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Domination sans partage de la France

Mondial

mercredi 18 janvier 2023 - © Yves Michel

 7 min 36 de lecture

Avec Vincent Gérard en état de grâce (15 arrêts), Elohim Prandi volontaire et altruiste, Melvyn Richardson d’une efficacité métronomique (10 buts), les Français ont parfaitement réussi leur entrée dans le Tour Principal du Mondial. Ils ont dominé le Monténégro (35-24) qui a tenté de leur opposer en vain, le défi physique. Le bilan est positif pour des Tricolores très sereins. Guillaume Gille a pu utiliser toute la profondeur de son banc. L’aventure se poursuit, avec comme prochain adversaire, vendredi, l’Iran.

Les Bleus ont réalisé la prestation qu’on attendait d’eux. Avec une 1ère période pour se jauger où tout n’a pas été parfait et une seconde pour capitaliser mais surtout pour se faire plaisir dans les intentions. Le Monténégro voulait laver l’affront subi l’an dernier à l’Euro (défaite de -9), c’est raté, les Français ont même corsé l’addition (35-24) !  

Il y a eu donc cette 1ère mi-temps où très rapidement Vincent Gérard a montré qu’il était dans un grand jour. Malgré quelques flottements dans sa défense, le Raphaélois est entré petit à petit dans la tête de ses adversaires. Milos Vujovic se souviendra longtemps de la sale journée qu’il a passée. Co-meilleur buteur monténégrin, il termine à 0/4 mais surtout en ayant été par deux fois en échec à 7 mètres face au portier tricolore. Le bilan n’est pas plus brillant pour l’autre artificier de l’équipe, Branko Vujovic. Trois petits buts à seulement 30%. Vincent Gérard est l’assurance tous risques du groupe France. Surtout quand la défense s’offre quelques libertés. Rien de bien conséquent puisque même quand leur adversaire n’était pas très loin au score, les Tricolores ont toujours dominé leur sujet. S’ils vont faire un 1er break au quart d’heure, on peut leur reprocher un excès de précipitation, quelques maladresses et un manque de précision dans la finition. C’est finalement ce qui va permettre aux joueurs des Balkans de rester au contact. Leur crédit de cinq longueurs consolidé à dix minutes de la pause, les hommes de Guillaume Gille vont le dilapider par la suite notamment sur des montées de balle mal conclues. Melvyn Richardson qui sur son entrée en jeu avait loupé son 1er tir, ne va plus rien laisser trainer. Le ‘’Barcelonais’’ va ramasser jusqu’à la moindre miette et martyriser Nebosja Simic. En regagnant le vestiaire, les Français ne pouvaient être totalement satisfaits de leur prestation. Les 57% d’efficacité au tir étaient un gros caillou dans leurs souliers. Ils n’avaient que trois buts d’avance (16-13) et n’avaient pas envie de s’exposer. Les Monténégrins s’étaient montrés un peu plus efficaces qu’eux à 6 et 9 mètres. Il fallait changer la tendance. 

A la reprise, Guillaume Gille injectait du sang frais dans son couloir gauche avec l’apparition de Dylan Nahi et d’Elohim Prandi. L’arrière parisien est en quête de performance depuis le début de la compétition. Ses différentes prestations n’avaient guère convaincu. Sans céder au doute, il savait qu’il était capable de bien mieux. Avant de trouver le chemin des cages, il va surtout se montrer généreux. Créer des points de fixation et servir parfaitement ses partenaires. Melvyn Richardson en état d’apesanteur va en profiter. Sa fin de 1er acte avait été tonitruante, le début du second le sera tout autant. Au relais de Kentin Mahé à 7 mètres, il va soigner ses statistiques. Le fossé ne va cesser de se creuser entre une cohorte en mouvement et un adversaire complètement emporté par la vague bleue. En quelques minutes, le match était définitivement plié. Désormais, tous les 16 pouvaient participer à la fête. Et même si Matovic, va sortir en dix minutes, presque autant de parades que Simic, la France n’a pas perdu le cap et ceux qui étaient entrés, ont parfaitement rempli leur mission. A l’image de Rémi Desbonnet qui a profité de l’ambiance pendant un quart d’heure. Avec trois arrêts dont un 7 mètres et surtout une relance et une trajectoire directe dans les cages vides ! 

Dans ce Mondial, le plan de marche est balisé. Avant le rendez-vous le plus coriace dimanche face à l’Espagne, place dans deux jours à l’Iran. Si la logique est respectée, le scénario face aux hommes de Veselin Vujovic devrait être identique à celui de ce mercredi.  

Réactions dans le camp des Bleus...

Élohim Prandi (ARG): "On a fait le boulot. Un départ un peu mitigé au niveau défensif, mais il y avait des choses à régler. Vincent fait les arrêts qu’il faut, on a su intensifier notre défense, on trouve des solutions simples et efficaces en attaque. On peut dire que tout le monde est entré dans le vif du sujet. Je me sens bien, je me suis remis en question depuis la dernière fois, j’ai bossé avec Olivier Maurelli (le préparateur physique) et j’ai retrouvé des canes, j’ai retrouvé un peu de positif mentalement aussi… Je ne doute pas de moi, je sais que je peux ne pas être au niveau selon les gens qui me jugent. Je me sers de ça pour montrer autre chose." 

Vincent Gérard (gardien): "La fin de la première période n’est pas très satisfaisante, c’était un peu la soupe à la grimace dans le vestiaire. +3, on pensait vraiment qu’on pouvait faire mieux. Mais comme contre la Slovénie, on redémarre bien, et c’est important car les débuts de mi-temps sont toujours des moments charnières dans un match. Personnellement, je suis évidemment content. Quand on travaille le match, quand on le prépare en amont et que tout se passe bien, c’est forcément plaisant. C’est plaisant d’apporter à l’équipe mais il faut aussi se souvenir qu’il reste un paquet de matchs avant d’arriver à quelque chose."

Melvyn Richardson (ARD): "Dix buts, c’est peut-être un record, oui… C’était un match compliqué face à une équipe du Monténégro assez rugueuse, en plus dans un nouvel environnement qu’on ne connait pas trop. Mais on a su rester appliqué, ça nous a mis en confiance en attaque. A la mi-temps, on s’est parlé dans les vestiaires pour régler les quelques détails qui n’allaient pas. On a réussi, ce soir, à limiter au mieux les petits temps faibles." 

Tour principal – Groupe 1 – mercredi 18 janvier 2023
Tauron Arena,  Cracovie (Pologne)

FRANCE - MONTENEGRO          35-24   (MT : 16-13)

Arbitres :   Mirza Kurtagic & Mattias Wetterwik (Suède)

Evolution du score : 3-2 (5) 6-4 (10) 7-5 (15) 10-6 (20) 13-10 (25) 16-13 (MT) 19-14 (35) 23-17 (40) 26-18 (45) 28-19 (50) 32-23 (55) 35-24 (FIN)

Le récap' de ce mercredi (Tour Principal)

 G1

15h30 

Iran

 Slovénie

21-38

 G2

15h30 

Portugal

Brésil 

28-28

G2

18h 

Cap Vert 

Islande

30-40

G1 

18h 

 France 

Monténégro

35-24

G2

20h30 

Suède

Hongrie 

 37-28

G1

20h30

Espagne

 Pologne 

27-23

Dans le groupe 1, l'Iran (mais qui aurait pu penser le contraire ?) n'a pas existé face à la Slovénie qui n'a même pas eu à forcer son talent pour l'emporter. Largement (de 17 buts avec 79% d'efficacité au tir). Tout le banc slovène a participé à la rencontre avec pas plus de 38' pour Cehte qui est le joueur qui a été le plus utilisé. Avec un tout petit peu plus d'un quart d'heure passé sur le parquet, Domen Makuc, la pépite de Barcelone a réalisé un sans faute (6/6). Plus 8 à la 16è, +11 à la pause et à l'entrée des 45 dernières minutes, la Slovénie pour terminer sur une bonne note a passé un 10-2 au prochain adversaire, vendredi, des Français. 

Minimum syndical pour l'Espagne face à la Pologne  (lire ICI)

Dans le groupe 2, final quel que peu insolite pour Portugal-Brésil. A un peu plus d'une minute du terme, les deux équipes étaient dos à dos (27-27). Les Portugais qui sortaient de leur ultime temps mort vont trouver à 7 contre 6, la faille dans la défense adverse avec une combinaison déclenché par Rui Silva sur la base arrière, croisé avec André Gomes et à la conclusion, le gaucher de 17 ans Francisco Costa (28-27). Pendant les quelques secondes qui vont s'égrener, les Brésiliens ne vont pas parvenir à marquer. Les Lusitaniens s'étaient déjà réunis pour fêter ce succès très serré. Seulement voilà, les deux arbitres Julie et Charlotte Bonaventura, décidément aux aguets vont recourir à l'assistance de la vidéo. Alexis Borges coupable d'une position litigieuse (il n'était pas à 3m du coup franc brésilien) va être sanctionné d'un carton rouge. Pénalty pour le Brésil et Jean Pierre Dupoux (photo ci-dessus), le binational de cette équipe, l'ailier gauche de Pontault Combault ne tremblera pas face à Miguel Espinha, le portier de Cesson-Rennes. Cette décision a refroidi la joie des Portugais qui pensaient avoir fait une excellente opération au classement. Ils doivent partager les points et dans ce groupe où la Suède qui sera leur dernier adversaire dimanche, est déjà hors de portée, leur tâche se complique. Entre temps, ils devront se frotter à une autre sélection lusophone, le Cap Vert. 

Domination sans partage de la France  

Mondial

mercredi 18 janvier 2023 - © Yves Michel

 7 min 36 de lecture

Avec Vincent Gérard en état de grâce (15 arrêts), Elohim Prandi volontaire et altruiste, Melvyn Richardson d’une efficacité métronomique (10 buts), les Français ont parfaitement réussi leur entrée dans le Tour Principal du Mondial. Ils ont dominé le Monténégro (35-24) qui a tenté de leur opposer en vain, le défi physique. Le bilan est positif pour des Tricolores très sereins. Guillaume Gille a pu utiliser toute la profondeur de son banc. L’aventure se poursuit, avec comme prochain adversaire, vendredi, l’Iran.

Les Bleus ont réalisé la prestation qu’on attendait d’eux. Avec une 1ère période pour se jauger où tout n’a pas été parfait et une seconde pour capitaliser mais surtout pour se faire plaisir dans les intentions. Le Monténégro voulait laver l’affront subi l’an dernier à l’Euro (défaite de -9), c’est raté, les Français ont même corsé l’addition (35-24) !  

Il y a eu donc cette 1ère mi-temps où très rapidement Vincent Gérard a montré qu’il était dans un grand jour. Malgré quelques flottements dans sa défense, le Raphaélois est entré petit à petit dans la tête de ses adversaires. Milos Vujovic se souviendra longtemps de la sale journée qu’il a passée. Co-meilleur buteur monténégrin, il termine à 0/4 mais surtout en ayant été par deux fois en échec à 7 mètres face au portier tricolore. Le bilan n’est pas plus brillant pour l’autre artificier de l’équipe, Branko Vujovic. Trois petits buts à seulement 30%. Vincent Gérard est l’assurance tous risques du groupe France. Surtout quand la défense s’offre quelques libertés. Rien de bien conséquent puisque même quand leur adversaire n’était pas très loin au score, les Tricolores ont toujours dominé leur sujet. S’ils vont faire un 1er break au quart d’heure, on peut leur reprocher un excès de précipitation, quelques maladresses et un manque de précision dans la finition. C’est finalement ce qui va permettre aux joueurs des Balkans de rester au contact. Leur crédit de cinq longueurs consolidé à dix minutes de la pause, les hommes de Guillaume Gille vont le dilapider par la suite notamment sur des montées de balle mal conclues. Melvyn Richardson qui sur son entrée en jeu avait loupé son 1er tir, ne va plus rien laisser trainer. Le ‘’Barcelonais’’ va ramasser jusqu’à la moindre miette et martyriser Nebosja Simic. En regagnant le vestiaire, les Français ne pouvaient être totalement satisfaits de leur prestation. Les 57% d’efficacité au tir étaient un gros caillou dans leurs souliers. Ils n’avaient que trois buts d’avance (16-13) et n’avaient pas envie de s’exposer. Les Monténégrins s’étaient montrés un peu plus efficaces qu’eux à 6 et 9 mètres. Il fallait changer la tendance. 

A la reprise, Guillaume Gille injectait du sang frais dans son couloir gauche avec l’apparition de Dylan Nahi et d’Elohim Prandi. L’arrière parisien est en quête de performance depuis le début de la compétition. Ses différentes prestations n’avaient guère convaincu. Sans céder au doute, il savait qu’il était capable de bien mieux. Avant de trouver le chemin des cages, il va surtout se montrer généreux. Créer des points de fixation et servir parfaitement ses partenaires. Melvyn Richardson en état d’apesanteur va en profiter. Sa fin de 1er acte avait été tonitruante, le début du second le sera tout autant. Au relais de Kentin Mahé à 7 mètres, il va soigner ses statistiques. Le fossé ne va cesser de se creuser entre une cohorte en mouvement et un adversaire complètement emporté par la vague bleue. En quelques minutes, le match était définitivement plié. Désormais, tous les 16 pouvaient participer à la fête. Et même si Matovic, va sortir en dix minutes, presque autant de parades que Simic, la France n’a pas perdu le cap et ceux qui étaient entrés, ont parfaitement rempli leur mission. A l’image de Rémi Desbonnet qui a profité de l’ambiance pendant un quart d’heure. Avec trois arrêts dont un 7 mètres et surtout une relance et une trajectoire directe dans les cages vides ! 

Dans ce Mondial, le plan de marche est balisé. Avant le rendez-vous le plus coriace dimanche face à l’Espagne, place dans deux jours à l’Iran. Si la logique est respectée, le scénario face aux hommes de Veselin Vujovic devrait être identique à celui de ce mercredi.  

Réactions dans le camp des Bleus...

Élohim Prandi (ARG): "On a fait le boulot. Un départ un peu mitigé au niveau défensif, mais il y avait des choses à régler. Vincent fait les arrêts qu’il faut, on a su intensifier notre défense, on trouve des solutions simples et efficaces en attaque. On peut dire que tout le monde est entré dans le vif du sujet. Je me sens bien, je me suis remis en question depuis la dernière fois, j’ai bossé avec Olivier Maurelli (le préparateur physique) et j’ai retrouvé des canes, j’ai retrouvé un peu de positif mentalement aussi… Je ne doute pas de moi, je sais que je peux ne pas être au niveau selon les gens qui me jugent. Je me sers de ça pour montrer autre chose." 

Vincent Gérard (gardien): "La fin de la première période n’est pas très satisfaisante, c’était un peu la soupe à la grimace dans le vestiaire. +3, on pensait vraiment qu’on pouvait faire mieux. Mais comme contre la Slovénie, on redémarre bien, et c’est important car les débuts de mi-temps sont toujours des moments charnières dans un match. Personnellement, je suis évidemment content. Quand on travaille le match, quand on le prépare en amont et que tout se passe bien, c’est forcément plaisant. C’est plaisant d’apporter à l’équipe mais il faut aussi se souvenir qu’il reste un paquet de matchs avant d’arriver à quelque chose."

Melvyn Richardson (ARD): "Dix buts, c’est peut-être un record, oui… C’était un match compliqué face à une équipe du Monténégro assez rugueuse, en plus dans un nouvel environnement qu’on ne connait pas trop. Mais on a su rester appliqué, ça nous a mis en confiance en attaque. A la mi-temps, on s’est parlé dans les vestiaires pour régler les quelques détails qui n’allaient pas. On a réussi, ce soir, à limiter au mieux les petits temps faibles." 

Tour principal – Groupe 1 – mercredi 18 janvier 2023
Tauron Arena,  Cracovie (Pologne)

FRANCE - MONTENEGRO          35-24   (MT : 16-13)

Arbitres :   Mirza Kurtagic & Mattias Wetterwik (Suède)

Evolution du score : 3-2 (5) 6-4 (10) 7-5 (15) 10-6 (20) 13-10 (25) 16-13 (MT) 19-14 (35) 23-17 (40) 26-18 (45) 28-19 (50) 32-23 (55) 35-24 (FIN)

Le récap' de ce mercredi (Tour Principal)

 G1

15h30 

Iran

 Slovénie

21-38

 G2

15h30 

Portugal

Brésil 

28-28

G2

18h 

Cap Vert 

Islande

30-40

G1 

18h 

 France 

Monténégro

35-24

G2

20h30 

Suède

Hongrie 

 37-28

G1

20h30

Espagne

 Pologne 

27-23

Dans le groupe 1, l'Iran (mais qui aurait pu penser le contraire ?) n'a pas existé face à la Slovénie qui n'a même pas eu à forcer son talent pour l'emporter. Largement (de 17 buts avec 79% d'efficacité au tir). Tout le banc slovène a participé à la rencontre avec pas plus de 38' pour Cehte qui est le joueur qui a été le plus utilisé. Avec un tout petit peu plus d'un quart d'heure passé sur le parquet, Domen Makuc, la pépite de Barcelone a réalisé un sans faute (6/6). Plus 8 à la 16è, +11 à la pause et à l'entrée des 45 dernières minutes, la Slovénie pour terminer sur une bonne note a passé un 10-2 au prochain adversaire, vendredi, des Français. 

Minimum syndical pour l'Espagne face à la Pologne  (lire ICI)

Dans le groupe 2, final quel que peu insolite pour Portugal-Brésil. A un peu plus d'une minute du terme, les deux équipes étaient dos à dos (27-27). Les Portugais qui sortaient de leur ultime temps mort vont trouver à 7 contre 6, la faille dans la défense adverse avec une combinaison déclenché par Rui Silva sur la base arrière, croisé avec André Gomes et à la conclusion, le gaucher de 17 ans Francisco Costa (28-27). Pendant les quelques secondes qui vont s'égrener, les Brésiliens ne vont pas parvenir à marquer. Les Lusitaniens s'étaient déjà réunis pour fêter ce succès très serré. Seulement voilà, les deux arbitres Julie et Charlotte Bonaventura, décidément aux aguets vont recourir à l'assistance de la vidéo. Alexis Borges coupable d'une position litigieuse (il n'était pas à 3m du coup franc brésilien) va être sanctionné d'un carton rouge. Pénalty pour le Brésil et Jean Pierre Dupoux (photo ci-dessus), le binational de cette équipe, l'ailier gauche de Pontault Combault ne tremblera pas face à Miguel Espinha, le portier de Cesson-Rennes. Cette décision a refroidi la joie des Portugais qui pensaient avoir fait une excellente opération au classement. Ils doivent partager les points et dans ce groupe où la Suède qui sera leur dernier adversaire dimanche, est déjà hors de portée, leur tâche se complique. Entre temps, ils devront se frotter à une autre sélection lusophone, le Cap Vert. 

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Le match

 mercredi 18 janvier 2023

Joueurs du match

 Top Joueur
Eval : 25 | Buts : 10 | Pd : 0 | Int : 0
 Top Gardien
Eval : 24 | Arr Tot : 15 / 30 (50 %)

Résultats de la dernière journée

Jour.  Equ Rec  Equ Vis  Score  Stats  Date 
#6 France Espagne 28 26 22/01/2023 21:00
#6 Monténégro Slovénie 23 31 22/01/2023 15:30
#6 Iran Pologne 22 26 22/01/2023 18:00

Prochaine journée

Journée  Equ Rec  Equ Vis  Date 
Aucune journée supplémentaire

Classement

Place Journée  Equipe  MJ  Vic  Nul  Déf 
1 France 10 5 5 0 0
2 Espagne 8 5 4 0 1
3 Slovénie 6 5 3 0 2
4 Pologne 4 5 2 0 3
5 Monténégro 2 5 1 0 4
6 Iran 0 5 0 0 5