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Un manque flagrant d’efficacité du Sambre-Avesnois

Nationale 1F

lundi 13 avril 2015 - Handzone

 2 min 12 de lecture

Le Sambre-Avesnois mène quarante minutes (15-14) mais Achenheim l’emporte : 23-28 (13-10). La rencontre part sous de bons auspices pour le SAHB qui marque le premier par Amandine Delvallée (4e, 1-0) qui quittera ses coéquipières après la pause à cause d’une fracture du radius gauche suite à un choc dans le jeu.

Ce premier but donne le rythme à une partie dans laquelle Achenheim ne trouve pas tout de suite ses marques, cela étant dû sûrement à l’absence de plusieurs joueuses clés dont Awa Diop et Manon Lhou Moha, blessées. Les Sambriennes comptent même jusqu’à quatre longueurs d’avance avant que les Alsaciennes reviennent à la pause sur le score de 13 à 10.

Dès la reprise, les joueuses alsaciennes poursuivent sur leur premier rythme, cela faisant défaut à leurs hôtesses qui tiennent la barre encore dix minutes avant de ne pouvoir suivre la marche forcée de leurs adversaires qui s’imposent fort justement à l’heure de jeu. Cette victoire consolide le groupe de l’entraîneur alsacien, Aurélien Duraffourg : « On avait un petit peu peur de venir prendre une leçon avec nos joueuses absentes car en face, sur très dense et très costaud avec un handball plutôt léché. Je suis donc très content que mes filles ont fait preuve de caractère en n’ayant inscrit que dix buts en première mi-temps. On reste dans une dynamique de rêve du podium même si Alfortville est à cinq points devant. »

Au Sambre-Avesnois, l’entraîneur Thierry Micolon est clairvoyant sur les manques de son équipe même si celle-ci est, mathématiquement, certaine d’évoluer en N1 la saison prochaine : « Pour moi c’est significatif d’une différence de niveaux. Après quarante minutes de jeu, on n’a plus les même moyens, ni la même lucidité. On le voit par le choix des filles. Il y a un niveau de performance différence. Achenheim défend en 0-6 car on n’arrive pas à tirer de loin. Il y a un manque flagrant d’efficacité sur la base arrière comme bien souvent. Nous n’avions pas d’arguments pour lutter. À partir du moment où elles plantent leurs pieds à six mètres avec une Popovici qui fait le boulot sur quelques tirs affirmés, la différence se fait. Après on est punis sur des contre-attaques directes. On est en manque de solutions. »

Jean-Pierre MALEWICZ pour

Un manque flagrant d’efficacité du Sambre-Avesnois 

Nationale 1F

lundi 13 avril 2015 - Handzone

 2 min 12 de lecture

Le Sambre-Avesnois mène quarante minutes (15-14) mais Achenheim l’emporte : 23-28 (13-10). La rencontre part sous de bons auspices pour le SAHB qui marque le premier par Amandine Delvallée (4e, 1-0) qui quittera ses coéquipières après la pause à cause d’une fracture du radius gauche suite à un choc dans le jeu.

Ce premier but donne le rythme à une partie dans laquelle Achenheim ne trouve pas tout de suite ses marques, cela étant dû sûrement à l’absence de plusieurs joueuses clés dont Awa Diop et Manon Lhou Moha, blessées. Les Sambriennes comptent même jusqu’à quatre longueurs d’avance avant que les Alsaciennes reviennent à la pause sur le score de 13 à 10.

Dès la reprise, les joueuses alsaciennes poursuivent sur leur premier rythme, cela faisant défaut à leurs hôtesses qui tiennent la barre encore dix minutes avant de ne pouvoir suivre la marche forcée de leurs adversaires qui s’imposent fort justement à l’heure de jeu. Cette victoire consolide le groupe de l’entraîneur alsacien, Aurélien Duraffourg : « On avait un petit peu peur de venir prendre une leçon avec nos joueuses absentes car en face, sur très dense et très costaud avec un handball plutôt léché. Je suis donc très content que mes filles ont fait preuve de caractère en n’ayant inscrit que dix buts en première mi-temps. On reste dans une dynamique de rêve du podium même si Alfortville est à cinq points devant. »

Au Sambre-Avesnois, l’entraîneur Thierry Micolon est clairvoyant sur les manques de son équipe même si celle-ci est, mathématiquement, certaine d’évoluer en N1 la saison prochaine : « Pour moi c’est significatif d’une différence de niveaux. Après quarante minutes de jeu, on n’a plus les même moyens, ni la même lucidité. On le voit par le choix des filles. Il y a un niveau de performance différence. Achenheim défend en 0-6 car on n’arrive pas à tirer de loin. Il y a un manque flagrant d’efficacité sur la base arrière comme bien souvent. Nous n’avions pas d’arguments pour lutter. À partir du moment où elles plantent leurs pieds à six mètres avec une Popovici qui fait le boulot sur quelques tirs affirmés, la différence se fait. Après on est punis sur des contre-attaques directes. On est en manque de solutions. »

Jean-Pierre MALEWICZ pour

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