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Metz leader autoritaire

LBE

dimanche 31 janvier 2016 - © Pierre Menjot

 7 min 42 de lecture

Résumé de la 14° Journée de LFH. 
Les Lorraines ont largement dominé Issy-Paris (32-20) et poussent leur série à neuf victoires. Solides en défense, impeccable dans le jeu de transition et plutôt plaisantes en attaque placée, les Messines sont plus que jamais leader puisque Fleury a été battu par Nantes chez lui.

Le 26 septembre dernier, Metz dominait Issy-Paris à Nancy et remportait sa première victoire significative de la saison. Pour le match retour ce dimanche, le MHB a carrément écrasé les vice-championnes de France (32-20), totalement impuissantes face à l'homogénéité du collectif lorrain. Entre temps, les Messines ont tout gagné, soit neuf matchs, et ont pris la tête du Championnat, sans que personne, jusqu'à présent, ne puisse remettre en cause cette hégémonie. Alors que Fleury découvre les soucis amenés par la Ligue des champions (enchaînements des matchs, déplacements, changements de salle), qu'Issy-Paris déplore ses blessées, tout va bien à Metz. « Après un match comme ça, ça ne peut qu'aller bien, sourit Laura Glauser, très solide dans ses buts (14 arrêts). J'ai eu une très grande défense pour m'aider, on a proposé un jeu fluide, sans "bug," sans trop de hauts ni de bas mais stable, et Issy n'est jamais revenu. C'est un de nos meilleurs matchs, oui. »

Fatiguées, les Parisiennes n'ont pu que constater la belle forme de leurs adversaires. Alors que Kanto et Lévêque fermaient bien le secteur central en défense, Maubon, Luciano ou Pop-Lazic couraient plus vite que tout le monde pour marquer en contre et, tout de suite, prendre les commandes (3-7, 10e). Et malgré un léger retour parisien grâce à l'efficacité de Stine Oftedal (6-8, 15e), c'est bien Metz qui restait aux commandes, pendant que Manu Mayonnade faisait entrer tout son banc par petites touches (Pop-Lazic et Smits, puis Aoustin, Horacek et Flippes). Juste avant la pause, la demi-centre norvégienne précipitait son tir et Luciano punissait Issy-Paris au buzzer pour remettre les visiteuses à +5 (12-17). Cette fois, Jovanovic ne pouvait jouer la sauveuse (2/10) et la suite se résumait à un cavalier seul (15-22, 18-30...). « Quand on se met à défendre, on devient un rouleau compresseur, note Grace Zaadi, excellente en début de match notamment. Les gens nous disent que notre jeu est plus fluide depuis que Manu est arrivé. Toujours est-il qu’il nous amène de la confiance et cela fait beaucoup de bien. Il faut continuer, c’est tout ce que je nous souhaite, pour terminer à la première place. »

On voit mal ce qui pourrait arrêter la belle machine messine, que le départ en cours de saison de Jérémy Roussel, qui a construit cette équipe et son projet de jeu, n’a même pas égratigné. « J’avais dit aux filles que ce match était une référence dans la construction de notre histoire commune, parce qu’il était à l’extérieur, chez un adversaire de qualité et qu’il nous offrait quasiment une des deux premières places. Et il y a eu la manière, des choses convaincantes. On est une équipe en grande réussite », apprécie Manu Mayonnade. Seul risque : que les Messines la jouent trop facile. « On se met trop souvent au niveau de l’adversaire », concède Zaadi.

Qu’importe, l'opposition gagnera en qualité quand arriveront les phases finales. En attendant les matchs éliminatoires du printemps, les filles à jupettes poursuivront leur bonhomme de chemin avec une double opposition face à Nîmes aux Arènes, en Coupe de France puis en Championnat. Pour Issy-Paris, ce sont deux déplacements qui s’annoncent, à Toulon puis à Besançon. Pas simple. « On voit bien nos limites du moment, souffle Karolina Zalewski. On n’est pas assez agressives en défense, on ne marque pas de buts faciles sur jeu rapide, on loupe énormément de tirs… Par moments, il y a des sursauts d’orgueil mais vite éteints car on ne met pas assez de rigueur. On doit encore serrer les dents les deux prochains matchs, puis on aura quelques jours de repos. » Qu’il faudra mettre à profit pour se remettre d’aplomb avant le retour de la Coupe d’Europe.

Fleury se fait encore surprendre

Fleury-les-Aubrais n'a tiré aucun bénéfice du concassage de son concurrent direct pour la deuxième place. Le champion de France, où Barbosa soigne encore son genou, a terminé janvier par une cinquième défaite en sept matchs, compétitions nationales et européennes confondues. C'est la deuxième de suite à Albert-Auger, en Championnat, quatre dimanches après l'épisode bisontin (22-25).

Ni les neuf arrêts de Darly Zoqbi de Paula en première période, ni la précision d'Audrey Bruneau et de Laura Kamdop ne purent masquer tous les signes extérieurs de fébrilité. Gnonsiane Niombla (2/8) était régulièrement contrée par Marie Prudhomme à 9 m, Marta Lopez se trouait à l'aile droite (0/4). Et lorsque Nantes monta le volume défensif, en seconde période, ce fut panique à bord du navire loirétain. Lacéré par Jovana Stoiljkovic (8 buts, photo ci-dessus), tétanisé en attaque placée, coulé par l'opportunisme de Coatanéa et De la Bretèche, le FLH vit disparaître, impuissant, son +3 de la mi-temps (13-10, puis 18-19 à la 42ème, 21-22 à la 49ème, 21-26 à la 57ème).

Le summum de la perdition ? Estelle Nze Minko, se ruant vers la cage en chasuble après une énième perte de balle, mais encaissant quand même le troisième but de l'après-midi de Bea Escribano. Une réminiscence de Mondial qui ne fit qu'entériner la performance du NLA (succès 24-29), revenu à un point de la sixième place. Il en possède désormais 23, un nombre ayant transporté de joie Marie Prudhomme. Pour l'arrière droit ligérienne, la première victoire en déplacement, « c'est une bonne récompense. On savait que la première mi-temps serait dure, que Fleury allait envoyer du jus. On avait vu leurs matchs de Ligue des Champions, où elles gagnaient de cinq-six buts en quinze minutes. On ne s'est donc pas affolées, parce que sur soixante minutes, on pouvait le faire. Elles sont en perte de confiance, alors on s'est dit ''maintenant ou jamais''. »

Besançon se rapproche des play-offs

Dans une rencontre clé pour les deux équipes, Besançon s'est imposé à Toulon (27-25) et effectue un pas de plus vers les play-offs, même si le succès de Nantes à Fleury rappelle que rien n'est encore définitif. Comme en Coupe de la Ligue trois jours plus tôt, les Franc-Comtoises ont réussi trente premières minutes parfaites face à des Varoises apathiques et rapidement privée de Bettacchini (genou), et menaient 18 à 8. Et comme à Paris, elles ont refait le coup de la panne, encaissant un incroyable 12-2 en 18 minutes, à tel point que Toulon égalisait (20-20). Cette fois, les filles de Raphaëlle Tervel trouvaient pourtant les ressources pour ne pas plonger et la paire Dazet-Frécon (photo ci-dessus), excellente tout le long du match (15/19 à elles deux), s'avérait précieuse pour rester devant (20-23, 52e). Fatigué par son improbable come-back, Toulon n'avait plus rien à donner et s'incline donc, faisant presque une croix sur les play-offs. Avec cette quatrième victoire de rang, meilleure série en cours derrière Metz, Besançon a quasiment son billet pour le Top 6, ce qui ne laisse plus qu'une petite place pour le trio Nice-Nantes-Toulon.

Nîmes s'est repris

Oubliée la défaite face à Nice en Coupe de la Ligue et un début d'année compliqué. Dimanche, Nîmes s'est retrouvé face à ces mêmes Niçoises, prises d'entrée par l'intensité (7-2, 11e) et qui ont couru après le score le reste du match, en vain et un rien impuissantes face à la belle défense des locales. Les Gardoises n'encaissaient que sept petits buts en une demi-heure et puisque Goiorani et Son se montraient efficaces, Nîmes conservait son avance à la pause (12-7) et la faisait grandir par la suite avec Bulleux (5 buts en seconde période) et Carrat (19-10, 37e). Une bonne Colic (12 arrêts) permettait aux siennes de gérer tranquillement jusqu'à terme, à l'exception d'un 4-0 final passé par l'OGCN qui rendait la défaite plus honorable (25-22).

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TOULON/SAINT-CYR VAR HANDBALL - ES BESANCON FEMININ

25 - 27 (MT : 8-18)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 30/01/2016 à 20:00:00
Lieu :
Palais des Sports de Toulon
420 avenue Amiral Aube
TOULON

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FLEURY LOIRET HANDBALL - NANTES LOIRE ATLANTIQUE HB

24 - 29 (MT : 13-10)
Statistiques du match
Date et Heure :
Le 31/01/2016 à 17:00:00
Lieu :
Gymnase Albert Auger
8 , rue Pablo Picasso
FLEURY LES AUBRAIS

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HANDBALL CERCLE NIMES - OGC NICE COTE D'AZUR HANDBALL

25 - 22 (MT : 12-7)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 31/01/2016 à 16:00:00
Lieu :
Le Parnasse
160 Avenue du Languedoc
Route de St Gilles
NIMES

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ISSY PARIS HAND  - METZ HANDBALL

20 - 32 (MT : 12-17)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 31/01/2016 à 16:00:00
Lieu :
ROBERT-CHARPENTIER
4/6 BD DES FRERES-VOISINS
ISSY LES MOULINEAUX

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Laurent Hoppe (à Fleury) et

Metz leader autoritaire 

LBE

dimanche 31 janvier 2016 - © Pierre Menjot

 7 min 42 de lecture

Résumé de la 14° Journée de LFH. 
Les Lorraines ont largement dominé Issy-Paris (32-20) et poussent leur série à neuf victoires. Solides en défense, impeccable dans le jeu de transition et plutôt plaisantes en attaque placée, les Messines sont plus que jamais leader puisque Fleury a été battu par Nantes chez lui.

Le 26 septembre dernier, Metz dominait Issy-Paris à Nancy et remportait sa première victoire significative de la saison. Pour le match retour ce dimanche, le MHB a carrément écrasé les vice-championnes de France (32-20), totalement impuissantes face à l'homogénéité du collectif lorrain. Entre temps, les Messines ont tout gagné, soit neuf matchs, et ont pris la tête du Championnat, sans que personne, jusqu'à présent, ne puisse remettre en cause cette hégémonie. Alors que Fleury découvre les soucis amenés par la Ligue des champions (enchaînements des matchs, déplacements, changements de salle), qu'Issy-Paris déplore ses blessées, tout va bien à Metz. « Après un match comme ça, ça ne peut qu'aller bien, sourit Laura Glauser, très solide dans ses buts (14 arrêts). J'ai eu une très grande défense pour m'aider, on a proposé un jeu fluide, sans "bug," sans trop de hauts ni de bas mais stable, et Issy n'est jamais revenu. C'est un de nos meilleurs matchs, oui. »

Fatiguées, les Parisiennes n'ont pu que constater la belle forme de leurs adversaires. Alors que Kanto et Lévêque fermaient bien le secteur central en défense, Maubon, Luciano ou Pop-Lazic couraient plus vite que tout le monde pour marquer en contre et, tout de suite, prendre les commandes (3-7, 10e). Et malgré un léger retour parisien grâce à l'efficacité de Stine Oftedal (6-8, 15e), c'est bien Metz qui restait aux commandes, pendant que Manu Mayonnade faisait entrer tout son banc par petites touches (Pop-Lazic et Smits, puis Aoustin, Horacek et Flippes). Juste avant la pause, la demi-centre norvégienne précipitait son tir et Luciano punissait Issy-Paris au buzzer pour remettre les visiteuses à +5 (12-17). Cette fois, Jovanovic ne pouvait jouer la sauveuse (2/10) et la suite se résumait à un cavalier seul (15-22, 18-30...). « Quand on se met à défendre, on devient un rouleau compresseur, note Grace Zaadi, excellente en début de match notamment. Les gens nous disent que notre jeu est plus fluide depuis que Manu est arrivé. Toujours est-il qu’il nous amène de la confiance et cela fait beaucoup de bien. Il faut continuer, c’est tout ce que je nous souhaite, pour terminer à la première place. »

On voit mal ce qui pourrait arrêter la belle machine messine, que le départ en cours de saison de Jérémy Roussel, qui a construit cette équipe et son projet de jeu, n’a même pas égratigné. « J’avais dit aux filles que ce match était une référence dans la construction de notre histoire commune, parce qu’il était à l’extérieur, chez un adversaire de qualité et qu’il nous offrait quasiment une des deux premières places. Et il y a eu la manière, des choses convaincantes. On est une équipe en grande réussite », apprécie Manu Mayonnade. Seul risque : que les Messines la jouent trop facile. « On se met trop souvent au niveau de l’adversaire », concède Zaadi.

Qu’importe, l'opposition gagnera en qualité quand arriveront les phases finales. En attendant les matchs éliminatoires du printemps, les filles à jupettes poursuivront leur bonhomme de chemin avec une double opposition face à Nîmes aux Arènes, en Coupe de France puis en Championnat. Pour Issy-Paris, ce sont deux déplacements qui s’annoncent, à Toulon puis à Besançon. Pas simple. « On voit bien nos limites du moment, souffle Karolina Zalewski. On n’est pas assez agressives en défense, on ne marque pas de buts faciles sur jeu rapide, on loupe énormément de tirs… Par moments, il y a des sursauts d’orgueil mais vite éteints car on ne met pas assez de rigueur. On doit encore serrer les dents les deux prochains matchs, puis on aura quelques jours de repos. » Qu’il faudra mettre à profit pour se remettre d’aplomb avant le retour de la Coupe d’Europe.

Fleury se fait encore surprendre

Fleury-les-Aubrais n'a tiré aucun bénéfice du concassage de son concurrent direct pour la deuxième place. Le champion de France, où Barbosa soigne encore son genou, a terminé janvier par une cinquième défaite en sept matchs, compétitions nationales et européennes confondues. C'est la deuxième de suite à Albert-Auger, en Championnat, quatre dimanches après l'épisode bisontin (22-25).

Ni les neuf arrêts de Darly Zoqbi de Paula en première période, ni la précision d'Audrey Bruneau et de Laura Kamdop ne purent masquer tous les signes extérieurs de fébrilité. Gnonsiane Niombla (2/8) était régulièrement contrée par Marie Prudhomme à 9 m, Marta Lopez se trouait à l'aile droite (0/4). Et lorsque Nantes monta le volume défensif, en seconde période, ce fut panique à bord du navire loirétain. Lacéré par Jovana Stoiljkovic (8 buts, photo ci-dessus), tétanisé en attaque placée, coulé par l'opportunisme de Coatanéa et De la Bretèche, le FLH vit disparaître, impuissant, son +3 de la mi-temps (13-10, puis 18-19 à la 42ème, 21-22 à la 49ème, 21-26 à la 57ème).

Le summum de la perdition ? Estelle Nze Minko, se ruant vers la cage en chasuble après une énième perte de balle, mais encaissant quand même le troisième but de l'après-midi de Bea Escribano. Une réminiscence de Mondial qui ne fit qu'entériner la performance du NLA (succès 24-29), revenu à un point de la sixième place. Il en possède désormais 23, un nombre ayant transporté de joie Marie Prudhomme. Pour l'arrière droit ligérienne, la première victoire en déplacement, « c'est une bonne récompense. On savait que la première mi-temps serait dure, que Fleury allait envoyer du jus. On avait vu leurs matchs de Ligue des Champions, où elles gagnaient de cinq-six buts en quinze minutes. On ne s'est donc pas affolées, parce que sur soixante minutes, on pouvait le faire. Elles sont en perte de confiance, alors on s'est dit ''maintenant ou jamais''. »

Besançon se rapproche des play-offs

Dans une rencontre clé pour les deux équipes, Besançon s'est imposé à Toulon (27-25) et effectue un pas de plus vers les play-offs, même si le succès de Nantes à Fleury rappelle que rien n'est encore définitif. Comme en Coupe de la Ligue trois jours plus tôt, les Franc-Comtoises ont réussi trente premières minutes parfaites face à des Varoises apathiques et rapidement privée de Bettacchini (genou), et menaient 18 à 8. Et comme à Paris, elles ont refait le coup de la panne, encaissant un incroyable 12-2 en 18 minutes, à tel point que Toulon égalisait (20-20). Cette fois, les filles de Raphaëlle Tervel trouvaient pourtant les ressources pour ne pas plonger et la paire Dazet-Frécon (photo ci-dessus), excellente tout le long du match (15/19 à elles deux), s'avérait précieuse pour rester devant (20-23, 52e). Fatigué par son improbable come-back, Toulon n'avait plus rien à donner et s'incline donc, faisant presque une croix sur les play-offs. Avec cette quatrième victoire de rang, meilleure série en cours derrière Metz, Besançon a quasiment son billet pour le Top 6, ce qui ne laisse plus qu'une petite place pour le trio Nice-Nantes-Toulon.

Nîmes s'est repris

Oubliée la défaite face à Nice en Coupe de la Ligue et un début d'année compliqué. Dimanche, Nîmes s'est retrouvé face à ces mêmes Niçoises, prises d'entrée par l'intensité (7-2, 11e) et qui ont couru après le score le reste du match, en vain et un rien impuissantes face à la belle défense des locales. Les Gardoises n'encaissaient que sept petits buts en une demi-heure et puisque Goiorani et Son se montraient efficaces, Nîmes conservait son avance à la pause (12-7) et la faisait grandir par la suite avec Bulleux (5 buts en seconde période) et Carrat (19-10, 37e). Une bonne Colic (12 arrêts) permettait aux siennes de gérer tranquillement jusqu'à terme, à l'exception d'un 4-0 final passé par l'OGCN qui rendait la défaite plus honorable (25-22).

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TOULON/SAINT-CYR VAR HANDBALL - ES BESANCON FEMININ

25 - 27 (MT : 8-18)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 30/01/2016 à 20:00:00
Lieu :
Palais des Sports de Toulon
420 avenue Amiral Aube
TOULON

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FLEURY LOIRET HANDBALL - NANTES LOIRE ATLANTIQUE HB

24 - 29 (MT : 13-10)
Statistiques du match
Date et Heure :
Le 31/01/2016 à 17:00:00
Lieu :
Gymnase Albert Auger
8 , rue Pablo Picasso
FLEURY LES AUBRAIS

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HANDBALL CERCLE NIMES - OGC NICE COTE D'AZUR HANDBALL

25 - 22 (MT : 12-7)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 31/01/2016 à 16:00:00
Lieu :
Le Parnasse
160 Avenue du Languedoc
Route de St Gilles
NIMES

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ISSY PARIS HAND  - METZ HANDBALL

20 - 32 (MT : 12-17)
Statistiques du match

Date et Heure :
Le 31/01/2016 à 16:00:00
Lieu :
ROBERT-CHARPENTIER
4/6 BD DES FRERES-VOISINS
ISSY LES MOULINEAUX

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Laurent Hoppe (à Fleury) et