 2006, on a réussi à gagner le titre. Cet entraîneur a apporté beaucoup de changements, beaucoup de fraîcheur, beaucoup de rigueur à cette équipe. Il a modifié la façon de jouer et on s’est rapidement adapté. Décrocher ce titre, c’est un moment exceptionnel car avec un petit budget, on a concurrencé la grosse équipe de Montpellier. Le but était de ne pas perdre de matches à la maison (Ivry fera un sans-faute excepté un nul face à Créteil) et à l’extérieur, tout faire pour battre les gros. 

C’est cette année-là qu’apparait la notion de potes…
C’est vrai qu’il y avait beaucoup de jeunes (Crépain, Guillard, Tuzolana,…) et c’était différent. En gros, on avançait sans se poser de questions. Quand règne une super ambiance, ça aide à la performance. Le groupe s’entendait parfaitement et il y avait aussi beaucoup de complicité avec le coach.


En 2008, tu quittes Ivry. 
Dans cette histoire, je suis le premier à avoir voulu m'en aller. Le coach partait, l’équipe n’avait pas l’intention de changer et moi je voulais connaître autre chose que le championnat français. J’avais même été contacté par Montpellier mais mon rêve, c’était d’aller jouer en Espagne et comme Ciudad Real s’était montré insistant, je suis parti là-bas. 

Tu es parti fâché d’Ivry ? 
Le club avait du mal à garder ses joueurs. Notamment les joueurs issus de la formation. A l’époque, on n’était pas considéré à notre juste valeur. On est pris comme le petit jeune à qui on ne propose pas des super contrats. J’étais conscient de mon niveau de jeu, j’avais pris de l’importance et le salaire ne suivait pas. En équipe de France, je côtoyais des joueurs comme Nikola Karabatic ou Michaël Guigou et quand je comparais leur contrat avec le mien, il y avait une sacrée différence. On vit de notre sport et il fallait que je trouve des conditions plus intéressantes. 

Tu gagnes tout avec Ciudad et l’été dernier, tu veux revenir en France…
Et Ivry est le 1er club à m’avoir approché. J’ai pris le temps de réfléchir mais ce qui m’a aussi contrarié c’est que au sein du club, il y avait des petites choses à régler au niveau de la direction donc je ne les sentais pas encore prêts à m’accueillir. En plus, je sais que financièrement, ils auraient eu du mal à s’aligner sur la clause à verser à Ciudad en cas de départ anticipé. 
 
Tu attendras d’être très vieux pour revenir à Ivry ? 
Peut-être mais le but c’est de rester au sommet, actuellement, tout se passe bien au PSG, je vis sur la durée, il faut que je continue et on verra ce que ça donne (Luc a signé 4 ans en faveur de Paris). Ici, il y a de grosses ambitions, plus grandes que celles des autres clubs franciliens.


Le PSG est au rendez-vous malgré un accroc en coupe de la Ligue ? 
C’est un match qu’on n’a pas su gérer et que sans doute on n’a pas assez bien préparé mais d’un autre côté, il nous arrive tant de nouvelles choses cette année, autant sur le plan individuel que collectif, qu’on n’arrive pas à tout contrôler. Même si on fait partie de la meilleure équipe du monde, ce qu’on n’est pas aujourd’hui car il y a encore beaucoup de travail, la défaite est possible. Ça nous remet aussi la tête sur les épaules parce qu’on sait maintenant ce qu’il faut corriger. 

Il y a eu une petite alerte vendredi contre Créteil ? 
Oui, c’est clair mais il ne faut pas que cela nous arrive trop souvent. Mais tous les adversaires sont capables de nous poser des problèmes, on n’a jamais dit que cette saison serait très facile. On sait que l’équipe d’Ivry est encore plus dangereuse que Créteil. Ça va être intéressant de voir comment on répond. Créteil avait plus de fougue que nous, on a mal joué et sur la fin de match, ils ont perdu des ballons et on a pu revenir. C’est aussi une question d’expérience. 

Donc méfiance extrême face à Ivry ? 
Notre but est de réaliser un meilleur match que face à Créteil. Il faut que physiquement et tactiquement, on soit au point. Il ne faut pas arriver dans les dernières minutes du match avec un écart étriqué. Il faut se faciliter la tâche. 

Trois points à la trêve, ça serait bien pour passer l’hiver au chaud ? 
Ça serait parfait pour la confiance. Il faut qu’on finisse 1er à la trêve comme ça, on partira sereins pour le Mondial avec nos sélections. Après il ne faut pas non plus s’enflammer, être leader à la trêve ne signifie pas que le titre est dans la poche. Le but c’est une place en Ligue des champions et maintenant qu’on sait qu’on peut gagner le championnat et qu’on a l’équipe pour le faire, on ne s’en privera pas. 


Les autres rendez-vous de la 10ème journée: Montpellier naturellement !


Porté par Nikola Karabatic (7/10) et Michaël Guigou (7/7), Montpellier va mieux et cela fait finalement du bien de voir les Héraultais revenir aux affaires. Leur succès face à Nantes (29-33) est amplement mérité (voir le résumé) et surtout les propulse aux avant-postes, à la 3ème place à seulement un point derrière Chambéry fragilisé par une défaite mercredi à Saint Raphaël. A ce rythme, les hommes de Patrice Canayer peuvent attendre avec délectation, le Montpellier-Chambéry du 20 décembre prochain. Et si d’ici là, le PSG handball trébuche quelque part, cela promet une 2ème partie de championnat des plus palpitantes avec le mano a mano annoncé en début de saison.

A l’image de Montpellier, Dunkerque peut également flairer le bon coup. En championnat, les Nordistes n’ont plus gagné depuis un mois. En trois matches (un nul et deux défaites face aux 3 équipes du podium actuel), ils ont élimé leur habit de lumière du début de saison. Là, ils accueillent une équipe de Toulouse qui de son côté, a tendance à laisser passer la caravane sans réagir. A l’issue du match contre Nantes, Joël Da Silva évoquait la peur de gagner pour expliquer les carences de son équipe dans le money-time. Le commentaire de l'entraîneur toulousain sonne presque comme un aveu d'impuissance. Quoi qu’il en soit, les Hauts Garonnais privés de timonier sont toujours à la recherche de leur 1er succès à l’extérieur. 


Cesson et Yann Genty (notre photo - actuel meilleur gardien de LNH) peuvent aussi réaliser l’excellente opération de cette 10ème journée en gagnant une ou deux places au classement et se retrouver dans le Top 5 voire le Top 4 de la D.1. Pour cela, il faudra écarter Aix en Provence qui présentera en Bretagne Luka Karabatic, son cadeau de Noël. Les Provençaux qui manquaient de puissance en défense et dans l’axe, comptent sur l’arrivée du pivot pour remettre l’équipe sur de bons rails. 

Samedi dernier, Sélestat est reparti d’Ivry convaincu d’être passé à côté de l’exploit et malgré la défaite, Jean Luc Le Gall avait trouvé sur le plan mental, des motifs de satisfaction. L’entraîneur alsacien aura eu une semaine pour recadrer ses joueurs car dans sa tête avant de se déplacer mercredi à Chambéry, il est hors de question de laisser des points face à Billère la lanterne rouge. Les Béarnais restent sur neuf défaites consécutives. La dernière à domicile face à Cesson peut paraître injuste, il aurait fallu deux minutes supplémentaires pour inverser la tendance. 

La 10ème journée prendra fin dimanche avec le 2ème derby francilien entre Créteil et Tremblay. Les Cristoliens restent à portée de fusil de la zone relégable mais récupèrent Fabrice Guilbert. Le club a fait appel de la décision de la commission de discipline qui le privait de son meneur de jeu durant trois matches. Il n’était pas là face à Paris, il pourra jouer contre Tremblay.

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DUNKERQUE HANDBALL GRAND LITTORAL - FENIX TOULOUSE HANDBALL

Pronostic : Dunkerque

Lieu :
DEWERT (Stade de Flandres)
Salle Dewert Avenue de Rosendael 59140 DUNKERQUE 
Date :
Le 23/11/2012 20h00
Arbitres :
CLAPSON SIEGFRIED
FIESCHI XAVIER

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Cesson Rennes Métropole HB - PAYS AIX UNIVERSITE CLUB HANDBALL

Pronostic : Cesson 

Lieu :
PALAIS DES SPORTS
Allée de Champagne 35510 CESSON SEVIGNE 
Date :
Le 23/11/2012 20h45
Arbitres :
BADER CLÉMENT
WEBER LOIC

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PARIS SAINT GERMAIN HANDBALL - UNION SPORTIVE IVRY HANDBALL

Pronostic : Paris

Lieu :
Pierre de Coubertin
82, avenue Georges Lafont 75016 PARIS 
Date :
Le 24/11/2012 15h00
Arbitres :
BOURGEOIS JEAN-FRANÇOIS
DENIS PATRICK

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SELESTAT ALSACE HANDBALL - BILLERE HANDBALL

Pronostic : Sélestat

Lieu :
Centre Sportif Intercommunal "Eugène Griesmar"
Quai Albrecht 67600 SELESTAT 
Date :
Le 24/11/2012 20h30
Arbitres :
DENTZ THIERRY
REIBEL DENIS

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US CRETEIL HANDBALL - TREMBLAY EN FRANCE HANDBALL

Pronostic : Créteil

Lieu :
ROBERT OUBRON
RUE PASTEUR VALERY RADOT 94000 CRETEIL 
Date :
Le 25/11/2012 16h15
Arbitres :
PICHON STEVANN
REVERET LAURENT

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