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"Niko" s'invite à Ivry, le PSG, St Raphaël et Cesson en tête

LMSL

mercredi 16 septembre 2015 - © Yves Michel

 8 min 10 de lecture

En attendant ce jeudi que Dunkerque-Montpellier livre son verdict, Paris, St Raphaël et... Cesson ont pris la tête du classement de la LNH. La surprise de la soirée est venue d'Ivry où Nikola Karabatic, et c'est une excellente nouvelle, a fait sa réapparition sur le banc parisien.  

par Yves MICHEL

La surprise du chef: Nikola Karabatic opérationnel

Même si officiellement le PSG n’avait jamais validé la durée de l’indisponibilité de Nikola Karabatic, le voir sur la feuille de match face à Ivry était une réelle surprise. Depuis la finale du Trophée des Champions et son trait de fracture à la pommette, l’arrière international s’était entraîné avec un masque pour se préserver de tout mauvais coup mais il lui manquait quelque chose d’essentiel, le terrain et surtout la nécessité de jouer.  «Etre là n’était pas nécessaire, convenait-il après la rencontre, j’aurais pu faire l’impasse mais je ne voulais pas suivre le match depuis les tribunes comme la semaine dernière face à Nîmes. J’étais vraiment impatient de reprendre le championnat, de me retrouver au plus près de mes partenaires. Je ne me suis arrêté en fait que 4 jours et comme je me sentais bien, c’est moi qui ai demandé au coach si je pouvais jouer. Ne serait-ce que 10 à 15 minutes pour être dans le rythme surtout avant le match de Ligue des Champions, samedi contre Flensburg. » Et à la 49ème minute, alors que le PSG avait fait l’écart (20-27), Nikola est entré.  Pendant ce laps de temps, il inscrira deux buts, prendra deux minutes pour une poussette sur Benjamin Bataille et se fera même une petite frayeur en roulant sur le parquet. Une péripétie qui vu sa blessure encore fraîche aura pour effet de faire lever tout le banc parisien. « Oui, le risque était là car ce soir le match était très agressif mais je n’ai pas eu peur. Il y avait quand même peu de chance pour que ça tape deux fois au même endroit !» Ce match au cours duquel Jeffrey M’Tima a également fait son retour, ne laissera pas un souvenir impérissable. De nombreuses pertes de balle de part et d’autre, des deux minutes en veux-tu en voilà, parfois trop précipitamment sifflés, et une équipe ivryenne qui a tout essayé et qui a tenté d’imposer sa puissance physique notamment en défense  (16-18 à la 37ème). Elle n’a jamais baissé les bras et il faudra encore une fois que Titi Omeyer sorte toute sa classe (17 arrêts) pour stopper les quelques moments d’euphorie des Val-de-Marnais. Depuis notamment le trophée des champions, le PSG est en rodage et chaque adversaire qu’il est amené à affronter, évolue sur le même tempo. Les hommes de Noka Serdarusic n’ont jamais perdu le contrôle des opérations mais il leur faudra encore un peu de temps pour tourner à plein régime. Dans un Delaune archi bondé où même certains invités avaient du prendre place sur les escaliers, l’USI a démontré que son succès mercredi dernier à Tremblay, n’était pas du au hasard. « Si on est bien entendu déçu d’avoir perdu (27-33), soufflait Sébastian Simonet (photo ci-dessous), on sort la tête haute.  On sait que ce n’est pas contre Paris que notre saison se joue et qu’un des matches importants, c’est contre Nîmes la semaine prochaine. On a fait le boulot et on peut être fier de cela. On n’a pas une équipe de Ligue des Champions mais on était très motivé de se mesurer à eux.» 

 

En début de match, St Raphaël s'est cru à la plage

Est-ce la peur de mal faire devant son public pour son 1er match officiel ? Toujours est il que St Raphaël a abordé de la pire des façons son match face à Tremblay. Fait significatif après 6 minutes, les Varois n'ont même pas su profiter d'une supériorité numérique (après l'exclusion de Bundalo) pour faire le break et ils ont même offert à l'adversaire l'occasion de se maintenir à flots en inscrivant deux buts. Les Franciliens vont d'ailleurs continuer sur leur lancée, aidés en cela par Aljosa Rezar dans ses cages qui va notamment dégoûter le Roumain Simicu (7-12 à la 24ème). Décidément, les gardiens sont souvent les catalyseurs d'une équipe. Le réveil de Djukanovic côté azuréen sera déterminant. Le Serbe va redonner confiance à ses coéquipiers. L'effet au tableau d'affichage sera immédiat. Un 3-0 avant la pause (10-12) et la suite au retour des vestiaires (13-12 à la 34ème), Sans infliger une correction, St Raphaël dominera toute la seconde période pour finalement s'imposer (26-21). Le diesel raphaélois a connu quelques ratés mais est arrivé à bon port. Pour Tremblay, l'avanie se poursuit. Mais cette fois-ci sans déclaration inopportune de son capitaine.  



Cesson avait plus de bouteille !

Ce qui est pris, n'est plus à prendre ! Après Dunkerque à la maison, Cesson engrange à Chartres, son 2ème succès de rang. Une victoire qui s'est construite dans le money-time. Au niveau des stats, les deux formations se sont quasiment neutralisées. Autant d'arrêts (9) pour Ploquin, l'Eurélien (notre photo) que pour Bonnefoi, le Breton, autant de buts (7) pour les meilleurs marqueurs de chaque côté, Molinié et Derbier. Mais alors qu'a-t-il manqué à Chartres pour inscrire ses 1ers points en LNH ? Tout simplement, l'expérience à contenir l'adversaire lorsque celui-ci vient de se faire passer devant. Cesson va prendre l'avantage très tôt et gardera la maîtrise du tableau d'affichage. Le sursaut chartrain interviendra peu avant la pause mais sera de courte durée. Les Bretons qui bénéficiaient d'une rotation supplémentaire puisque Ibrahima Sall est enfin qualifié, profiteront du manque de lucidité de leur adversaire en fin de rencontre pour s'imposer.



Nantes ou la jeunesse triomphante !

Pour son 1er match de championnat à Rezé dans la nouvelle salle de La Trocardière, Nantes n'a pas eu à trop forcer son talent pour s'imposer. L'affaire a été pliée en à peine un quart d'heure (12-5). Les Cristoliens pris à la gorge dès le coup d'envoi ont couru après cet handicap pendant la durée du match. Et la jeunesse nantaise a brillé. Les deux potes de la génération 92-93 Jordan Camarero (7/8) et Obrian Nyateu (8/8 - notre photo) ont pris un malin plaisir à jouer des tours aux pauvres gardiens val-de-marnais. Mais que dire de Nicolas Claire qui a véritablement inondé de son talent, le nouvel espace inauguré à l'occasion du récent Trophée des Champions ? Avec des stats majuscules (10/11 dont 3/3 à 7 m), le Réunionnais a confirmé qu'il était le véritable chef d'orchestre du "H" et qu'il tape à nouveau de plus en plus fort à la porte de l'équipe de France. 

Aix et Toulouse, pas de jaloux !

A Aix, prenez le scénario de la saison passée, appliquez un calque et on se retrouve à peu de chose près au dénouement du match face à Toulouse de ce mercredi. Encore un partage des points ! et l'égalisation provençale est venue non pas du Slovène Cehte qui a quitté le club mais de l'Espagnol Iosu Goni Leoz, à 29 secondes du buzzer. Certainement rageant pour le Fénix qui a fait la course en tête pendant toute la rencontre (comme l'an dernier), qui est même parvenu à deux reprises à mener de cinq buts, qui comptait deux longueurs d'avance dans le money time et qui donc, s'est fait rejoindre sur la fin.  Pour Jérôme Fernandez qui reconnaissait que ce nul face à ses anciens coéquipiers était plutôt un point de pris et donc une bonne opération, la soirée s'est plutôt bien déroulée. Le capitaine aixois termine meilleur buteur de la rencontre avec 12 réalisations à son actif (dont un 3/3 à 7 m). Côté toulousain, avec 9 buts (dont 4/5 à 7 m) le Serbe Ilic s'est mis en évidence.



A Nîmes, ils ont des mini-Verts  

A Nîmes, quand on n'a plus de gauchers titulaires sur l'aile, on puise dans le centre de formation. Alors qu'en ce début de saison, on attendait Jimmy Brun récemment passé pro, c'est Steven George qui est sorti de la garrigue. Déjà remarqué la semaine dernière à Coubertin face à Paris lorsqu'à la suite de la blessure de Damien Waeghe, il a été poussé dans la cage aux lions, le gaillard de 20 ans (1.83 pour 85 kg) a récidivé ce mercredi face à Chambéry. Et cette fois, le dénouement a tourné en faveur de son équipe. Il a été au diapason de son capitaine Florent Ferreiro et de son meneur de jeu Snorri Gudjonsson puisque chacun a inscrit six buts. A Chambéry, si Yann Genty évolue toujours un ton au-dessus des autres, le Brésilien Joao Da Silva est transparent et peine pour avoir la confiance d'Obrvan, tout comme Cédric Paty qui tourne en rond depuis la reprise de la saison et se morfond au pied des Alpes alors qu'il n'est pas blessé. Le 4ème de la saison dernière a du retard à l'allumage. Pourtant au Parnasse, les Savoyards ont compté jusqu'à 4 longueurs d'avance (10-14 à la 28ème) et semblaient dominer leur sujet. Mais l'USAM malgré toutes les absences que compte l'effectif, ne s'est pas affolé et est revenu en douze minutes (18-17) pour ne plus rien lâcher (30-27).  



HBC NANTESUS CRETEIL                                    40-29 (MT: 21-15)

Statistiques du match

*****************************

ST RAPHAEL VHB - TREMBLAY EN FRANCE         26-21 (MT: 10-12)

Statistiques du match

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PAYS AIX UC - FENIX TOULOUSE                       30-30 (MT: 14-16)

Statistiques du match

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USAM NIMES - CHAMBERY SAVOIE                    30-27 (MT: 12-14)

Statistiques du match



US IVRY - PARIS ST-GERMAIN HANDBALL      27-33 (MT: 11-15)

Statistiques du match

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CHARTRES MH28 - CESSON RENNES                23-25 (MT: 12-11)

Statistiques du match

"Niko" s'invite à Ivry, le PSG, St Raphaël et Cesson en tête 

LMSL

mercredi 16 septembre 2015 - © Yves Michel

 8 min 10 de lecture

En attendant ce jeudi que Dunkerque-Montpellier livre son verdict, Paris, St Raphaël et... Cesson ont pris la tête du classement de la LNH. La surprise de la soirée est venue d'Ivry où Nikola Karabatic, et c'est une excellente nouvelle, a fait sa réapparition sur le banc parisien.  

par Yves MICHEL

La surprise du chef: Nikola Karabatic opérationnel

Même si officiellement le PSG n’avait jamais validé la durée de l’indisponibilité de Nikola Karabatic, le voir sur la feuille de match face à Ivry était une réelle surprise. Depuis la finale du Trophée des Champions et son trait de fracture à la pommette, l’arrière international s’était entraîné avec un masque pour se préserver de tout mauvais coup mais il lui manquait quelque chose d’essentiel, le terrain et surtout la nécessité de jouer.  «Etre là n’était pas nécessaire, convenait-il après la rencontre, j’aurais pu faire l’impasse mais je ne voulais pas suivre le match depuis les tribunes comme la semaine dernière face à Nîmes. J’étais vraiment impatient de reprendre le championnat, de me retrouver au plus près de mes partenaires. Je ne me suis arrêté en fait que 4 jours et comme je me sentais bien, c’est moi qui ai demandé au coach si je pouvais jouer. Ne serait-ce que 10 à 15 minutes pour être dans le rythme surtout avant le match de Ligue des Champions, samedi contre Flensburg. » Et à la 49ème minute, alors que le PSG avait fait l’écart (20-27), Nikola est entré.  Pendant ce laps de temps, il inscrira deux buts, prendra deux minutes pour une poussette sur Benjamin Bataille et se fera même une petite frayeur en roulant sur le parquet. Une péripétie qui vu sa blessure encore fraîche aura pour effet de faire lever tout le banc parisien. « Oui, le risque était là car ce soir le match était très agressif mais je n’ai pas eu peur. Il y avait quand même peu de chance pour que ça tape deux fois au même endroit !» Ce match au cours duquel Jeffrey M’Tima a également fait son retour, ne laissera pas un souvenir impérissable. De nombreuses pertes de balle de part et d’autre, des deux minutes en veux-tu en voilà, parfois trop précipitamment sifflés, et une équipe ivryenne qui a tout essayé et qui a tenté d’imposer sa puissance physique notamment en défense  (16-18 à la 37ème). Elle n’a jamais baissé les bras et il faudra encore une fois que Titi Omeyer sorte toute sa classe (17 arrêts) pour stopper les quelques moments d’euphorie des Val-de-Marnais. Depuis notamment le trophée des champions, le PSG est en rodage et chaque adversaire qu’il est amené à affronter, évolue sur le même tempo. Les hommes de Noka Serdarusic n’ont jamais perdu le contrôle des opérations mais il leur faudra encore un peu de temps pour tourner à plein régime. Dans un Delaune archi bondé où même certains invités avaient du prendre place sur les escaliers, l’USI a démontré que son succès mercredi dernier à Tremblay, n’était pas du au hasard. « Si on est bien entendu déçu d’avoir perdu (27-33), soufflait Sébastian Simonet (photo ci-dessous), on sort la tête haute.  On sait que ce n’est pas contre Paris que notre saison se joue et qu’un des matches importants, c’est contre Nîmes la semaine prochaine. On a fait le boulot et on peut être fier de cela. On n’a pas une équipe de Ligue des Champions mais on était très motivé de se mesurer à eux.» 

 

En début de match, St Raphaël s'est cru à la plage

Est-ce la peur de mal faire devant son public pour son 1er match officiel ? Toujours est il que St Raphaël a abordé de la pire des façons son match face à Tremblay. Fait significatif après 6 minutes, les Varois n'ont même pas su profiter d'une supériorité numérique (après l'exclusion de Bundalo) pour faire le break et ils ont même offert à l'adversaire l'occasion de se maintenir à flots en inscrivant deux buts. Les Franciliens vont d'ailleurs continuer sur leur lancée, aidés en cela par Aljosa Rezar dans ses cages qui va notamment dégoûter le Roumain Simicu (7-12 à la 24ème). Décidément, les gardiens sont souvent les catalyseurs d'une équipe. Le réveil de Djukanovic côté azuréen sera déterminant. Le Serbe va redonner confiance à ses coéquipiers. L'effet au tableau d'affichage sera immédiat. Un 3-0 avant la pause (10-12) et la suite au retour des vestiaires (13-12 à la 34ème), Sans infliger une correction, St Raphaël dominera toute la seconde période pour finalement s'imposer (26-21). Le diesel raphaélois a connu quelques ratés mais est arrivé à bon port. Pour Tremblay, l'avanie se poursuit. Mais cette fois-ci sans déclaration inopportune de son capitaine.  



Cesson avait plus de bouteille !

Ce qui est pris, n'est plus à prendre ! Après Dunkerque à la maison, Cesson engrange à Chartres, son 2ème succès de rang. Une victoire qui s'est construite dans le money-time. Au niveau des stats, les deux formations se sont quasiment neutralisées. Autant d'arrêts (9) pour Ploquin, l'Eurélien (notre photo) que pour Bonnefoi, le Breton, autant de buts (7) pour les meilleurs marqueurs de chaque côté, Molinié et Derbier. Mais alors qu'a-t-il manqué à Chartres pour inscrire ses 1ers points en LNH ? Tout simplement, l'expérience à contenir l'adversaire lorsque celui-ci vient de se faire passer devant. Cesson va prendre l'avantage très tôt et gardera la maîtrise du tableau d'affichage. Le sursaut chartrain interviendra peu avant la pause mais sera de courte durée. Les Bretons qui bénéficiaient d'une rotation supplémentaire puisque Ibrahima Sall est enfin qualifié, profiteront du manque de lucidité de leur adversaire en fin de rencontre pour s'imposer.



Nantes ou la jeunesse triomphante !

Pour son 1er match de championnat à Rezé dans la nouvelle salle de La Trocardière, Nantes n'a pas eu à trop forcer son talent pour s'imposer. L'affaire a été pliée en à peine un quart d'heure (12-5). Les Cristoliens pris à la gorge dès le coup d'envoi ont couru après cet handicap pendant la durée du match. Et la jeunesse nantaise a brillé. Les deux potes de la génération 92-93 Jordan Camarero (7/8) et Obrian Nyateu (8/8 - notre photo) ont pris un malin plaisir à jouer des tours aux pauvres gardiens val-de-marnais. Mais que dire de Nicolas Claire qui a véritablement inondé de son talent, le nouvel espace inauguré à l'occasion du récent Trophée des Champions ? Avec des stats majuscules (10/11 dont 3/3 à 7 m), le Réunionnais a confirmé qu'il était le véritable chef d'orchestre du "H" et qu'il tape à nouveau de plus en plus fort à la porte de l'équipe de France. 

Aix et Toulouse, pas de jaloux !

A Aix, prenez le scénario de la saison passée, appliquez un calque et on se retrouve à peu de chose près au dénouement du match face à Toulouse de ce mercredi. Encore un partage des points ! et l'égalisation provençale est venue non pas du Slovène Cehte qui a quitté le club mais de l'Espagnol Iosu Goni Leoz, à 29 secondes du buzzer. Certainement rageant pour le Fénix qui a fait la course en tête pendant toute la rencontre (comme l'an dernier), qui est même parvenu à deux reprises à mener de cinq buts, qui comptait deux longueurs d'avance dans le money time et qui donc, s'est fait rejoindre sur la fin.  Pour Jérôme Fernandez qui reconnaissait que ce nul face à ses anciens coéquipiers était plutôt un point de pris et donc une bonne opération, la soirée s'est plutôt bien déroulée. Le capitaine aixois termine meilleur buteur de la rencontre avec 12 réalisations à son actif (dont un 3/3 à 7 m). Côté toulousain, avec 9 buts (dont 4/5 à 7 m) le Serbe Ilic s'est mis en évidence.



A Nîmes, ils ont des mini-Verts  

A Nîmes, quand on n'a plus de gauchers titulaires sur l'aile, on puise dans le centre de formation. Alors qu'en ce début de saison, on attendait Jimmy Brun récemment passé pro, c'est Steven George qui est sorti de la garrigue. Déjà remarqué la semaine dernière à Coubertin face à Paris lorsqu'à la suite de la blessure de Damien Waeghe, il a été poussé dans la cage aux lions, le gaillard de 20 ans (1.83 pour 85 kg) a récidivé ce mercredi face à Chambéry. Et cette fois, le dénouement a tourné en faveur de son équipe. Il a été au diapason de son capitaine Florent Ferreiro et de son meneur de jeu Snorri Gudjonsson puisque chacun a inscrit six buts. A Chambéry, si Yann Genty évolue toujours un ton au-dessus des autres, le Brésilien Joao Da Silva est transparent et peine pour avoir la confiance d'Obrvan, tout comme Cédric Paty qui tourne en rond depuis la reprise de la saison et se morfond au pied des Alpes alors qu'il n'est pas blessé. Le 4ème de la saison dernière a du retard à l'allumage. Pourtant au Parnasse, les Savoyards ont compté jusqu'à 4 longueurs d'avance (10-14 à la 28ème) et semblaient dominer leur sujet. Mais l'USAM malgré toutes les absences que compte l'effectif, ne s'est pas affolé et est revenu en douze minutes (18-17) pour ne plus rien lâcher (30-27).  



HBC NANTESUS CRETEIL                                    40-29 (MT: 21-15)

Statistiques du match

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ST RAPHAEL VHB - TREMBLAY EN FRANCE         26-21 (MT: 10-12)

Statistiques du match

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PAYS AIX UC - FENIX TOULOUSE                       30-30 (MT: 14-16)

Statistiques du match

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USAM NIMES - CHAMBERY SAVOIE                    30-27 (MT: 12-14)

Statistiques du match



US IVRY - PARIS ST-GERMAIN HANDBALL      27-33 (MT: 11-15)

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CHARTRES MH28 - CESSON RENNES                23-25 (MT: 12-11)

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