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LDC M : Paris, par la force des choses

Champion's League

dimanche 22 mars 2015 - Handzone

 8 min 47 de lecture

Quelques ballons perdus et tirs ratés empêchent Dunkerque, souvent derrière, de réaliser un très gros coup face au Paris Saint-Germain (23-22). Les Parisiens, sérieux à défaut d’être brillants, ont gagné le droit de disputer un deuxième quart de finale de suite. Mais il faudra faire mieux.

A la Halle Carpentier, Pierre Menjot

Ça tient à quoi, un quart de finale ? « A plein de petits détails », répond Mickaël Grocaut. Dimanche, ces détails, ou plutôt ces ballons, ont pesé lourd dans le bilan de Dunkerque. Une zone de Caussé sur un bon décalage à l’aile droite qui aurait pu mettre les Nordistes en tête (20-20, 49e). Un tir trop lisible de Pejovic à l’arrière droit dans la foulée. Un autre trop facile de Butto sur l’aile gauche devant Omeyer, à qui on ne fait pas le cadeau d’aller au tir dans un angle presque impossible (53e). Et une demi-douzaine de balles perdues, aussi, en seconde période. Trop de fautes ou de maladresses pour battre le Paris Saint-Germain, qui avait revêtu ses habits de Ligue des champions. « Le regret, il est là, souffle Patrick Cazal. On savait nos possibilités de se qualifier infimes, on travaille pendant deux heures pour avoir ces ballons et on n’a pas su les mettre. Ces erreurs, ça fait quatre ans qu’on essaie de les gommer, et voilà… Mes garçons sont déçus, en larmes, et je tiens à les féliciter, une dernière fois. Je suis fier du combat livré. »

Comme à l’aller, la guerre a été intense entre les deux blocs, jusqu’au bout, jusqu’à cette caresse finale entre Mokrani et N’Diaye. Jamais Dunkerque ne s’est échappé, pas le genre de la maison. Et le duo de centraux Gojun-N’Diaye n’est pas en reste pour mettre quelques baffes, plus facilement quand le duel se joue à 2 mètres de hauteur qu’au ras du sol où les petits gabarits dunkerquois ont parfois réussi à les emmener. Ce sont les deux gaillards qui ont d’abord pris le dessus et Paris a pu développer son jeu de montée de balle pour mener (5-3, 7e). Puis Daniel Narcisse est sorti, Mikkel Hansen a été mieux maîtrisé et les champions de France ont recollé (10-10, 19e) puis sont passés en tête (13-15, 28e) quand les artilleurs locaux sont sortis de leurs schémas offensifs.

Heureusement, un Honrubia efficace sur son aile gauche (4/4) et un Kopljar parfait au relais de Barachet, blessé au bas du dos, maintenaient le danger dans la défense dunkerquoise. Et à la faveur d’un 5-0 à cheval sur les deux périodes, le PSG creusait un premier vrai écart (18-15, 34e). « Sans s’affoler, souligne Zacharia N’Diaye. On a continué à jouer posé, à défendre dur, à faire le job quoi. » Dans une seconde période bien moins offensive (8-7 dans les trente dernières minutes…), seuls les poignets de Hansen et Butto, sur la ligne de 7 mètres, ainsi que le bras de Nagy, parvenaient vraiment à s’exprimer. Naviguant à un ou deux buts derrière, Dunkerque faisait pourtant l’effort quand il le fallait. Et Caussé, sur une contre-attaque, glaçait quelque peu l’ambiance en portant les siens à un but d’une prolongation (21-22, 54e). « On a tout donné, on s’est engagé, on a espéré… Et puis on finit encore tout près », souffle le gaucher dont les arabesques rappellent celle de Luc Abalo, de retour sur la feuille de match dimanche mais pas sur le terrain.

Marko Kopljar ne laissait finalement pas l’USDK et sa centaine de supporters espérer longtemps. Son quatrième but remettait les équipes à égalité (22-22, 55e). Puis Omeyer faisait du Omeyer. Discret jusque-là, le meilleur gardien du monde arrêtait un penalty et quelques tirs adverses imparfaits, dus en partie à la fatigue, mais pas seulement. Et le capitaine Narcisse se chargeait de porter l’estocade à un taureau du Nord beau mais pas épargné par son torero. « On ne peut rien se reprocher, balaye Grocaut. Leur profondeur de banc fait la différence : sur les deux matchs, on joue à 8 et eux à 16. »

Oui, Paris avait plus de banc, plus l’habitude de ces moments, plus de talent aussi, peut-être. De réussite, en tout cas, comme ce contre de M’Tima sur Annotel suivi d’un plongeon pour boxer la balle dans le but vide. Mais cela ne suffira sans doute pas pour voyager plus loin alors que se profile un très gros morceau européen (Kielce, Kiel, Barcelone ou Veszprem). Philippe Gardent, lui, préfèrerait les Polonais, « pas sur la valeur mais parce qu’on a déjà rencontré les trois autres ». Zacharia N’Diaye, lui, s’en soucie guère. « Ce sera de toute façon encore plus fort que Dunkerque, prévient le défenseur. Ce sera peut-être moins guerrier mais plus technique, plus tactique, plus puissant. Mais franchement, on a l’équipe pour atteindre le Final 4. » La dernière marche sera, comme l’an dernier, la plus haute. Un véritable révélateur pour ce PSG qui rêve tout bas de finir tout en haut.

Huitième de finale retour de Ligue des champions
A Paris (Halle Carpentier), 3500 spectateurs. Arbitres : MM. Nikolov et Nachevski (MAC).
PARIS SAINT-GERMAIN - DUNKERQUE
23 – 22 (Mi-temps : 15 – 15)

Evolution du score : 3-2 (5e), 6-4 (8e), 6-6 (10e), 9-7 (15e), 10-10 (20e), 12-14 (26e), 15-15 (MT), 18-15 (34e), 19-18 (39e), 20-19 (47e), 21-20 (52e), 23-22 (FT).

PSG.- Gardiens : Omeyer (60 min, 12 arrêts dt 1 pen) et Annonay. Joueurs de champ : Melic (2), Accambray, Vori (1), N’Diaye, Barachet (2), Gojun, Gunnarsson, Abalo, M. Hansen (8 dt 3 pen), Narcisse (1), Honrubia (4), Kopljar (4), M’Tima (1), Bojinovic. Entraîneur : P. Gardent.
Dunkerque.- Gardien : Annotel (60 min, 11 arrêts). Joueurs de champ : Billant, Afgour (1), Lamon, Joumel, K. Nagy (6), Caussé (5), Soudry (1), Emonet, Nieto, Grocaut, Pejovic, Pelayo, Mokrani (1), Butto (8 dt 6 pen). Entraîneur : P. Cazal.



Les phrases clé de la conférence de presse… par Yves Michel

Patrick Cazal (entraîneur de Dunkerque) : « On leur souhaite d’aller le plus loin possible. C’est notre dernier représentant et on doit être tous derrière eux. »

Philippe Gardent (entraîneur du PSG) : « Pour le tirage, j’aimerais que ce soit un peu plus… exotique. On a déjà rencontré Kiel, Barcelone, Veszprem alors, Kielce (tombeur de Montpellier en 8èmes) m’irait très bien.

William Annotel (gardien de Dunkerque
- notre photo - en larmes à la fin du match) : « Tout le monde a fait un match extraordinaire. Aujourd’hui, comme à l’aller. C’est regrettable car on a mal géré quelques ballons qui font qu’on ne se qualifie pas. C’est dur, c’est dur mais on n’a pas le temps de cogiter car il y a la coupe de la Ligue le week end prochain et on a vraiment envie de la gagner. Ce qui est rageant c’est de se dire qu’on échoue à rien, à des petits détails. Mais je suis fier de cette équipe, on doit encore grandir et mieux gérer les fins de match. »

Quatre questions à Xavier Barachet (arrière droit du PSG)

Handicapé par une douleur dans le bas du dos déjà ressentie 24h auparavant lors de l’ultime entraînement et sorti après 12 minutes dans ce 8ème retour de Ligue des Champions, Xavier Barachet a apprécié la prestation de son équipe et surtout la qualification pour le tour suivant. Comme la saison passée, le PSG gagne son billet pour les quarts de finale.

Paris retiendra l’essentiel… la qualification ?
Une fois de plus on a souffert mais dans ce genre de match, c’est fréquent et on savait qu’on ne gagnerait pas de dix buts. Il fallait être sérieux jusqu’au bout et compter que notre effectif pèse sur la fin. Dunkerque cherche souvent les duels et c’est très usant et peut-être que sur les dernières minutes, cela a tourné en notre faveur. Tant mieux pour nous. 

Cela a été très laborieux par moments...
Si on continue comme ça et qu’on va à  Cologne, moi je signe tout de suite. C’est vrai qu’on n’a pas des matches faciles mais on arrive à les gagner. Peut-être que les années précédentes, c’est ce qui nous faisait défaut. On va mettre ça sur le compte de l’expérience. Mais il va falloir travailler encore et encore car le niveau va s’élever.

En 2ème mi-temps, vous accusez le coup. Comment l’expliques-tu ?
J’ai l’impression qu’on tenait ce match mais on a loupé des tirs. "Mikki" a du taper deux fois sur la barre, Daniel pareil, on avait des solutions je pense, mais on ne les a pas mises au fond. Ce n’est pas inquiétant car le jeu y était et les solutions existaient. Il a manqué un poil de concentration sur la finition.

En quart de finale, qui aimerais-tu éviter ?
On va tous les citer (rires), Veszprem, Barcelone, Kiel, même le Vardar…. Je les ai vus jouer chez eux, c’est très problématique. Cela ne sert à rien de cibler une équipe. On sait que dans tous les cas de figure, c’est un gros morceau qui nous attend. Il va falloir montrer que nous sommes aussi une grosse équipe européenne.

Le tirage au sort des quarts aura lieu ce mardi en fin de matinée à Vienne.  



LDC M : Paris, par la force des choses 

Champion's League

dimanche 22 mars 2015 - Handzone

 8 min 47 de lecture

Quelques ballons perdus et tirs ratés empêchent Dunkerque, souvent derrière, de réaliser un très gros coup face au Paris Saint-Germain (23-22). Les Parisiens, sérieux à défaut d’être brillants, ont gagné le droit de disputer un deuxième quart de finale de suite. Mais il faudra faire mieux.

A la Halle Carpentier, Pierre Menjot

Ça tient à quoi, un quart de finale ? « A plein de petits détails », répond Mickaël Grocaut. Dimanche, ces détails, ou plutôt ces ballons, ont pesé lourd dans le bilan de Dunkerque. Une zone de Caussé sur un bon décalage à l’aile droite qui aurait pu mettre les Nordistes en tête (20-20, 49e). Un tir trop lisible de Pejovic à l’arrière droit dans la foulée. Un autre trop facile de Butto sur l’aile gauche devant Omeyer, à qui on ne fait pas le cadeau d’aller au tir dans un angle presque impossible (53e). Et une demi-douzaine de balles perdues, aussi, en seconde période. Trop de fautes ou de maladresses pour battre le Paris Saint-Germain, qui avait revêtu ses habits de Ligue des champions. « Le regret, il est là, souffle Patrick Cazal. On savait nos possibilités de se qualifier infimes, on travaille pendant deux heures pour avoir ces ballons et on n’a pas su les mettre. Ces erreurs, ça fait quatre ans qu’on essaie de les gommer, et voilà… Mes garçons sont déçus, en larmes, et je tiens à les féliciter, une dernière fois. Je suis fier du combat livré. »

Comme à l’aller, la guerre a été intense entre les deux blocs, jusqu’au bout, jusqu’à cette caresse finale entre Mokrani et N’Diaye. Jamais Dunkerque ne s’est échappé, pas le genre de la maison. Et le duo de centraux Gojun-N’Diaye n’est pas en reste pour mettre quelques baffes, plus facilement quand le duel se joue à 2 mètres de hauteur qu’au ras du sol où les petits gabarits dunkerquois ont parfois réussi à les emmener. Ce sont les deux gaillards qui ont d’abord pris le dessus et Paris a pu développer son jeu de montée de balle pour mener (5-3, 7e). Puis Daniel Narcisse est sorti, Mikkel Hansen a été mieux maîtrisé et les champions de France ont recollé (10-10, 19e) puis sont passés en tête (13-15, 28e) quand les artilleurs locaux sont sortis de leurs schémas offensifs.

Heureusement, un Honrubia efficace sur son aile gauche (4/4) et un Kopljar parfait au relais de Barachet, blessé au bas du dos, maintenaient le danger dans la défense dunkerquoise. Et à la faveur d’un 5-0 à cheval sur les deux périodes, le PSG creusait un premier vrai écart (18-15, 34e). « Sans s’affoler, souligne Zacharia N’Diaye. On a continué à jouer posé, à défendre dur, à faire le job quoi. » Dans une seconde période bien moins offensive (8-7 dans les trente dernières minutes…), seuls les poignets de Hansen et Butto, sur la ligne de 7 mètres, ainsi que le bras de Nagy, parvenaient vraiment à s’exprimer. Naviguant à un ou deux buts derrière, Dunkerque faisait pourtant l’effort quand il le fallait. Et Caussé, sur une contre-attaque, glaçait quelque peu l’ambiance en portant les siens à un but d’une prolongation (21-22, 54e). « On a tout donné, on s’est engagé, on a espéré… Et puis on finit encore tout près », souffle le gaucher dont les arabesques rappellent celle de Luc Abalo, de retour sur la feuille de match dimanche mais pas sur le terrain.

Marko Kopljar ne laissait finalement pas l’USDK et sa centaine de supporters espérer longtemps. Son quatrième but remettait les équipes à égalité (22-22, 55e). Puis Omeyer faisait du Omeyer. Discret jusque-là, le meilleur gardien du monde arrêtait un penalty et quelques tirs adverses imparfaits, dus en partie à la fatigue, mais pas seulement. Et le capitaine Narcisse se chargeait de porter l’estocade à un taureau du Nord beau mais pas épargné par son torero. « On ne peut rien se reprocher, balaye Grocaut. Leur profondeur de banc fait la différence : sur les deux matchs, on joue à 8 et eux à 16. »

Oui, Paris avait plus de banc, plus l’habitude de ces moments, plus de talent aussi, peut-être. De réussite, en tout cas, comme ce contre de M’Tima sur Annotel suivi d’un plongeon pour boxer la balle dans le but vide. Mais cela ne suffira sans doute pas pour voyager plus loin alors que se profile un très gros morceau européen (Kielce, Kiel, Barcelone ou Veszprem). Philippe Gardent, lui, préfèrerait les Polonais, « pas sur la valeur mais parce qu’on a déjà rencontré les trois autres ». Zacharia N’Diaye, lui, s’en soucie guère. « Ce sera de toute façon encore plus fort que Dunkerque, prévient le défenseur. Ce sera peut-être moins guerrier mais plus technique, plus tactique, plus puissant. Mais franchement, on a l’équipe pour atteindre le Final 4. » La dernière marche sera, comme l’an dernier, la plus haute. Un véritable révélateur pour ce PSG qui rêve tout bas de finir tout en haut.

Huitième de finale retour de Ligue des champions
A Paris (Halle Carpentier), 3500 spectateurs. Arbitres : MM. Nikolov et Nachevski (MAC).
PARIS SAINT-GERMAIN - DUNKERQUE
23 – 22 (Mi-temps : 15 – 15)

Evolution du score : 3-2 (5e), 6-4 (8e), 6-6 (10e), 9-7 (15e), 10-10 (20e), 12-14 (26e), 15-15 (MT), 18-15 (34e), 19-18 (39e), 20-19 (47e), 21-20 (52e), 23-22 (FT).

PSG.- Gardiens : Omeyer (60 min, 12 arrêts dt 1 pen) et Annonay. Joueurs de champ : Melic (2), Accambray, Vori (1), N’Diaye, Barachet (2), Gojun, Gunnarsson, Abalo, M. Hansen (8 dt 3 pen), Narcisse (1), Honrubia (4), Kopljar (4), M’Tima (1), Bojinovic. Entraîneur : P. Gardent.
Dunkerque.- Gardien : Annotel (60 min, 11 arrêts). Joueurs de champ : Billant, Afgour (1), Lamon, Joumel, K. Nagy (6), Caussé (5), Soudry (1), Emonet, Nieto, Grocaut, Pejovic, Pelayo, Mokrani (1), Butto (8 dt 6 pen). Entraîneur : P. Cazal.



Les phrases clé de la conférence de presse… par Yves Michel

Patrick Cazal (entraîneur de Dunkerque) : « On leur souhaite d’aller le plus loin possible. C’est notre dernier représentant et on doit être tous derrière eux. »

Philippe Gardent (entraîneur du PSG) : « Pour le tirage, j’aimerais que ce soit un peu plus… exotique. On a déjà rencontré Kiel, Barcelone, Veszprem alors, Kielce (tombeur de Montpellier en 8èmes) m’irait très bien.

William Annotel (gardien de Dunkerque
- notre photo - en larmes à la fin du match) : « Tout le monde a fait un match extraordinaire. Aujourd’hui, comme à l’aller. C’est regrettable car on a mal géré quelques ballons qui font qu’on ne se qualifie pas. C’est dur, c’est dur mais on n’a pas le temps de cogiter car il y a la coupe de la Ligue le week end prochain et on a vraiment envie de la gagner. Ce qui est rageant c’est de se dire qu’on échoue à rien, à des petits détails. Mais je suis fier de cette équipe, on doit encore grandir et mieux gérer les fins de match. »

Quatre questions à Xavier Barachet (arrière droit du PSG)

Handicapé par une douleur dans le bas du dos déjà ressentie 24h auparavant lors de l’ultime entraînement et sorti après 12 minutes dans ce 8ème retour de Ligue des Champions, Xavier Barachet a apprécié la prestation de son équipe et surtout la qualification pour le tour suivant. Comme la saison passée, le PSG gagne son billet pour les quarts de finale.

Paris retiendra l’essentiel… la qualification ?
Une fois de plus on a souffert mais dans ce genre de match, c’est fréquent et on savait qu’on ne gagnerait pas de dix buts. Il fallait être sérieux jusqu’au bout et compter que notre effectif pèse sur la fin. Dunkerque cherche souvent les duels et c’est très usant et peut-être que sur les dernières minutes, cela a tourné en notre faveur. Tant mieux pour nous. 

Cela a été très laborieux par moments...
Si on continue comme ça et qu’on va à  Cologne, moi je signe tout de suite. C’est vrai qu’on n’a pas des matches faciles mais on arrive à les gagner. Peut-être que les années précédentes, c’est ce qui nous faisait défaut. On va mettre ça sur le compte de l’expérience. Mais il va falloir travailler encore et encore car le niveau va s’élever.

En 2ème mi-temps, vous accusez le coup. Comment l’expliques-tu ?
J’ai l’impression qu’on tenait ce match mais on a loupé des tirs. "Mikki" a du taper deux fois sur la barre, Daniel pareil, on avait des solutions je pense, mais on ne les a pas mises au fond. Ce n’est pas inquiétant car le jeu y était et les solutions existaient. Il a manqué un poil de concentration sur la finition.

En quart de finale, qui aimerais-tu éviter ?
On va tous les citer (rires), Veszprem, Barcelone, Kiel, même le Vardar…. Je les ai vus jouer chez eux, c’est très problématique. Cela ne sert à rien de cibler une équipe. On sait que dans tous les cas de figure, c’est un gros morceau qui nous attend. Il va falloir montrer que nous sommes aussi une grosse équipe européenne.

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