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Issy-Paris sans complexes à St Amand-les-Eaux

Nationale 1F

lundi 19 janvier 2015 - Handzone

 2 min 38 de lecture

Même si le leader l’a finalement remporté de deux buts (27-25), Saint-Amand-les-Eaux a senti passer le vent du boulet face à des Parisiennes accrocheuses de bout en bout. Stéphane Pellan le prévoyait d’ailleurs avant le match en constatant que, pour une fois, Clément Petit avait réussi à aligner un effectif complet ce qui n’avait pas été souvent le cas lors de la première phase du championnat.

Issy-Paris démarre le match pied au plancher et mène à la marque avec même trois buts d’avance (3-6, 6e). Quand Marion Malina remet les pendules à l’heure (6-6, 10e), chacun pense que la récréation est terminée mais reste sur sa faim. En effet, chaque but amandinois trouve son écho chez les Parisiennes jusqu’à ce que Surmely conforte (13-10, 22e) l’avance signée par Malina et Kuridza. Si les Hennuyères réussissent à atteindre quatre buts de bonus (15-11, 25e), Lucile Amate réduit l’écart (15-12, 27e) avant la pause.

À la reprise, Caroline Gantois et Abiba Fofana enfoncent le clou amandinois mais Issy-Paris ne baisse pas la tête à l’image de Deborah Lassource (17-14, 32e) et d’Océane Sercien (17-15, 34e). Quand Mabana-ma Fofana égalise (19-19, 37e), Issy-Paris rêve à l’exploit d’autant que les exclusions temporaires se ramassent à la pelle côté amandinois en touchant particulièrement deux éléments de pointe du groupe : Abiba Fofana et Sandra Kuridza. Qu’à cela ne tienne, les Jaune et Bleu augmentent le rythme pour ne pas décrocher mais les Parisiennes ne se laissent pas faire à l’image de Charlotte Malaure (24-24, 50e) et d’Océane Sercien (25-25, 52e). Clara Morais et Abiba Fofana parviennent finalement à faire respecter une hiérarchie longtemps mise en ballotage, en remportant ce match avec deux buts d’avance : 27-25.

À l’issue de la rencontre, Clément Petit (Issy-Paris) tirait une leçon positive du rendement de ses troupes : « Pour nous, c’est toujours difficile de gérer des matches qui se jouent mano a mano car on n’a pas eu vraiment l’opportunité de nous exercer sur ce type de confrontations. Avec des jeunes, c’est encore plus compliqué mais c’est en jouant des matches comme ça qu’on va apprendre. J’espère qu’on pourra capitaliser positivement cette expérience sur d’autres matches. »

Quant à Stéphane Pellan, il s’étonnait de la performance de ces adversaires d’un soir : « Je ne m’attendais pas forcément à autant de qualité de la part d’Issy-les-Moulineaux. Si cette équipe arrive à avoir cet effectif-là et cette qualité de jeu, il faudrait bien qu’ils emmerdent tout le monde aussi, quoi ! Pas seulement nous. Ben voilà, on a frôlé la correctionnelle. Maintenant, on a trouvé les ingrédients pour rester devant au score. Ce qui n’était pas évident avec cet arbitrage particulier… On est quand même passé au ras des pâquerettes. Maintenant, on a quinze jours pour retrouver l’exclusivité de la vitesse. »

Jean-Pierre MALEWICZ pour

Issy-Paris sans complexes à St Amand-les-Eaux 

Nationale 1F

lundi 19 janvier 2015 - Handzone

 2 min 38 de lecture

Même si le leader l’a finalement remporté de deux buts (27-25), Saint-Amand-les-Eaux a senti passer le vent du boulet face à des Parisiennes accrocheuses de bout en bout. Stéphane Pellan le prévoyait d’ailleurs avant le match en constatant que, pour une fois, Clément Petit avait réussi à aligner un effectif complet ce qui n’avait pas été souvent le cas lors de la première phase du championnat.

Issy-Paris démarre le match pied au plancher et mène à la marque avec même trois buts d’avance (3-6, 6e). Quand Marion Malina remet les pendules à l’heure (6-6, 10e), chacun pense que la récréation est terminée mais reste sur sa faim. En effet, chaque but amandinois trouve son écho chez les Parisiennes jusqu’à ce que Surmely conforte (13-10, 22e) l’avance signée par Malina et Kuridza. Si les Hennuyères réussissent à atteindre quatre buts de bonus (15-11, 25e), Lucile Amate réduit l’écart (15-12, 27e) avant la pause.

À la reprise, Caroline Gantois et Abiba Fofana enfoncent le clou amandinois mais Issy-Paris ne baisse pas la tête à l’image de Deborah Lassource (17-14, 32e) et d’Océane Sercien (17-15, 34e). Quand Mabana-ma Fofana égalise (19-19, 37e), Issy-Paris rêve à l’exploit d’autant que les exclusions temporaires se ramassent à la pelle côté amandinois en touchant particulièrement deux éléments de pointe du groupe : Abiba Fofana et Sandra Kuridza. Qu’à cela ne tienne, les Jaune et Bleu augmentent le rythme pour ne pas décrocher mais les Parisiennes ne se laissent pas faire à l’image de Charlotte Malaure (24-24, 50e) et d’Océane Sercien (25-25, 52e). Clara Morais et Abiba Fofana parviennent finalement à faire respecter une hiérarchie longtemps mise en ballotage, en remportant ce match avec deux buts d’avance : 27-25.

À l’issue de la rencontre, Clément Petit (Issy-Paris) tirait une leçon positive du rendement de ses troupes : « Pour nous, c’est toujours difficile de gérer des matches qui se jouent mano a mano car on n’a pas eu vraiment l’opportunité de nous exercer sur ce type de confrontations. Avec des jeunes, c’est encore plus compliqué mais c’est en jouant des matches comme ça qu’on va apprendre. J’espère qu’on pourra capitaliser positivement cette expérience sur d’autres matches. »

Quant à Stéphane Pellan, il s’étonnait de la performance de ces adversaires d’un soir : « Je ne m’attendais pas forcément à autant de qualité de la part d’Issy-les-Moulineaux. Si cette équipe arrive à avoir cet effectif-là et cette qualité de jeu, il faudrait bien qu’ils emmerdent tout le monde aussi, quoi ! Pas seulement nous. Ben voilà, on a frôlé la correctionnelle. Maintenant, on a trouvé les ingrédients pour rester devant au score. Ce qui n’était pas évident avec cet arbitrage particulier… On est quand même passé au ras des pâquerettes. Maintenant, on a quinze jours pour retrouver l’exclusivité de la vitesse. »

Jean-Pierre MALEWICZ pour

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