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Philippe Gardent n'aime plus voyager

France

mardi 23 mars 2021 - © Yves Michel

 1 min 36 de lecture

Après Toulouse qu'il quittera à la fin de la saison, c'est à Bruges en... Gironde (et non en Belgique) que Philippe Gardent a choisi de s'arrêter. L'ancien Barjot ne part pas très loin et va s'engager dans un vaste projet de construction d'un club de très haut niveau masculin en Aquitaine.

Après Chambéry, Paris et Toulouse, direction l’Aquitaine pour Philippe Gardent. L’information a été confirmée ce mardi dans les colonnes du journal « Sud Ouest ». L’ancien pivot de l’équipe de France s’inscrit dans un projet à long terme bâti autour du club de Bruges en Gironde qui cette saison, avant l’arrêt complet des compétitions dû à la Covid, évoluait en Nationale 1. Le club qui devrait repartir dans ce même championnat à la rentrée en septembre, sera bientôt présidé par Jean-Paul Onillon, l’ancien patron du Paris Handball (qu’il avait cédé aux Qataris pour devenir le PSG Handball). Selon le quotidien régional, l’idée du chef d’entreprise est de déposer dans les prochaines semaines une demande de statut VAP en vue d’accéder a minima au terme de la saison 2021-2022 à la Proligue et de viser ensuite l’élite. Un budget à la hauteur du projet est en train d’être dressé, des recrutements sont sur le point d’être finalisés. 

Philippe Gardent qui se retrouve libre de tout engagement puisque son contrat avec le Fénix Toulouse prend fin en juillet, devrait avoir un rôle de manager général au sein de la structure qui à terme est appelée à dépasser le cadre de la commune de Bruges. 

A 57 ans, l’ancien Barjot champion du monde en 1995 se lance un nouveau défi. Cela va le ramener plus de deux décennies en arrière, lorsqu’il débarquait à Chambéry. Les Savoyards évoluaient déjà dans la cour des Grands mais sous sa direction, le club a connu une progression qui l’a installé au plus haut niveau de la hiérarchie française. 

Philippe Gardent n'aime plus voyager  

France

mardi 23 mars 2021 - © Yves Michel

 1 min 36 de lecture

Après Toulouse qu'il quittera à la fin de la saison, c'est à Bruges en... Gironde (et non en Belgique) que Philippe Gardent a choisi de s'arrêter. L'ancien Barjot ne part pas très loin et va s'engager dans un vaste projet de construction d'un club de très haut niveau masculin en Aquitaine.

Après Chambéry, Paris et Toulouse, direction l’Aquitaine pour Philippe Gardent. L’information a été confirmée ce mardi dans les colonnes du journal « Sud Ouest ». L’ancien pivot de l’équipe de France s’inscrit dans un projet à long terme bâti autour du club de Bruges en Gironde qui cette saison, avant l’arrêt complet des compétitions dû à la Covid, évoluait en Nationale 1. Le club qui devrait repartir dans ce même championnat à la rentrée en septembre, sera bientôt présidé par Jean-Paul Onillon, l’ancien patron du Paris Handball (qu’il avait cédé aux Qataris pour devenir le PSG Handball). Selon le quotidien régional, l’idée du chef d’entreprise est de déposer dans les prochaines semaines une demande de statut VAP en vue d’accéder a minima au terme de la saison 2021-2022 à la Proligue et de viser ensuite l’élite. Un budget à la hauteur du projet est en train d’être dressé, des recrutements sont sur le point d’être finalisés. 

Philippe Gardent qui se retrouve libre de tout engagement puisque son contrat avec le Fénix Toulouse prend fin en juillet, devrait avoir un rôle de manager général au sein de la structure qui à terme est appelée à dépasser le cadre de la commune de Bruges. 

A 57 ans, l’ancien Barjot champion du monde en 1995 se lance un nouveau défi. Cela va le ramener plus de deux décennies en arrière, lorsqu’il débarquait à Chambéry. Les Savoyards évoluaient déjà dans la cour des Grands mais sous sa direction, le club a connu une progression qui l’a installé au plus haut niveau de la hiérarchie française. 

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