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La Coupe sert aussi à engranger de la confiance

Coupe de France

dimanche 26 février 2017 - © Yves Michel

 12 min 49 de lecture

La logique a été respectée en 8èmes de finale de la coupe de France masculine nationale et même si sur certaines rencontres, le money-time a été très disputé, 8 clubs de Lidl Star Ligue se retrouveront au tour suivant. A la surprise générale, le PSG n’y sera pas. Le tirage des quarts: Montpellier-Aix, Toulouse-Dunkerque, St Raphaël-Chambéry, Nantes-Créteil.

par Yves MICHEL

Si la Coupe de France est d’année en année, objet de convoitise pour certains, elle permet à d’autres qui n’en ont pas fait un objectif majeur, de reprendre leurs marques après soit une passe difficile, soit des ajustements nécessaires tactiquement. Créteil, avant dernier de Lidl Star Ligue qui compte encore deux points à rattraper sur les deux 1ers non relégables (Dunkerque et Cesson) s’est donc qualifié aux dépens de Massy, le voisin de Proligue en prenant l’ascendant en 2ème période après avoir été bien remué dans les trente premières et être tombé sur un gardien,  Perisic en grande réussite. « Si la coupe ne fait pas partie des objectifs du club cette saison, conçoit Christophe Mazel, ce n’était pas dans nos projets de se faire sortir par un adversaire hiérarchiquement inférieur. Ce genre de confrontation nous permet aussi de nous étalonner mais au-delà de ça, c’était important de faire un bon match par rapport au calendrier et toutes les plumes qu’on pourrait perdre sur le plan comptable, déjà avec ce qui nous attend. » Un programme en effet majuscule puisque mercredi, l’USC accueillera le PSG avant de se déplacer à Nantes. D’où l’importance de l’attitude à adopter dans un tel contexte, accepter de laisser passer l’orage en attendant des jours meilleurs et des adversaires plus abordables. « Notre facteur limitant doit être le rapport de force. On ne doit surtout pas sombrer dans le doute. J’attacherai une grande importance à la manière avec laquelle nous négocierons ces deux rencontres même si le pronostic ne nous est pas favorable. » Pour Créteil, la coupe c’est bien mais on l’aura compris, l’essentiel n’est pas là. Le maintien est beaucoup plus important. Attaquer aussi par un succès à Ivry dès la trêve a été aussi très bien perçu. « Cela faisait 13 ans qu’on ne s’était pas imposé là-bas et une défaite aurait été sans doute irréversible pour la suite. » Le renouveau cristolien coïncide également avec l’arrivée de l’arrière gauche portugais Nuno Grilo Pereira (notre photo de tête). La bonne pioche de l’USC pendant la trêve. « Ce recrutement est intéressant, tant au niveau de la qualité du joueur mais aussi son état d’esprit. D’entrée, il a insufflé quelque chose, on l’a bien vu à Ivry (5 buts et samedi, 6 à Massy). Il est pour beaucoup dans le changement de comportement, le côté défaitiste qui habitait certains. En plus, il a tenu à s’engager longtemps (jusqu’en 2019). Ça montre qu’il ne pense pas qu’à lui. » Le technicien cristolien reste pragmatique et sait que la marge de manœuvre de son équipe est très étroite. Il aura deux jours pour préparer le rendez-vous parisien. Face à une formation qui reste parmi les meilleures d’Europe mais qui en ce moment, est loin d’être séduisante, n'est-ce pas le bon moment pour l’affronter ? « On a toujours un espoir, quel que soit le contexte, après, Paris est outillé pour retrouver une autre stature et puis on n’est pas Montpellier. » Créteil a désormais 11 journées pour convaincre... ou trépasser.  

Le coup de tonnerre de ce tour de coupe de France est donc venu du revers parisien à domicile face à Montpellier. « Il ne faut pas se voiler la face, insiste en grand témoin, Daniel Costantini. Paris a été atteint au plus profond même si Montpellier a fait un gros match et que tactiquement, Patrice Canayer a été au sommet de son art. » Symbole de la faillite du PSG, la prestation de Thierry Omeyer. Depuis la fin du Mondial et ses contre-performances à Bercy, le gardien international n’a pas retrouvé sa plénitude. Encore samedi, face aux modestes Suisses de Schaffhausen (derniers du groupe) en Ligue des Champions, il s’est montré en déficit de confiance (2 arrêts sur 12). « C’est mental et quand tu arrives à son âge avec tout ce qui a pu être accumulé jusque-là, tu te poses beaucoup plus de questions que lorsque tu étais junior, analyse l’ancien patron des Bleus. Et pour retrouver la confiance, l’environnement dont il bénéficie au PSG n’est pas très efficace en la matière.  Et un gardien quand il doute, ce n’est jamais bon. » Sans le PSG, la coupe de France semble plus ouverte même si désormais, Montpellier fait figure d’équipe à (a)battre. « Si on doit faire des pronostics, la côte de Montpellier pour désigner un prétendant à Bercy ne va pas être très haute. Maintenant, c’est vrai, cela peut paraître plus ouvert. Cela peut donner des idées à certains. » Ne serait-ce que faire le plein de confiance pour ceux qui étaient juste avant en fâcheuse posture en championnat, une victoire en coupe peut être salvatrice. Il y a le cas de Créteil mais aussi celui de Cesson par exemple qui n’a pas su renverser la tendance vendredi à domicile face à Toulouse qui comme en championnat la semaine précédente, s’est imposé d’un tout petit but. « Créteil-Cesson, deux situations opposées mais Cesson n’a vraiment pas de veine face à Toulouse. Je dirai que quand Gardent a pris la mesure d’une équipe il est très bon pour récidiver juste derrière. A Cesson, ça doit gamberger, alors qu’à Créteil, on doit se montrer plus satisfait. On sait que ces clubs là ont besoin de bien travailler à l’entraînement pour être bons et pour se faire, il vaut mieux que les joueurs aient le moral. »  Moralité : il valait mieux passer en quarts de finale de coupe de France que le contraire.



Nantes n’a pas eu à forcer son talent pour le faire et a compté sur sa classe jeunes avec la brillante prestation de Romain Lagarde (8 buts - notre photo) et le non moins talentueux comportement de Nicolas Tournat (7 réalisations) au détriment de Dijon porté par son buteur Pierrick Naudin (12). Le "H" a du accélérer la cadence dans les dix dernières minutes puisqu'après avoir fait la course en tête jusque-là, les Bourguignons sont passés devant. (28-27). Il faudra surtout un cavalier seul des hommes de Thierry Anti et un rédhibitoire 0-6 pour mettre ceux de Jackson Richardson définitivement à distance.  

Pour Aix, le vent du boulet n’a pas été une illusion puisque Billère animé par un grand Tabarand dans les cages, a poussé les partenaires de Jérôme Fernandez dans leurs derniers retranchements et surtout à la séance de tirs au but. Et ce, malgré une avance de deux longueurs dans le money-time. Là aussi, les deux jeunes Minne et Loesch ont parachevé l’œuvre provençale ponctuée par un arrêt déterminant du portier autrichien Thomas Bauer.

Sur le papier, le rapport de force était déséquilibré entre Vernon (Nationale 1) et Dunkerque, club de l’élite qui a remporté la coupe en 2011 mais qui n’affiche pas cette saison, une assurance et une régularité à toute épreuve. Le retour de Guillaume Joli dans les rangs nordistes  n’est pas anodin et au diapason de Nicolas Nieto (6 buts également) et Kornel Nagy (5), l’ailier international a montré la voie dans une épreuve que son équipe affectionne au plus haut point. Ceci étant et même si l’USDK est aussi qualifiée pour le Final Four de la Coupe de la Ligue (à Reims, les 7 et 8 avril prochains), l’objectif demeure le maintien en championnat, ce qui n’est pas encore acquis.

A Chambéry, Julien Meyer n'a eu aucune pitié pour ses anciens coéquipiers. Les Savoyards se sont largement imposés et ont donc éliminé Sélestat. Le gardien de buts a été déterminant notamment dans les vingt dernières minutes lorsque les Alsaciens étaient encore dans le match. Chambéry a pris le large à l'entame du dernier quart d'heure en infligeant un 6-0 qui a mis définitivement fin aux espoirs des hommes de Christian Gaudin (26-18 à la 51ème). Chambéry a géré son avance jusqu'au terme (29-20).

Après avoir bien résisté et même pris une avance conséquente en fin de 1ère période (11-15 à la 26ème), Nîmes n'a pas réussi à tenir le rythme face à St Raphaël. Sous l'impulsion d'un Simicu très mobile et inspiré, les Azuréens sont revenus au score en début de second acte (16-16), sont passés devant pour ne jamais plus être débordés et terminer quasiment en roue libre (31-25).

Sauf pour le PSG (et encore ! car Montpellier pourrait être la belle surprise de cette 2ème partie de saison), la logique a été respectée et cela promet un sacré prochain tour.  

Les quarts de finale de la Coupe de France auront lieu les 18 et 19 mars.

Montpellier

Pays d'Aix

Fenix Toulouse

Dunkerque

St Raphaël

Chambéry

Nantes

Créteil


Le diaporama du 8ème Cesson-Toulouse par Philippe Riou



CESSON RENNES MHB - FENIX TOULOUSE       26 - 27  (MT: 11-17)

Statistiques du match

*****************************

BILLERE HPP - PAYS D'AIX UC     31 - 32  (MT: 14-16 / 28-28 / 3-4 t.a.b)

Statistiques du match

*****************************

DIJON BOURGOGNE H.B. - HBC NANTES                 29 - 33  (MT: 11-17)

Statistiques du match

*****************************

MASSY ESSONNE HB - US CRETEIL                     24 - 31  (MT: 13-12)

Statistiques du match

*****************************

SMV VERNON ST MARCEL - DUNKERQUE HGL     21 - 24  (MT: 12-11)

Statistiques du match

*****************************

CHAMBERY SMBHB - SELESTAT ALSACE HB           29 - 20  (MT: 15-12)

Statistiques du match

*****************************

ST RAPHAEL VHB - USAM NIMES GARD                31 - 25  (MT: 14-15)

Statistiques du match

La Coupe sert aussi à engranger de la confiance  

Coupe de France

dimanche 26 février 2017 - © Yves Michel

 12 min 49 de lecture

La logique a été respectée en 8èmes de finale de la coupe de France masculine nationale et même si sur certaines rencontres, le money-time a été très disputé, 8 clubs de Lidl Star Ligue se retrouveront au tour suivant. A la surprise générale, le PSG n’y sera pas. Le tirage des quarts: Montpellier-Aix, Toulouse-Dunkerque, St Raphaël-Chambéry, Nantes-Créteil.

par Yves MICHEL

Si la Coupe de France est d’année en année, objet de convoitise pour certains, elle permet à d’autres qui n’en ont pas fait un objectif majeur, de reprendre leurs marques après soit une passe difficile, soit des ajustements nécessaires tactiquement. Créteil, avant dernier de Lidl Star Ligue qui compte encore deux points à rattraper sur les deux 1ers non relégables (Dunkerque et Cesson) s’est donc qualifié aux dépens de Massy, le voisin de Proligue en prenant l’ascendant en 2ème période après avoir été bien remué dans les trente premières et être tombé sur un gardien,  Perisic en grande réussite. « Si la coupe ne fait pas partie des objectifs du club cette saison, conçoit Christophe Mazel, ce n’était pas dans nos projets de se faire sortir par un adversaire hiérarchiquement inférieur. Ce genre de confrontation nous permet aussi de nous étalonner mais au-delà de ça, c’était important de faire un bon match par rapport au calendrier et toutes les plumes qu’on pourrait perdre sur le plan comptable, déjà avec ce qui nous attend. » Un programme en effet majuscule puisque mercredi, l’USC accueillera le PSG avant de se déplacer à Nantes. D’où l’importance de l’attitude à adopter dans un tel contexte, accepter de laisser passer l’orage en attendant des jours meilleurs et des adversaires plus abordables. « Notre facteur limitant doit être le rapport de force. On ne doit surtout pas sombrer dans le doute. J’attacherai une grande importance à la manière avec laquelle nous négocierons ces deux rencontres même si le pronostic ne nous est pas favorable. » Pour Créteil, la coupe c’est bien mais on l’aura compris, l’essentiel n’est pas là. Le maintien est beaucoup plus important. Attaquer aussi par un succès à Ivry dès la trêve a été aussi très bien perçu. « Cela faisait 13 ans qu’on ne s’était pas imposé là-bas et une défaite aurait été sans doute irréversible pour la suite. » Le renouveau cristolien coïncide également avec l’arrivée de l’arrière gauche portugais Nuno Grilo Pereira (notre photo de tête). La bonne pioche de l’USC pendant la trêve. « Ce recrutement est intéressant, tant au niveau de la qualité du joueur mais aussi son état d’esprit. D’entrée, il a insufflé quelque chose, on l’a bien vu à Ivry (5 buts et samedi, 6 à Massy). Il est pour beaucoup dans le changement de comportement, le côté défaitiste qui habitait certains. En plus, il a tenu à s’engager longtemps (jusqu’en 2019). Ça montre qu’il ne pense pas qu’à lui. » Le technicien cristolien reste pragmatique et sait que la marge de manœuvre de son équipe est très étroite. Il aura deux jours pour préparer le rendez-vous parisien. Face à une formation qui reste parmi les meilleures d’Europe mais qui en ce moment, est loin d’être séduisante, n'est-ce pas le bon moment pour l’affronter ? « On a toujours un espoir, quel que soit le contexte, après, Paris est outillé pour retrouver une autre stature et puis on n’est pas Montpellier. » Créteil a désormais 11 journées pour convaincre... ou trépasser.  

Le coup de tonnerre de ce tour de coupe de France est donc venu du revers parisien à domicile face à Montpellier. « Il ne faut pas se voiler la face, insiste en grand témoin, Daniel Costantini. Paris a été atteint au plus profond même si Montpellier a fait un gros match et que tactiquement, Patrice Canayer a été au sommet de son art. » Symbole de la faillite du PSG, la prestation de Thierry Omeyer. Depuis la fin du Mondial et ses contre-performances à Bercy, le gardien international n’a pas retrouvé sa plénitude. Encore samedi, face aux modestes Suisses de Schaffhausen (derniers du groupe) en Ligue des Champions, il s’est montré en déficit de confiance (2 arrêts sur 12). « C’est mental et quand tu arrives à son âge avec tout ce qui a pu être accumulé jusque-là, tu te poses beaucoup plus de questions que lorsque tu étais junior, analyse l’ancien patron des Bleus. Et pour retrouver la confiance, l’environnement dont il bénéficie au PSG n’est pas très efficace en la matière.  Et un gardien quand il doute, ce n’est jamais bon. » Sans le PSG, la coupe de France semble plus ouverte même si désormais, Montpellier fait figure d’équipe à (a)battre. « Si on doit faire des pronostics, la côte de Montpellier pour désigner un prétendant à Bercy ne va pas être très haute. Maintenant, c’est vrai, cela peut paraître plus ouvert. Cela peut donner des idées à certains. » Ne serait-ce que faire le plein de confiance pour ceux qui étaient juste avant en fâcheuse posture en championnat, une victoire en coupe peut être salvatrice. Il y a le cas de Créteil mais aussi celui de Cesson par exemple qui n’a pas su renverser la tendance vendredi à domicile face à Toulouse qui comme en championnat la semaine précédente, s’est imposé d’un tout petit but. « Créteil-Cesson, deux situations opposées mais Cesson n’a vraiment pas de veine face à Toulouse. Je dirai que quand Gardent a pris la mesure d’une équipe il est très bon pour récidiver juste derrière. A Cesson, ça doit gamberger, alors qu’à Créteil, on doit se montrer plus satisfait. On sait que ces clubs là ont besoin de bien travailler à l’entraînement pour être bons et pour se faire, il vaut mieux que les joueurs aient le moral. »  Moralité : il valait mieux passer en quarts de finale de coupe de France que le contraire.



Nantes n’a pas eu à forcer son talent pour le faire et a compté sur sa classe jeunes avec la brillante prestation de Romain Lagarde (8 buts - notre photo) et le non moins talentueux comportement de Nicolas Tournat (7 réalisations) au détriment de Dijon porté par son buteur Pierrick Naudin (12). Le "H" a du accélérer la cadence dans les dix dernières minutes puisqu'après avoir fait la course en tête jusque-là, les Bourguignons sont passés devant. (28-27). Il faudra surtout un cavalier seul des hommes de Thierry Anti et un rédhibitoire 0-6 pour mettre ceux de Jackson Richardson définitivement à distance.  

Pour Aix, le vent du boulet n’a pas été une illusion puisque Billère animé par un grand Tabarand dans les cages, a poussé les partenaires de Jérôme Fernandez dans leurs derniers retranchements et surtout à la séance de tirs au but. Et ce, malgré une avance de deux longueurs dans le money-time. Là aussi, les deux jeunes Minne et Loesch ont parachevé l’œuvre provençale ponctuée par un arrêt déterminant du portier autrichien Thomas Bauer.

Sur le papier, le rapport de force était déséquilibré entre Vernon (Nationale 1) et Dunkerque, club de l’élite qui a remporté la coupe en 2011 mais qui n’affiche pas cette saison, une assurance et une régularité à toute épreuve. Le retour de Guillaume Joli dans les rangs nordistes  n’est pas anodin et au diapason de Nicolas Nieto (6 buts également) et Kornel Nagy (5), l’ailier international a montré la voie dans une épreuve que son équipe affectionne au plus haut point. Ceci étant et même si l’USDK est aussi qualifiée pour le Final Four de la Coupe de la Ligue (à Reims, les 7 et 8 avril prochains), l’objectif demeure le maintien en championnat, ce qui n’est pas encore acquis.

A Chambéry, Julien Meyer n'a eu aucune pitié pour ses anciens coéquipiers. Les Savoyards se sont largement imposés et ont donc éliminé Sélestat. Le gardien de buts a été déterminant notamment dans les vingt dernières minutes lorsque les Alsaciens étaient encore dans le match. Chambéry a pris le large à l'entame du dernier quart d'heure en infligeant un 6-0 qui a mis définitivement fin aux espoirs des hommes de Christian Gaudin (26-18 à la 51ème). Chambéry a géré son avance jusqu'au terme (29-20).

Après avoir bien résisté et même pris une avance conséquente en fin de 1ère période (11-15 à la 26ème), Nîmes n'a pas réussi à tenir le rythme face à St Raphaël. Sous l'impulsion d'un Simicu très mobile et inspiré, les Azuréens sont revenus au score en début de second acte (16-16), sont passés devant pour ne jamais plus être débordés et terminer quasiment en roue libre (31-25).

Sauf pour le PSG (et encore ! car Montpellier pourrait être la belle surprise de cette 2ème partie de saison), la logique a été respectée et cela promet un sacré prochain tour.  

Les quarts de finale de la Coupe de France auront lieu les 18 et 19 mars.

Montpellier

Pays d'Aix

Fenix Toulouse

Dunkerque

St Raphaël

Chambéry

Nantes

Créteil


Le diaporama du 8ème Cesson-Toulouse par Philippe Riou



CESSON RENNES MHB - FENIX TOULOUSE       26 - 27  (MT: 11-17)

Statistiques du match

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BILLERE HPP - PAYS D'AIX UC     31 - 32  (MT: 14-16 / 28-28 / 3-4 t.a.b)

Statistiques du match

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DIJON BOURGOGNE H.B. - HBC NANTES                 29 - 33  (MT: 11-17)

Statistiques du match

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MASSY ESSONNE HB - US CRETEIL                     24 - 31  (MT: 13-12)

Statistiques du match

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SMV VERNON ST MARCEL - DUNKERQUE HGL     21 - 24  (MT: 12-11)

Statistiques du match

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CHAMBERY SMBHB - SELESTAT ALSACE HB           29 - 20  (MT: 15-12)

Statistiques du match

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ST RAPHAEL VHB - USAM NIMES GARD                31 - 25  (MT: 14-15)

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