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Coupe : St-Amand-les-Eaux sera du tour suivant

Coupe de France

lundi 23 décembre 2013 - Handzone

 2 min 19 de lecture

St Amand l’a voulu et St Amand l’a eu : les Hennuyères, en battant Chambray Touraine en seizième de finale de la Coupe de France, ont parfait leur invincibilité dans leur salle. Mais les pensionnaires de D2 n’étaient pas venues en touristes dans la cité des thermes. D’ailleurs Stéphane Pellan, l’entraîneur des Amandinoises, craignait justement le début de rencontre avec un score rapidement défloré par les visiteuses rejointes dans la foulée grâce à une égalisation d’Abiba Fofana qui en fit de même deux minutes plus tard (2-2). Jusqu’à la vingtième minute de jeu, les buts s’équilibraient (11-11 ; 20e) avant que Chambray ne fasse l’écart qui allait jusqu’à trois longueurs à la pause malgré un sursaut d’Aurore Sanz et d’Eszter Hodosi à deux reprises : 15-18.

Dès la reprise, les Amandinoises semblaient se suffire de l’écart (25-29 ; 47e) mais c’était sans compter sur Marion Malina et sur Abiba Fofana sous l’impulsion desquelles Saint-Amand-les-Eaux reprenait de la vigueur et revenait à la hauteur de Chambray (30-30 ; 52e) tandis qu’Alisson Davigny, rentrée en cours de partie, multipliait les arrêts dans les cages hennuyères. Dans le money-time, la tension était extrême jusqu’à la libération par les arbitres. Finalement, St Amand battait Chambray  34 à 33 et se qualifiait pour les huitièmes de finale face à Mios, une équipe de LNF.

La déception était visible sur le visage de Guillaume Marques à l’issue de la rencontre : « Elles n’ont pas vraiment proposé quelque chose, en face. C’est donc nous qui avons baissé dans le rythme et peut-être que notre rotation a été moins efficace. Elles ont dû avoir plus d’envie que nous. Plus de détermination. C’est dommage car on avait tout fait pour avoir cette LNH qu’on n’aura pas. Il faut maintenant retrouver toute notre concentration pour la reprise du championnat. »

Du côté amandinois, Stéphane Pellan était content de ce cadeau de fin d’année mais aussi d’anniversaire : « J’ai dit qu’on allait jouer ce match comme un match de championnat avec l’énergie qui nous resterait. Comme quoi ça se joue à pas grand-chose un match de handball. On n’a pas d’arrêts de gardienne pendant quarante-cinq minutes et il suffit de deux ou trois arrêts d’Alisson pour que la machine se relance avec aussi quelques erreurs en face au mauvais moment. Les filles en avaient envie. Elles ont montré beaucoup d’abnégation à la fin. Beaucoup de solidarité. Elles n’ont pas craqué, avec un public formidable. »

Jean-Pierre MALEWICZ pour

Coupe : St-Amand-les-Eaux sera du tour suivant 

Coupe de France

lundi 23 décembre 2013 - Handzone

 2 min 19 de lecture

St Amand l’a voulu et St Amand l’a eu : les Hennuyères, en battant Chambray Touraine en seizième de finale de la Coupe de France, ont parfait leur invincibilité dans leur salle. Mais les pensionnaires de D2 n’étaient pas venues en touristes dans la cité des thermes. D’ailleurs Stéphane Pellan, l’entraîneur des Amandinoises, craignait justement le début de rencontre avec un score rapidement défloré par les visiteuses rejointes dans la foulée grâce à une égalisation d’Abiba Fofana qui en fit de même deux minutes plus tard (2-2). Jusqu’à la vingtième minute de jeu, les buts s’équilibraient (11-11 ; 20e) avant que Chambray ne fasse l’écart qui allait jusqu’à trois longueurs à la pause malgré un sursaut d’Aurore Sanz et d’Eszter Hodosi à deux reprises : 15-18.

Dès la reprise, les Amandinoises semblaient se suffire de l’écart (25-29 ; 47e) mais c’était sans compter sur Marion Malina et sur Abiba Fofana sous l’impulsion desquelles Saint-Amand-les-Eaux reprenait de la vigueur et revenait à la hauteur de Chambray (30-30 ; 52e) tandis qu’Alisson Davigny, rentrée en cours de partie, multipliait les arrêts dans les cages hennuyères. Dans le money-time, la tension était extrême jusqu’à la libération par les arbitres. Finalement, St Amand battait Chambray  34 à 33 et se qualifiait pour les huitièmes de finale face à Mios, une équipe de LNF.

La déception était visible sur le visage de Guillaume Marques à l’issue de la rencontre : « Elles n’ont pas vraiment proposé quelque chose, en face. C’est donc nous qui avons baissé dans le rythme et peut-être que notre rotation a été moins efficace. Elles ont dû avoir plus d’envie que nous. Plus de détermination. C’est dommage car on avait tout fait pour avoir cette LNH qu’on n’aura pas. Il faut maintenant retrouver toute notre concentration pour la reprise du championnat. »

Du côté amandinois, Stéphane Pellan était content de ce cadeau de fin d’année mais aussi d’anniversaire : « J’ai dit qu’on allait jouer ce match comme un match de championnat avec l’énergie qui nous resterait. Comme quoi ça se joue à pas grand-chose un match de handball. On n’a pas d’arrêts de gardienne pendant quarante-cinq minutes et il suffit de deux ou trois arrêts d’Alisson pour que la machine se relance avec aussi quelques erreurs en face au mauvais moment. Les filles en avaient envie. Elles ont montré beaucoup d’abnégation à la fin. Beaucoup de solidarité. Elles n’ont pas craqué, avec un public formidable. »

Jean-Pierre MALEWICZ pour

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