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Euro U20M: Trois visas encore à délivrer pour le Tour principal

International

samedi 21 juillet 2018 - © Yves Michel

 50 min 12 de lecture

Avant l’ultime journée de la phase de groupe de l'Euro des moins de 20 ans, cinq équipes, la Slovénie, la Serbie, l'Espagne, la Croatie et le Portugal ont assuré leur qualification pour le tour principal. Trois tickets restent à attribuer. La France aimerait en décrocher un. Il lui faudra pour cela, battre le Danemark ce dimanche (17h) à Celje.

par Yves Michel, à Celje (Slovénie)

Dans le groupe C (celui avec lequel la France pourrait être amenée à croiser si elle décroche son ticket), l’Espagne et la Croatie ont passé pour la 2ème journée consécutive leurs obstacles respectifs. Comme à son habitude, l’Espagne a du se montrer patiente avant de prendre le large. Face à une défense russe bien regroupée, les hommes d’Isidoro Martinez ont souvent péché dans la finition provoquant la colère de l’entraîneur castillan. L’avance de deux buts à la pause reflète parfaitement la situation. Et puis à la reprise, sous l’impulsion de leur capitaine Ian Tarrafeta, les Ibères ont élevé leur niveau de jeu, tout en restant vulnérables. C’est dans ce second acte que s’est illustré le gardien Adrian Torres (notre photo de tête). Les Russes qui auraient pourtant pu réduire à maintes occasions le score, n’en ont pas profité. Soit en commettant de nombreuses fautes, soit en butant sur le portier d’Alcobendas. Même en infériorité numérique, la « Rojita » ne s’est jamais désunie et s’en est souvent sorti grâce à son jeu de transition et aux changements de rythme de l’ailier Mikel Amilibia. Le contrat est presque rempli pour les Espagnols (succès 28-20) qui attendent de pied ferme les Croates ce dimanche pour la finale du groupe. Le vainqueur de l’opposition basculera au tour principal avec deux points.

Examen réussi également pour la Croatie qui s’est imposée face à la Pologne (35-27). Portée par un Josip Sarac (notre photo) en pleine réussite (10 buts et désigné homme du match), les joueurs au maillot à damiers n’ont pris leurs aises qu’en fin de 1ère période (17-14). Perturbés par les accélérations adverses et une défense de plus en plus agressive, les Polonais ont alterné le bon et le moins bon dans le second acte et chacune des deux formations a eu sa période d’euphorie ponctuée par un 6-0 pour les Croates puis un 5-0 pour l’adversaire. Les partenaires de l’ancien et éphémère parisien Halil Jaganjac ont réagi de belle manière en terminant sur un irréversible 7-2. Soixante-deux buts en 60 minutes… c’était journée « portes ouvertes » à la Zlatorog Arena.

Ce dimanche donc, c’est presque un match pour le podium final qui attend l’Espagne et la Croatie. Les deux se connaissent parfaitement. Ce sera un remake de la demi-finale du Mondial 2017 en Géorgie où après une 1ère période très serrée, les Ibères avaient pris l’ascendant et s’étaient imposés (26-23). 


                                   Tilen Kosi est une des pépites de la sélection slovène

Dans le groupe B, la Slovénie et la Serbie qui se rencontrent ce dimanche, ne peuvent plus être rejointes. L’affrontement entre les deux favoris de la poule ne sera pas dénué d’intérêt puisque là aussi, le vainqueur démarrera le tour principal avec 2 points. Depuis jeudi, l’équipe du pays hôte a rempli son contrat. Contre le modeste Israël, lors du second rendez-vous, l’entraîneur Sasa Praprotnik avait décidé de ménager quelques cadres, une situation dont a profité l’adversaire qui d’entrée, a pris ses aises (6-3). Les Slovènes n’ont pas eu la tâche aisée puisqu’ils n’ont fait la différence que dans le money-time (28-24).

De son côté, la Serbie a battu la Norvège (30-27). Malgré une entame réussie et une 1ère période parfaitement maîtrisée (21-12 à la 34ème) au cours de laquelle le trio Pisaric-Maksic-Slavuljica (au total 8, 6 et 5 buts) s’est régalé devant le but adverse et le gardien Todor Jandric a montré toute l’étendue de son talent (18 arrêts), les Serbes ont relâché leur emprise, ce qui a permis aux Nordiques de refaire une partie de leur retard, sans pour autant revenir à hauteur. Seule ombre au tableau, la blessure dans le money-time du défenseur slave Milosavijevic. S’il devait manquer l’affiche dominicale face à la Slovénie, ce serait à coup sûr un sérieux handicap. L’an passé, lors du Mondial Jeunes en Géorgie, les deux équipes étaient dans la même poule et la Serbie s’était largement inclinée (23-36).



Reste donc deux groupes, le A et le D, où tout ou presque va se décider ce dimanche.

Dans le A, les équipes ont depuis jeudi joué au « chamboule-tout » car la vérité d’un jour, n’était plus celle du lendemain. L’exemple le plus criant est celui de l’Islande. Laminés (19-29) par la Roumanie (issue du tournoi de qualification) lors du match inaugural, les protégés de l’ancien Cristiolien et Raphaélois Bjarni Fritzson ont bien renversé la tendance en s’imposant face à la Suède (35-33). Ils ont construit leur succès en 1ère période grâce à un jeu rapide, une défense hermétique devant un gardien, Andri Scheving très rapidement en chaleur (17 arrêts) et grâce aussi à un buteur Thorkelsson (photo ci-dessus) en réussite. Les deux temps morts posés par l’entraîneur suédois en moins de 30 minutes soulignent l’étendue des dégâts qui ont fragilisé son équipe. Si la seconde période a été mieux gérée, les Suédois n’ont pas montré suffisamment d’agressivité et peut-être d’envie (aucune réalisation dans les sept 1ères minutes) Le baroud d’honneur de Salihi et Sunnefeld (10 et 8 buts sur l’ensemble) n’a servi à pas grand-chose. Grâce à ce succès, l’Islande se relance pour la qualification en vuie du tour principal. Elle devra encore sortir une grosse prestation ce dimanche face à l’Allemagne si elle veut parvenir à ses fins.

La Mannschaft qui avait raté son entrée dans la compétition en concédant le nul (22-22) face à la Suède, n’avait aucun droit à l’erreur face à une surprenante équipe de Roumanie. Un temps prise de vitesse par les montées des attaquants adverses, l’Allemagne s’est appuyée sur sa défense et son gardien. Patiemment, elle a dénoué la situation en infligeant aux Roumains un 5-1 dont ils essaieront de se relever peu avant la pause (17-15) mais ils devront vite se rendre à l’évidence, notamment dans les trente minutes suivantes au cours desquelles la Mannschaft dominera son sujet et gardera toujours un matelas de 4 à 5 buts pour s’imposer (30-25).  A peine 25 buts encaissés pour 30 inscrits dont presque un tiers par l’arrière Lukas Stutzke (9 réalisations), le ratio est des plus corrects.  

Dans ce groupe A, la calculatrice sera de rigueur. La Suède qui est dernière avec 1 point (différence -2) n’est pas maîtresse de son destin mais elle peut encore prétendre au tour principal. Elle doit pour cela battre la Roumanie (2 points – différence +5). L’Islande (2 points – différence -8) affronte l’Allemagne (3 points – différence +5) et elle a des raisons d’espérer. Surtout si elle réédite sa prestation d’il y a un an au Mondial où en phase de groupe et alors qu’elle était largement qualifiée pour les 8èmes, une Mannschaft très remaniée, s’était inclinée (27-28). L’Islande de son côté pouvait compter sur le meilleur buteur du tournoi (Teitur Einarsson) qui cette fois-ci n’a pas fait le déplacement en Slovénie. 


              La puissance de feu de Mathias Moller est une des forces de l'équipe du Danemark

Dans le groupe D, celui de nos Bleus, la situation est encore plus confuse. Enfin… pas pour le Portugal à qui il reste une dernière levée contre la Hongrie qui n’a plus aucune chance de basculer au tour principal. Le match aura lieu à 19h00, soit 2h après celui des Français face aux Danois, les Lusitaniens sauront quelle attitude à adopter en fonction de ce résultat. Ils ont réalisé jusque-là un carton plein, sont en pleine confiance et leur succès ce vendredi face au Danemark même s’il a été long à se dessiner, prouve s’il fallait encore le faire que leur performance la veille contre les champions d’Europe et du Monde français n’est pas le fait du hasard ou de la chance. Les Nordiques ont accusé un coupable fléchissement en milieu de seconde période (18-23 puis 20-25) avant de se ressaisir et revenir à hauteur (28-28) à quatre minutes du terme. Le pivot Luis Frade et l’ailier gauche Bruno Gaspar ont trouvé la faille pour reprendre l’avantage et le garder jusqu’à la fin (31-29).  Comme face aux Français, l’arrière droit Diogo Silva a été le meilleur marqueur pour la Seleçao (9 buts). Un match nul est suffisant au Portugal pour valider l’acquis de la qualif au tour principal avec le bonus des deux points.

Résultat/classement avant la dernière journée du Tour Préliminaire

Groupe A

résultats

Groupe B

résultats

ALL-SUE

22-22

SLO-NOR

27-19

ISL-ROU

19-29

SER-ISR

35-28

ROU-ALL

25-30

ISR-SLO

24-28

SUE-ISL

33-35

NOR-SER

27-30

ALL-ISL

dim. 22/07 

SLO-SER

dim. 22/07  

SUE-ROU

 dim. 22/07 

NOR-ISR

 dim. 22/07 

Classement

Classement

1- Allemagne

3 (+5)

1- Slovénie

4 (+12)

2- Roumanie

2 (+5)

2- Serbie

4 (+10)

3- Islande

2 (+8)

3- Israël

0 (-11)

4- Suède

1 (-2)

4- Norvège

0 (-11)

Groupe C

résultats

Groupe D

résultats

CRO-RUS

26-22

FRA-POR

28-32

ESP-POL

32-23

DAN-HON

23-22

POL-CRO

27-35

HON-FRA

23-34

RUS-ESP

20-28

POR-DAN

31-29

CRO-ESP

dim. 22/07  

FRA-DAN

dim. 22/07  

RUS-POL

dim. 22/07 

POR-HON

dim. 22/07  

Classement

Classement

1- Espagne

4 (+17)

1- Portugal

4 ((+6)

2- Croatie

4 (+12)

2- France

2 (+7)

3- Russie

0 (-12)

3- Danemark

2 (-1)

4- Pologne

0 (-17)

4- Hongrie

0 (-12)


Euro U20M: Trois visas encore à délivrer pour le Tour principal 

International

samedi 21 juillet 2018 - © Yves Michel

 50 min 12 de lecture

Avant l’ultime journée de la phase de groupe de l'Euro des moins de 20 ans, cinq équipes, la Slovénie, la Serbie, l'Espagne, la Croatie et le Portugal ont assuré leur qualification pour le tour principal. Trois tickets restent à attribuer. La France aimerait en décrocher un. Il lui faudra pour cela, battre le Danemark ce dimanche (17h) à Celje.

par Yves Michel, à Celje (Slovénie)

Dans le groupe C (celui avec lequel la France pourrait être amenée à croiser si elle décroche son ticket), l’Espagne et la Croatie ont passé pour la 2ème journée consécutive leurs obstacles respectifs. Comme à son habitude, l’Espagne a du se montrer patiente avant de prendre le large. Face à une défense russe bien regroupée, les hommes d’Isidoro Martinez ont souvent péché dans la finition provoquant la colère de l’entraîneur castillan. L’avance de deux buts à la pause reflète parfaitement la situation. Et puis à la reprise, sous l’impulsion de leur capitaine Ian Tarrafeta, les Ibères ont élevé leur niveau de jeu, tout en restant vulnérables. C’est dans ce second acte que s’est illustré le gardien Adrian Torres (notre photo de tête). Les Russes qui auraient pourtant pu réduire à maintes occasions le score, n’en ont pas profité. Soit en commettant de nombreuses fautes, soit en butant sur le portier d’Alcobendas. Même en infériorité numérique, la « Rojita » ne s’est jamais désunie et s’en est souvent sorti grâce à son jeu de transition et aux changements de rythme de l’ailier Mikel Amilibia. Le contrat est presque rempli pour les Espagnols (succès 28-20) qui attendent de pied ferme les Croates ce dimanche pour la finale du groupe. Le vainqueur de l’opposition basculera au tour principal avec deux points.

Examen réussi également pour la Croatie qui s’est imposée face à la Pologne (35-27). Portée par un Josip Sarac (notre photo) en pleine réussite (10 buts et désigné homme du match), les joueurs au maillot à damiers n’ont pris leurs aises qu’en fin de 1ère période (17-14). Perturbés par les accélérations adverses et une défense de plus en plus agressive, les Polonais ont alterné le bon et le moins bon dans le second acte et chacune des deux formations a eu sa période d’euphorie ponctuée par un 6-0 pour les Croates puis un 5-0 pour l’adversaire. Les partenaires de l’ancien et éphémère parisien Halil Jaganjac ont réagi de belle manière en terminant sur un irréversible 7-2. Soixante-deux buts en 60 minutes… c’était journée « portes ouvertes » à la Zlatorog Arena.

Ce dimanche donc, c’est presque un match pour le podium final qui attend l’Espagne et la Croatie. Les deux se connaissent parfaitement. Ce sera un remake de la demi-finale du Mondial 2017 en Géorgie où après une 1ère période très serrée, les Ibères avaient pris l’ascendant et s’étaient imposés (26-23). 


                                   Tilen Kosi est une des pépites de la sélection slovène

Dans le groupe B, la Slovénie et la Serbie qui se rencontrent ce dimanche, ne peuvent plus être rejointes. L’affrontement entre les deux favoris de la poule ne sera pas dénué d’intérêt puisque là aussi, le vainqueur démarrera le tour principal avec 2 points. Depuis jeudi, l’équipe du pays hôte a rempli son contrat. Contre le modeste Israël, lors du second rendez-vous, l’entraîneur Sasa Praprotnik avait décidé de ménager quelques cadres, une situation dont a profité l’adversaire qui d’entrée, a pris ses aises (6-3). Les Slovènes n’ont pas eu la tâche aisée puisqu’ils n’ont fait la différence que dans le money-time (28-24).

De son côté, la Serbie a battu la Norvège (30-27). Malgré une entame réussie et une 1ère période parfaitement maîtrisée (21-12 à la 34ème) au cours de laquelle le trio Pisaric-Maksic-Slavuljica (au total 8, 6 et 5 buts) s’est régalé devant le but adverse et le gardien Todor Jandric a montré toute l’étendue de son talent (18 arrêts), les Serbes ont relâché leur emprise, ce qui a permis aux Nordiques de refaire une partie de leur retard, sans pour autant revenir à hauteur. Seule ombre au tableau, la blessure dans le money-time du défenseur slave Milosavijevic. S’il devait manquer l’affiche dominicale face à la Slovénie, ce serait à coup sûr un sérieux handicap. L’an passé, lors du Mondial Jeunes en Géorgie, les deux équipes étaient dans la même poule et la Serbie s’était largement inclinée (23-36).



Reste donc deux groupes, le A et le D, où tout ou presque va se décider ce dimanche.

Dans le A, les équipes ont depuis jeudi joué au « chamboule-tout » car la vérité d’un jour, n’était plus celle du lendemain. L’exemple le plus criant est celui de l’Islande. Laminés (19-29) par la Roumanie (issue du tournoi de qualification) lors du match inaugural, les protégés de l’ancien Cristiolien et Raphaélois Bjarni Fritzson ont bien renversé la tendance en s’imposant face à la Suède (35-33). Ils ont construit leur succès en 1ère période grâce à un jeu rapide, une défense hermétique devant un gardien, Andri Scheving très rapidement en chaleur (17 arrêts) et grâce aussi à un buteur Thorkelsson (photo ci-dessus) en réussite. Les deux temps morts posés par l’entraîneur suédois en moins de 30 minutes soulignent l’étendue des dégâts qui ont fragilisé son équipe. Si la seconde période a été mieux gérée, les Suédois n’ont pas montré suffisamment d’agressivité et peut-être d’envie (aucune réalisation dans les sept 1ères minutes) Le baroud d’honneur de Salihi et Sunnefeld (10 et 8 buts sur l’ensemble) n’a servi à pas grand-chose. Grâce à ce succès, l’Islande se relance pour la qualification en vuie du tour principal. Elle devra encore sortir une grosse prestation ce dimanche face à l’Allemagne si elle veut parvenir à ses fins.

La Mannschaft qui avait raté son entrée dans la compétition en concédant le nul (22-22) face à la Suède, n’avait aucun droit à l’erreur face à une surprenante équipe de Roumanie. Un temps prise de vitesse par les montées des attaquants adverses, l’Allemagne s’est appuyée sur sa défense et son gardien. Patiemment, elle a dénoué la situation en infligeant aux Roumains un 5-1 dont ils essaieront de se relever peu avant la pause (17-15) mais ils devront vite se rendre à l’évidence, notamment dans les trente minutes suivantes au cours desquelles la Mannschaft dominera son sujet et gardera toujours un matelas de 4 à 5 buts pour s’imposer (30-25).  A peine 25 buts encaissés pour 30 inscrits dont presque un tiers par l’arrière Lukas Stutzke (9 réalisations), le ratio est des plus corrects.  

Dans ce groupe A, la calculatrice sera de rigueur. La Suède qui est dernière avec 1 point (différence -2) n’est pas maîtresse de son destin mais elle peut encore prétendre au tour principal. Elle doit pour cela battre la Roumanie (2 points – différence +5). L’Islande (2 points – différence -8) affronte l’Allemagne (3 points – différence +5) et elle a des raisons d’espérer. Surtout si elle réédite sa prestation d’il y a un an au Mondial où en phase de groupe et alors qu’elle était largement qualifiée pour les 8èmes, une Mannschaft très remaniée, s’était inclinée (27-28). L’Islande de son côté pouvait compter sur le meilleur buteur du tournoi (Teitur Einarsson) qui cette fois-ci n’a pas fait le déplacement en Slovénie. 


              La puissance de feu de Mathias Moller est une des forces de l'équipe du Danemark

Dans le groupe D, celui de nos Bleus, la situation est encore plus confuse. Enfin… pas pour le Portugal à qui il reste une dernière levée contre la Hongrie qui n’a plus aucune chance de basculer au tour principal. Le match aura lieu à 19h00, soit 2h après celui des Français face aux Danois, les Lusitaniens sauront quelle attitude à adopter en fonction de ce résultat. Ils ont réalisé jusque-là un carton plein, sont en pleine confiance et leur succès ce vendredi face au Danemark même s’il a été long à se dessiner, prouve s’il fallait encore le faire que leur performance la veille contre les champions d’Europe et du Monde français n’est pas le fait du hasard ou de la chance. Les Nordiques ont accusé un coupable fléchissement en milieu de seconde période (18-23 puis 20-25) avant de se ressaisir et revenir à hauteur (28-28) à quatre minutes du terme. Le pivot Luis Frade et l’ailier gauche Bruno Gaspar ont trouvé la faille pour reprendre l’avantage et le garder jusqu’à la fin (31-29).  Comme face aux Français, l’arrière droit Diogo Silva a été le meilleur marqueur pour la Seleçao (9 buts). Un match nul est suffisant au Portugal pour valider l’acquis de la qualif au tour principal avec le bonus des deux points.

Résultat/classement avant la dernière journée du Tour Préliminaire

Groupe A

résultats

Groupe B

résultats

ALL-SUE

22-22

SLO-NOR

27-19

ISL-ROU

19-29

SER-ISR

35-28

ROU-ALL

25-30

ISR-SLO

24-28

SUE-ISL

33-35

NOR-SER

27-30

ALL-ISL

dim. 22/07 

SLO-SER

dim. 22/07  

SUE-ROU

 dim. 22/07 

NOR-ISR

 dim. 22/07 

Classement

Classement

1- Allemagne

3 (+5)

1- Slovénie

4 (+12)

2- Roumanie

2 (+5)

2- Serbie

4 (+10)

3- Islande

2 (+8)

3- Israël

0 (-11)

4- Suède

1 (-2)

4- Norvège

0 (-11)

Groupe C

résultats

Groupe D

résultats

CRO-RUS

26-22

FRA-POR

28-32

ESP-POL

32-23

DAN-HON

23-22

POL-CRO

27-35

HON-FRA

23-34

RUS-ESP

20-28

POR-DAN

31-29

CRO-ESP

dim. 22/07  

FRA-DAN

dim. 22/07  

RUS-POL

dim. 22/07 

POR-HON

dim. 22/07  

Classement

Classement

1- Espagne

4 (+17)

1- Portugal

4 ((+6)

2- Croatie

4 (+12)

2- France

2 (+7)

3- Russie

0 (-12)

3- Danemark

2 (-1)

4- Pologne

0 (-17)

4- Hongrie

0 (-12)


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